L’abolition de la peine de mort progresse sur le continent africain. Le Togo et le Burundi ont supprimé la peine capitale l’année dernière et ils pourraient être suivis par plusieurs autres pays d’Afrique.
Les députés de l’opposition ont boycotté la cérémonie d’ouverture de la rentrée parlementaire de l’année 2010 pour protester contre la réélection du président Faure Gnassingbé le 4 mars.
Onze chefs d’Etat ont signé l’appel de Cotonou contre les faux médicaments depuis son lancement en 2009 par l’ancien président français Jacques Chirac, selon des représentants de la Fondation Chirac en visite au Cameroun, où ils espèrent obtenir la signature du président Biya.
Des milliers de partisans de l’opposition au Togo défilaient à nouveau samedi dans les rues de Lomé contre la réélection du président Faure Gnassingbé le 4 mars.
Trois mois après la tragique attaque du bus togolais qui a coûté la vie à deux membres de la délégation dans l’enclave de Cabinda, Issa Hayatou a enfin rompu le silence dans une interview au quotidien français Le Figaro parue le 1er avril.
Faure Gnassingbé a été réélu sans grand péril face à des opposants qui n’ont pas su jouer en équipe. Le chef de l’État voulait tourner la page de l’élection « lamentable » de 2005 et de ses nombreux morts. C’est en partie réussi, avec ce scrutin sans violence et malgré les carences dans l’organisation. À lui, désormais, de transformer l’essai.
Les supporteurs de Jean-Pierre Fabre continuent de rejeter la victoire de Faure Gnassingbé à la dernière élection présidentielle togolaise. Une fois encore, ils manifestent ce samedi pour dénoncer des résultats qu’ils estiment frauduleux.
Si la Cour constitutionnelle a validé les résultas de la présidentielle togolaise et confirmé la réélection du président Faure Gnassingbé, l’opposition emmenée par Jean-Pierre Fabre refuse de renoncer et appelle les Togolais à rester mobilisés.
La Cour constitutionnelle a confirmé la réélection de Faure Gnassingbé lors de la présidentielle du 4 mars. Les résultats définitifs sont très proches de ceux qui avaient été annoncés provisoirement deux jours après l’élection.
Les manifestants des deux camps – pouvoir et opposition – se sont mobilisés très tôt le matin du samedi 13 mars pour battre les pavés de Lomé. Les militants du parti au pouvoir (RPT) ont fêté la victoire de leur candidat, le président sortant Faure Gnassingbé, tandis que les opposants emmenés par le candidat malheureux Jean-Pierre Fabre ont dénoncé « une victoire volée ».
Les partisans du président réélu, Faure Gnassingbé, et ceux de son principal opposant, Jean-Pierre Fabre, ont été appelés par leurs partis politiques à manifester dans les rues de Lomé samedi 13 mars.
Le gardien du Togo Kodjovi Obilalé, blessé dans l’attaque contre son équipe dans l’enclave angolaise du Cabinda juste avant la CAN-2010, arrivera samedi à Lorient (nord-ouest de la France), après deux mois d’hospitalisation en Afrique du Sud.
Les autorités ont investi des locaux de l’union des forces de changement (UFC) mardi, où elles ont procédé à onze interpellations et plusieurs saisies d’ordinateur. L’opposition accuse le pouvoir d’avoir fait disparaître des preuves de la fraude électorale, en brûlant notamment les 6 300 procès verbaux de bureaux de vote qu’elle avait recueillis. L’Union africaine a de son côté confirmé l’élection du président sortant Faure Gnassingbé et appelé à la réconciliation.
La mission d’observation électorale de l’Union européenne (MOE UE) a présenté ce week-end un rapport dénonçant les irrégularités de la campagne pour l’élection présidentielle du 4 mars dernier au Togo. La manifestation de l’opposition prévue aujourd’hui a été interdite par le gouvernement.
Selon les résultats annoncés par la Ceni pour la présidentielle du 4 mars, le président sortant Faure Gnassingbé est reconduit. Mais le candidat de l’UFC, Jean-Pierre Fabre, arrivé deuxième, conteste cette victoire et appelle à multiplier les manifestations.
D’après les premiers résultats officiels, mais partiels, le président sortant Faure Gnassingbé devance Jean-Pierre Fabre de 150 000 voix. La tension est montée d’un cran en fin d’après-midi à Lomé.
La revendication de la victoire à la présidentielle togolaise du 4 mars par les camps des deux principaux candidats Jean-Claude Fabre (UFC) et Faure Gnassingbé (RPT) a créé la psychose chez les habitants de la capitale. Des résultats partiels et non-officiels donnaient une faible avance à Faure Gnassingbé en fin d’après-midi.
En fin de journée, ce 5 mars, la tension est montée d’un cran et la confusion règne au Togo, même si aucun incident n’a été signalé. Le candidat de l’UFC Jean-Pierre Fabre s’est déclaré vainqueur de la présidentielle du 4 mars, tandis que le RPT du président sortant Faure Gnassingbé, par la bouche de son secrétaire général Solitoki Esso, a fait savoir qu’il condamnait vivement les propos « inacceptables » de l’opposant. Puis le camp présidentiel a déclaré qu’il revendiquait également la victoire.
Les Togolais se sont rendus aux urnes pour élire leur prochain président de la République, le 4 mars. Le dépouillement a commencé dans le calme. Mais la participation au scrutin semble être faible.
Jour d’élection au Togo, où la population devra choisir entre la continuité, en confirmant dans ses fonctions le président sortant, et le changement, en choisissant parmi une opposition désunie mais conquérante, le candidat qui convient.
Dans une interview téléphonique à Jeuneafrique.com, le président de l’Union des Forces de Changement (UFC) revient sur son soutien à Jean-Pierre Fabre en vue de la présidentielle du 4 mars et annonce sa venue à Lomé aussi vite que possible.