L’attaque dirigée contre le convoi de l’équipe de football du Togo a été revendiquée par le Front de libération de l’enclave de Cabinda (FLEC). Les matchs prévus à Cabinda pourraient être transférés dans la capitale.
Les préparatifs de l’élection présidentielle prévue le 28 février prochain ne manquent pas de piquant. Le clan Gnassingbé fait vendre les sacs de 10 kg de riz – sur lesquels on peut lire : « Le riz, c’est mon Faure » – à 2010 F CFA… Un prix faisant directement référence à l’année de l’élection et situé quelque peu en-dessous de ceux du marché.
Les deux cars des joueurs togolais ont été mitraillés le vendredi 8 janvier à leur arrivée en Angola pour la Coupe d’Afrique des Nations. Le bilan serait d’au moins deux morts et neuf blessés.
Faure Gnassingbé s’est engagé à faire revenir au Togo le corps du premier président du pays, Sylvanus Olympio, tué dans un coup d’État en janvier 1963.
L’Union européenne (UE) a octroyé au Togo environ 9 millions d’euros pour l’organisation de la présidentielle du 28 février 2010, afin qu’elle se déroule conformément aux « standards internationaux ».
Des milliers de femmes membres d’une association proche du pouvoir ont manifesté samedi à Lomé pour exiger le maintien d’un scrutin à un tour lors de la présidentielle de 2010.
Le Réseau africain des promoteurs et entrepreneurs culturels (Rapec) tient son troisième forum le 17 décembre à Marrakech, lors du sommet des collectivités locales Africités. L’occasion pour le mouvement de prêcher, encore une fois, que la culture est une « ressource » essentielle au développement économique de l’Afrique.
La relation entre le diplomate français Eric Bosc et le candidat togolais Kofi Yamgnane est à l’origine de son expulsion, d’après une source proche des autorités. Celles-ci accusent Bosc d’un traitement particulier de la campagne de Yamgnane.
Le candidat à l’élection présidentielle togolaise, Kofi Yamgnane, confirme ses liens d’amitié avec Eric Bosc, le diplomate français expulsé du Togo. Il assure que ces relations étaient sans rapport avec le scrutin prévu pour le 28 février et y voit un signe de « panique » du pouvoir.
Il y a de l’eau dans le gaz entre le Togo et la France. Lomé a expulsé un diplomate qui aurait ouvertement soutenu Kofi Yamgnane pour la présidentielle du 28 février.
Huit mois après son arrestation pour tentative d’atteinte à la sûreté de l’État, le frère du président Faure Gnassingbé est toujours incarcéré. Pour le moment, le dossier semble figé.
Hier le Togo et le Niger, aujourd’hui la Côte d’Ivoire et la Guinée… Le chef de l’État burkinabè n’en finit plus de courir au chevet de ses voisins secoués par les crises. Au point d’en oublier son pays ?
L’ancien capitaine de l’équipe nationale de football du Togo joue aujourd’hui dans un club amateur près de Châteauroux. Tout en passant ses diplômes d’entraîneur.
Pendant que les géants internationaux du secteur poursuivent leurs tentatives de rapprochement avec plus ou moins de succès, les opérateurs régionaux, de moindre envergure, étendent leurs opérations par acquisitions successives.
Le Cameroun s’est qualifié pour le Mondial-2010 après sa victoire au Maroc (2-0), samedi lors de la 6e et dernière journée des qualifications de la zone Afrique.
Kofi Yamgnane, premier maire noir de France, veut désormais se consacrer à son Togo natal, en se présentant à la présidentielle de 2010. Mais avant cela, il exhorte l’Europe à garantir un scrutin transparent, et Paris à ne « plus » soutenir le « dictateur » Faure Gnassingbé.
Bachelier à 13 ans, ce Togolais surdoué est une valeur montante dans le monde du design et de l’architecture d’intérieur. Sa spécialité ? Le mélange des matériaux.
Le patron du groupe Bolloré est critiqué de toutes parts sur ses pratiques africaines, notamment dans la gestion des plantations de palmiers à huile et d’hévéa. Il sort de son silence, décidé à rendre coup pour coup.
Catholique fervent, auteur d’un ouvrage remarqué par le pape sur les Pères de l’Église, Edem Kodjo, ancien secrétaire général de l’OUA, revient sur le synode africain qui s’est achevé le 25 octobre à Rome.
Démantelé pendant vingt ans, le secteur agricole revient au cœur du développement. Les initiatives se multiplient. La priorité est donnée aux entreprises et aux filières. Mais manque l’essentiel : le financement.