Trente et un députés de Nidaa Tounes sur 86 ont annoncé lundi leur démission du bloc parlementaire du parti fondé par le président Béji Caïd Essebsi, secoué par une profonde crise de succession.
Le pôle judiciaire tunisien de lutte contre le terrorisme a entendu lundi un animateur vedette qui affirme posséder des informations sur l’assassinat de deux opposants de gauche.
Le président de la République tunisien a célébré lundi le prix Nobel de la Paix attribué en octobre au quartette du dialogue national, qui « a pu sauver le pays du spectre de la guerre civile ».
Ranya Gnaba, analyste du cabinet AlphaMena, revient pour « Jeune Afrique » sur la dernière recapitalisation de la Société tunisienne de banque, conclue fin octobre.
Interdit au Maroc où il a pourtant été tourné, le film du réalisateur marocain Nabil Ayouch sera en revanche diffusé en Tunisie fin novembre, lors du festival des Journées cinématographiques de Carthage.
L’étudiant tunisien condamné à un an de prison pour homosexualité a été remis en liberté jeudi dans le cadre de son procès en appel, qui se poursuivra le 10 décembre.
L’Union européenne a signé jeudi un accord d’un montant de 23 millions d’euros avec le gouvernement tunisien pour soutenir la réforme et la modernisation du secteur de la sécurité dans le pays.
Les décrets-lois 115 et 116 qui régissent les médias tunisiens étant en cours de révision, les représentants de la société civile font des propositions.
Le parti Nidaa Tounes (« l’Appel de la Tunisie ») est au bord de l’implosion, déchiré par la rivalité entre son secrétaire général, Mohsen Marzouk, et le fils du président, Hafedh Caïd Essebsi. La division de la première formation politique à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) remet profondément en cause les équilibres politiques du pays.
Franc-parler, fermeté, volonté de réformer en profondeur… Le ministre de l’Éducation nationale n’est pas homme à s’en laisser conter. Et ça plaît. Interview.
Dans un livre à charge, notre collaboratrice Fawzia Zouari attire l’attention de l’ancienne chanteuse de rap sur le tort qu’elle cause aux femmes musulmanes en faisant l’éloge de son abaya.
Sayada, 14 000 habitants, est une petite ville de pêcheurs située au centre de la Tunisie, à quelques kilomètres de Monastir. Depuis 2011, la ville côtière s’est distinguée par la mise en place de projets d’open data et d’open government. Or, lundi, l’équipe municipale a remis sa démission. Lotfi Farhane, le maire sortant revient sur l’expérience menée dans sa ville et sur les raisons de cette démission collective.
Rym Mourali, ancien bras droit de Kamel Morjane au parti Al-Moubadra et co-fondatrice du nouveau Parti de l’indépendance tunisienne (PIT), est l’une des rares voix féminines de la politique tunisienne. Elle livre à Jeune Afrique son analyse critique de l’évolution démocratique de son pays depuis les élections et la nouvelle Constitution de 2014.
Le syndicat des imams, qui dépend de l’Organisation tunisienne du travail (OTT, pro-islamiste), est à l’origine d’un mouvement de protestation contre le limogeage de plusieurs imams jugés extrémistes par le ministre des Affaires religieuses.
Trente-deux jours. C’est le temps qu’aura duré la grève de la faim entamée il y a dix ans, le 18 octobre 2005, par huit figures de la scène politique et de la société civile tunisiennes.
L’alliance conclue entre les ennemis d’hier – modernistes de Nidaa Tounes et islamistes d’Ennahdha – augurait de lendemains meilleurs. Elle s’est finalement révélée source de blocage et d’immobilisme. Explication.
L’analyste Kais Kriaa, directeur de la recherche chez AlphaMena, revient pour Jeune Afrique sur l’état et les perspectives du marché boursier en Tunisie.
La toute récente co-lauréate du Prix Nobel de la paix 2015 et patronne des patrons tunisiens, Wided Bouchamaoui, revient sur les graves difficultés économiques de son pays et avance des solutions pour les résoudre. Interview.
Depuis une semaine à Sfax, chaque vendredi, des agitateurs salafistes empêchent la prière du vendredi de se dérouler sereinement. Objectif : protester contre le limogeage d’une vingtaine d’imams radicaux par le ministre des Affaires religieuses.
Le ministre tunisien de la Justice a été limogé après des déclarations manquant de « sérieux », dont celles en faveur d’une dépénalisation de l’homosexualité, a affirmé jeudi le porte-parole du gouvernement.
Classé au patrimoine mondial de l’Unesco, le site archéologique risque de perdre son label en raison d’une notable dégradation de l’environnement liée à un laisser-aller général.