La Fifa ne renouvellera pas son aide financière à la Fédération togolaise de football (FTF) pour la saison 2012-2013. C’est ce que révèle un courrier confidentiel de la fédération mondiale adressé à la FTF, qui dénonce l’incapacité de cette dernière à justifier les dépenses des 432 000 euros de subventions qu’elle a perçues pour la saison précédente.
Condamné à vingt ans de réclusion criminelle dans une affaire d’atteinte à la sûreté de l’État avec le demi-frère du président, Kpatcha Gnassingbé, et d’autres, le général Assani Tidjani s’est éteint dans la soirée du vendredi 7 décembre 2012, à Limoge, en France.
Seuls cinq pays africains n’ont pas voté lors de l’Assemblée générale de l’ONU en faveur de l’octroi à la Palestine du statut d’observateur non membre, le 29 novembre : le Cameroun, le Malawi, le Rwanda, la RDC et le Togo. Explications.
Depuis qu’Emmanuel Adebayor a annoncé son forfait pour la CAN 2013 en Afrique du Sud (19 janvier-10 février), le Togo navigue à vue. Certains joueurs envisageraient d’imiter l’attaquant de Tottenham, et Didier Six, le sélectionneur des Éperviers multiplie les contacts pour savoir sur qui il pourra compter. Ce qui ne l’empêche pas de se poser aussi des questions.
L’international togolais Emmanuel Adebayor ne jouera pas la CAN-2013 prévue du 19 janvier au 10 février en Afrique du Sud, a-t-on appris samedi à Lomé auprès de l’entourage du joueur du club anglais de Tottenham.
Nommé sélectionneur du Togo pour deux matchs en novembre 2011, puis pour deux ans en janvier dernier, l’ancien international français Didier Six (58 ans, 52 sélections) est parvenu à qualifier les Éperviers pour la CAN 2013 en Afrique du Sud (19 janvier-10 février). Pas mal pour une première expérience sur un banc de touche…
Le sommet extraordinaire des chefs d’État de la Cedeao, le 11 novembre à Abuja, a débouché sur l’adoption d’un concept d’opérations pour une intervention au Nord-Mali. En tout, quelque 3 300 soldats devraient être déployés pendant au moins un an.
Loïk Le Floch-Prigent, ex-patron du pétrolier français Elf, devra verser neuf millions de dollars (environ 7 millions d’euros) s’il veut être libéré sous caution, a annoncé jeudi 25 octobre son avocat français Me Patrick Klugman.
Le tirage au sort des quatre groupes qui s’affronteront lors de la phase finale de la CAN 2013 en Afrique du Sud a été réalisé à Durban, mercredi 24 octobre. Les favoris ivoiriens auront fort à faire pour confirmer leur statut face à l’Algérie ou la Tunisie.
La justice togolaise serait sur le point de prendre une ordonnance pour l’évacuation sanitaire de l’ex-PDG d’Elf, Loïck Le Floch-Prigent, incarcéré au Togo depuis le 15 septembre dernier dans le cadre d’une affaire d’escroquerie.
L’édition 2012 de l’Indice Ibrahim de la gouvernance en Afrique confirme la tendance générale à l’amélioration de la gouvernance sur le continent africain, mais laisse percevoir quelques évolutions préoccupantes chez certaines grandes puissances régionales.
Impliqué dans une affaire d’arnaque à la nigériane et détenu à Lomé, Loïk Le Floch-Prigent se trouverait dans un état de santé « extrême » selon ses avocats. Se basant sur une attestation médicale qu’ils ont fait réaliser, ils réclament le rapatriement immédiat en France de l’ancien patron d’Elf. Dans le même temps, la justice togolaise ne s’est toujours pas penchée sur la demande de remise en liberté requise le 14 septembre par la défense.
