Mgr Philippe Fanoko Kpodzro, qui a dirigé le parlement de la transition au Togo, est intervenu ce mercredi pour appeler le président Faure Gnassingbé à partir en 2020, alors que s’ouvre ce jeudi le dialogue politique entre le pouvoir et l’opposition.
C’est un mouvement qui s’inspire clairement du Balai citoyen burkinabè ou du Y’en a marre sénégalais. Comme ces collectifs, Togo Debout veut ratisser large et entend mobiliser notamment les déçus de la classe politique. L’objectif déclaré : l’avènement d’une « véritable démocratie » au Togo et une « transition démocratique ».
Brigitte Adjamagbo-Johnson, coordinatrice de la coalition des quatorze partis de l’opposition togolaise, revient pour Jeune Afrique sur les conditions de l’ouverture du dialogue entre le pouvoir et l’opposition, annoncé pour le 15 février, alors que les manifestations contre le régime du président Faure Gnassingbé continuent dans le pays.
Gilbert Bawara, ministre de la Fonction publique, du Travail et de la Réforme administrative au Togo, revient pour Jeune Afrique sur le dialogue prévu par les pays médiateurs entre le président Faure Gnassingbé et l’opposition, prévu le 15 février prochain, pour mettre un terme à la crise que traverse le pays depuis août 2017.
Plusieurs milliers de personnes sont descendues dans les rues de Lomé samedi, à l’appel de la coalition de l’opposition pour protester contre le régime du président Faure Gnassingbé, a rapporté un journaliste de l’AFP.
L’opposition togolaise et le président Faure Gnassingbé ont été invités vendredi par les pays médiateurs à la crise qui agite le pays à négocier à partir du 15 février, mais l’opposition a annoncé qu’elle maintenait sa marche contre le pouvoir samedi.
Avec « Cantique de l’acacia », le dramaturge togolais Kossi Efoui se libère des codes d’écriture pour livrer une oeuvre toute en circonvolutions. Le texte d’un artiste libre.
Les trois hommes étaient sur le devant de la scène : Amar Saadani, anciennement à la tête du FLN, Abdoulaye Bathily, ancien candidat à la Commission de l’UA et Kpatcha Gnassingbé, demi-frère du président togoIais. Que sont-ils devenus ?
Pour la deuxième fois de sa carrière, la skieuse Mathilde-Amivi Petitjean, presque 24 ans, représentera son pays natal, le Togo, aux JO. Bien décidée à montrer qu’elle n’est pas là pour faire de la figuration.
Des milliers de femmes ont manifesté samedi à Lomé, à l’appel de l’opposition, contre le pouvoir du président Faure Gnassingbé, confronté à une forte contestation populaire depuis des mois, a constaté un journaliste de l’AFP.
Au Togo, Crépin, 20 ans, jongle entre ses études de droit et différents petits boulots en ligne, notamment le minage et le trading de bitcoins. Ses revenus sont irréguliers, mais il peut compter en moyenne sur 374 206 francs CFA (570 euros) par mois.
Le rapport annuel 2016 de la Zone franc publié par la Banque de France fin 2017 a attribué par erreur au Togo une exportation de plus de 15 millions de barils de pétrole en un an. De quoi relancer les spéculations sur une supposée exploitation clandestine de pétrole dans le pays.
La Banque africaine de développement (BAD) a alloué jeudi une enveloppe de 7,47 milliards de FCFA au Togo, notamment en vue de faciliter les investissements publics pour le développement de l’agriculture et de ses chaînes de valeurs.
Le chef de l’État togolais a choisi la traditionnelle présentation des vœux pour sa toute première adresse à la nation depuis le début de la crise qui secoue le pays. Un message très politique qui répond à ceux délivrés ces derniers jours par ses principaux adversaires.
La dernière participation du leader du Parti national panafricain (PNP) à une manifestation de la coalition de l’opposition remonte à un peu plus de deux mois. Invisible sur le terrain, Tikpi Atchadam continue cependant de jouer un rôle central, notamment via les réseaux sociaux.
Plusieurs milliers de personnes sont à nouveau descendues dans les rues de Lomé samedi, avant-dernier jour d’une année tourmentée au Togo, pour protester contre le régime du président Faure Gnassingbé.
L’opposition togolaise ne faiblit pas. Mercredi 27 décembre 2017, des milliers de personnes sont descendues dans les rues de la capitale togolaise, à Lomé, pour demander une limitation du nombre de mandats présidentiels et la démission du président Faure Gnassingbé.
Près de deux mois après la tenue de son premier congrès ordinaire, le parti Union pour la République (Unir, au pouvoir) a achevé le renouvellement de l’essentiel de ses organes. De nouvelles figures « proposées » par le chef de l’État, président du parti, sont chargées d’organiser sur le terrain la mobilisation des militants face au mouvement de contestation de la coalition des 14 partis de l’opposition.
Le président togolais n’est pas homme à s’épancher et c’est à JA qu’il a choisi de donner sa première interview depuis le début de la crise. Contesté par une opposition qui réclame son départ immédiat, il appelle au dialogue.
Sorti de prison en février 2016, l’ancien ministre de l’Administration territoriale, Pascal Bodjona, souhaite à nouveau s’engager en politique. Il a récemment travaillé aux côtés d’Albert Kan-Daapah, ministre ghanéen de la Sécurité, chargé d’organiser le dialogue entre les différents acteurs de la crise togolaise.
Comme toutes les semaines depuis un bientôt quatre mois, les manifestants sont descendus en masse, au Togo, ce mercredi 13 décembre. La coalition des 14 partis de l’opposition qui mène la contestation refuse d’arrêter les marches. Pourtant le gouvernement a multiplié ces dernières semaines les gestes d’apaisement pour permettre l’ouverture d’un dialogue censé résoudre la crise. Qu’est-ce-qui empêche (encore) les acteurs politiques de se parler ?
Dix ans après la levée formelle de l’embargo par l’Union européenne, le Togo est secoué par une crise politique depuis plusieurs semaines. Pourtant, au cours de ces dernières années, le pays a enregistré des progrès sur le plan économique et social.
Payadowa Boukpessi, ministre de l’Administration territoriale, de la Décentralisation et des Collectivités locales, a accepté de se confier à Jeune Afrique sur la situation politique du Togo.
Au Togo, la loi sur la création de 116 communes au Togo a été adoptée le 23 juin dernier par l’Assemblée nationale. Pour l’opposition, cette réforme territoriale permet au gouvernement de contrôler les espaces qui lui sont favorables.
Jean-Pierre Fabre, chef de file de l’opposition et président de l’Alliance nationale pour le changement (ANC), répond aux questions de Jeune Afrique au sujet de la crise politique qui secoue le Togo depuis plusieurs mois.
L’inflation est maîtrisée, le déficit budgétaire contenu, la croissance soutenue. Reste à réduire l’énorme dette publique, que les investissements réalisés pour relancer la machine ont fait monter en flèche.
Energy Generation est une association qui accompagne les jeunes togolais dans leurs projets d’innovation visant à créer et développer des solutions génératrices d’énergie à grande échelle.
Designer, chef d’entreprise, mannequin, blogueuse… Ces Togolaises illustrent le dynamisme et les nouvelles aspirations de l’univers du textile et de la mode.