Hubert Velud, sélectionneur français des Éperviers, s’exprime sur la réintégration du Togo pour les deux prochaines Coupes d’Afrique des nations (CAN) suite au contentieux avec la Confédération africaine de football (CAF). Il livre pour jeuneafrique.com son regard sur les bouleversements récents de l’équipe togolaise, et sur l’avenir des Éperviers.
Cinquante ans après les indépendances, une nouvelle génération d’artistes africains, comme le Camerounais Barthélemy Toguo et le Sénégalais Soly Cissé, revendique sa « liberté de création » en s’éloignant de toute revendication d' »africanité ».
Au premier jour de la médiation menée par le président de la Fifa, Joseph « Sepp » Blatter, la Confédération africaine de football (CAF) et la Fédération togolaise de football (FTF) ont trouvé un terrain d’entente, à Zürich, sur le contentieux qui les oppose depuis la dernière Coupe d’Afrique des nations (CAN) en Angola.
Moins de quarante-huit heures après avoir démissionné de son poste de Premier ministre, l’ancien directeur du Pnud est reconduit par le chef de l’Etat Faure Gnassingbé. Sa mission : continuer à rassurer les investisseurs et les bailleurs.
La « Caravane de l’intégration », organisée par la chaîne de télévision Africable, prendra son départ le 8 mai à Dakar, au pied du monument de la Renaissance africaine, en présence du président sénégalais Abdoulaye Wade. Elle traversera douze pays d’Afrique de l’Ouest pour diffuser interviews, reportages et débats sur le thème du cinquantenaire des indépendances.
Conduite par Joseph Blatter, le président de la Fédération internationale de football association (Fifa), la médiation du contentieux disciplinaire opposant le Togo à la Confédération africaine de football (CAF) devant le Tribunal arbitral du sport (TAS) s’ouvre le 7 mai à Zürich (Suisse).
Comme on s’y attendait, le Premier ministre togolais, Gilbert Fossoun Houngbo, a remis sa démission au chef de l’État, Faure Gnassingbé. Le président veut composer un nouveau gouvernement « de large ouverture ».
Proclamé vainqueur du scrutin du 4 mars dernier, le président réélu Faure Gnassingbé a prêté serment, lundi 3 mai, dans la grande salle des fêtes de la présidence, à Lomé. De nombreux chefs d’État de la sous-région sont venus conforter sa légitimité, contestée par une opposition pugnace mais divisée.
En renonçant à modifier la Constitution pour pouvoir briguer la présidence une troisième fois, Amadou Toumani Touré a surpris agréablement son monde. Ses pairs africains seraient bien venus de s’en inspirer.
Le président togolais Faure Gnassingbé, réélu lors de la présidentielle du 4 mars, prêtera serment ce lundi, a-t-on appris samedi de source officielle togolaise.
Dans un entretien à jeuneafrique.com, le Franco-Togolais Kofi Yamgnane, candidat recalé à la présidentielle du 4 mars et porte-parole du Front républicain pour l’alternance et le changement (FRAC), livre son analyse sur la situation de l’opposition, à quelques jours de l’investiture du président réélu Faure Gnassingbé, prévue le 3 mai.
C’est dans une ambiance à la fois terne et tendue que les célébrations du cinquantenaire de l’indépendance se sont déroulées le 27 avril, à Lomé. Malgré les messages de réconciliation du président réélu Faure Gnassingbé et du leader de l’opposition Gilchrist Olympio, des violences ont éclaté entre forces de l’ordre et jeunes manifestants.
Petit pays d’Afrique occidentale, le Togo, après avoir pris un bon départ en 1960, change de cap trois ans plus tard lorsque son premier président, Sylvanus Olympio, qui virait vers un autoritarisme inquiétant, est assassiné. Ce crime est le point de départ de l’emprise de l’armée sur la vie politique. Elle se traduira par un nouveau coup d’État en 1967, qui voit arriver à la tête du pays Étienne Eyadéma. Pendant près de quarante ans, indéboulonnable, le général-président règne en maître absolu, inspirant la peur à ses compatriotes. Même le vent de la démocratie n’aura pas raison de lui.