C’est l’histoire d’un milliardaire émirati, d’un ancien ministre togolais et d’un pétrolier français reconverti dans le conseil. C’est l’histoire d’une arnaque tellement grosse qu’on se dit que personne n’y croira. C’est l’histoire d’un scandale à 48 millions de dollars, qui, le 15 septembre, a ramené Loïk Le Floch-Prigent derrière les barreaux, à Lomé. Enquête.
L’avocat de Loïk Le Floch-Prigent, inculpé et incarcéré au Togo pour complicité d’escroquerie, a interpellé dimanche le Quai d’Orsay pour demander que son client soit rapatrié en France pour raison de santé.
Le cabinet d’avocats d’affaires White & Case s’est retiré du processus de privatisation de l’UTB et de la BIA Togo. En cause, le cafouillage de l’opération.
C’est assez rare pour être noté : plusieurs milliers de Togolais ont battu le pavé dans le calme, mardi 25 septembre, à Lomé. De nouvelles marches sont prévues mercredi et jeudi à l’appel du collectif « Sauvons le Togo ».
Le collectif « Sauvons le Togo » a de nouveau appelé à trois jours de manifestations – du 25 au 27 septembre – à Lomé. Une situation très tendue alors que des incidents violents ont émaillé les précédentes mobilisations. Dans le même temps, l’incertitude plane toujours sur la date des prochaines législatives et la situation économique du pays se dégrade.
Le Mali et la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) ont trouvé un « accord » sur les conditions de déploiement d’une force africaine au Mali, avec un QG à Bamako, ont déclaré les ministres malien et ivoirien de la Défense à l’AFP et RFI dans la capitale malienne dimanche.
Vous le savez déjà : vers la fin du mois d’août, les nanas togolaises de l’Alliance nationale pour le changement (ANC), membre du Collectif sauvons le Togo (CST), ont lancé une campagne de sept jours sans rapports sexuels avec leurs maris ou amants. Folles, ces Togolaises ? A priori non.
Transféré en dehors de toute procédure judiciaire d’Abidjan à Lomé durant le week-end, Loïk Le Floch Prigent a été inculpé, lundi 14 septembre, de « complicité d’escroquerie », a annoncé mardi son avocat togolais. Mais les faits précisément reprochés à l’ancien PDG d’Elf demeurent obscurs.
Auditionné par la justice togolaise, qui le suspecte de complicité dans une affaire d’escroquerie internationale, Loïk Le Floch-Prigent n’a fait aucune déclaration. Mais son avocat français, Me Klugman, évoque la piste de la politique intérieure au Togo pour expliquer les mésaventures de l’ancien PDG d’Elf. Explications.
Au fil des manifestations, le ton monte entre le pouvoir et l’opposition, qui ne semble pas disposée à négocier. Les élections législatives togolaises, prévues en novembre, sont au coeur du bras de fer.
Arrêté en Côte d’Ivoire puis transféré au Togo, l’ancien PDG d’Elf, Loïk Le Floch-Prigent, doit comparaître devant un juge de Lomé, lundi 16 septembre. Il est soupçonné de complicité dans une affaire d’escroquerie internationale, mais il clame son innocence.
L’ex-PDG du géant pétrolier français Elf, Loïk Le Floch-Prigent, arrêté à Abidjan dans le cadre d’un mandat d’arrêt international délivré par la justice togolaise dans une affaire d’escroquerie, a été « extradé » samedi soir vers le Togo, a indiqué dimanche une source gouvernementale.
Me Patrick Klugman, avocat de l’ex-PDG d’ElF Loïk Le Floch-Prigent, extradé vers le Togo samedi soir, a assuré à l’AFP que son client avait fait l’objet d’un « enlèvement et en aucun cas d’une extradition ».
Plusieurs dizaines de personnes armées de gourdins et de machettes ont empêché samedi la tenue d’une manifestation de l’opposition à Lomé, entraînant des heurts sporadiques dans lesquels la police n’est pas intervenue, a constaté un journaliste de l’AFP.