Petit pays d’Afrique occidentale, le Togo, après avoir pris un bon départ en 1960, change de cap trois ans plus tard lorsque son premier président, Sylvanus Olympio, qui virait vers un autoritarisme inquiétant, est assassiné. Ce crime est le point de départ de l’emprise de l’armée sur la vie politique. Elle se traduira par un nouveau coup d’État en 1967, qui voit arriver à la tête du pays Étienne Eyadéma. Pendant près de quarante ans, indéboulonnable, le général-président règne en maître absolu, inspirant la peur à ses compatriotes. Même le vent de la démocratie n’aura pas raison de lui.
À quelques heures de la célébration du cinquantenaire de l’indépendance du Togo, acquise sous Sylvanus Olympio en 1960, le pays paraît plus divisé que jamais. Dans un climat de vive tension depuis les élections de mars dernier, les festivités s’annoncent modestes et… plurielles.
Quelques centaines de militants de l’Union des forces de changement (UFC) et du Front républicain pour l’alternance et le changement (Frac) ont été dispersés à coups de gaz lacrymogène lors d’affrontements violents avec les forces de l’ordre dans la capitale togolaise.
Les récentes accusations de vol et de viols portées par le Front républicain pour l’alternance et le changement (FRAC, opposition) de Jean-Pierre Fabre contre les forces de l’ordre ne devraient pas rester sans suite. Les autorités veulent poursuivre les responsables de ce qu’elles considèrent comme des « allégations mensongères ».
La 19e édition du tour cycliste international du Togo s’est achevée, dimanche 18 avril, par le sacre du Burkinabé Nouffou Minoungou, qui s’est imposé au classement général.
Lors d’une nouvelle manifestation contre la réélection de Faure Gnassingbé, des opposants s’en sont pris à Gilchrist Olympio, dont la position n’est « pas claire ».
Plus d’un mois après le scrutin présidentiel contesté qui a vu la réélection de Faure Gnassingbé à la tête du pays, Kofi Yamgnane choisit de transformer son association militante Sursaut Togo en parti politique.
Plusieurs cadres et militants du Front républicain pour l’alternance et le changement (Frac, opposition) ont été arrêtés au siège de l’Union des forces de changement (UFC) d’où devait partir, mercredi soir, une marche à la bougie pour protester contre la réélection du président Faure Gnassingbé.
Le secrétaire d’État français aux Anciens Combattants, Hubert Falco, a annoncé que les troupes africaines seraient particulièrement mises à l’honneur lors du défilé militaire du 14 Juillet à Paris. Des détachements de quatorze pays francophones du continent, qui fêtent cette année le cinquantenaire de leur indépendance, sont invités à ouvrir la marche sur les Champs-Éysées. Seule la présence de l’armée ivoirienne demeure très hypothétique.
Quelles sont les motivations réelles du capitaine des Éperviers et avant-centre de Manchester City, Emmanuel Adebayor, qui a annoncé le 12 avril qu’il prenait sa retraite internationale ? La raison invoquée – il serait « toujours hanté » par l’attaque du bus de sa sélection à Cabinda (Angola), il y a trois mois – ne convainc ni ses fans, ni la presse togolaise. Reportage.
Une cinquantaine de coureurs africains ont donné les premiers coups de pédale de la 19e édition du Tour cycliste international du Togo, lundi 12 avril à Lomé.
Après neuf années à jouer sous ses couleurs, Emmanuel Adebayor a décidé de quitter la sélection togolaise. Traumatisé par l’attaque armée dont ont été victimes les joueurs de son équipe lors de la dernière CAN, le joueur préfère tirer sa révérence.
Selon le président de la Fédération internationale de football association (Fifa), « Sepp » Blatter, le différent disciplinaire entre le Togo et la Confédération africaine de football (CAF), dirigée par Issa Hayatou, devrait être réglé avant la fin du mois d’avril grâce à une médiation qu’il se propose d’engager personnellement au sein du Tribunal arbitral du sport (TAS).