À Paris pour une visite de deux jours, le président tunisien, Béji Caïd Essebsi, s’est exprimé mardi devant le Sénat français. Voici son discours en intégralité.
Quinze ans après son décès, le 6 avril 2000, un hommage solennel a été rendu à l’ancien président tunisien Habib Bourguiba, à Monastir, sa ville natale.
Intervenant quelques jours après la tuerie du Bardo, la visite d’État de Béji Caïd Essebsi à Paris est l’occasion pour les deux pays de dissiper les malentendus. Et de repartir du bon pied.
Standard & Poor’s a révisé le classement du système bancaire tunisien le faisant baisser d’un cran au niveau 9, juste une marche au-dessus de la catégorie considérée la plus risquée.
DJ en pleine ascension, public surchauffé, clubs et festivals bondés… La Tunisie postrévolutionnaire s’enivre de rythmes aux inspirations essentiellement occidentales.
L’attraction du groupe terroriste de l’État islamique sur les jihadistes africains se fait de plus en plus forte. Décryptage des conséquences de ce phénomène avec l’islamologue Mathieu Guidère.
« Le Challat de Tunis », film de Kaouther Ben Hania, revient sur un fait divers qui a traumatisé la Tunisie : l’histoire d’un pervers en scooter qui essayait de balafrer avec son couteau les fesses des passantes.
La Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) a accordé à la Banque de Tunisie une ligne de crédit de 30 millions d’euros destinée à renforcer le développement des micros, petites et moyennes entreprises dans le pays.
Accusé d’avoir dirigé les attentats du Bardo à Tunis, le jihadiste algérien Lokmane Abou Sakhr a été abattu samedi 29 mars par l’armée tunisienne. Le terroriste était impliqué dans la mort de dizaines de policiers et soldats à la suite des attaques menées par son groupe, Phalange Okba Ibn Nafaa.
Plusieurs milliers de personnes ont défilé dimanche dans les rues de Tunis « contre le terrorisme », après l’attentat qui a touché le musée du Bardo, le 18 mars. Parmi elles, des dirigeants politiques et des chefs d’État étrangers, dont le président français François Hollande.
Une importante foule rejointe par des dirigeants étrangers a défilé dimanche à Tunis « contre le terrorisme » en réaction à l’attentat sanglant du musée du Bardo, juste après l’annonce de la mort du chef du principal groupe jihadiste de Tunisie.
Après avoir voté pour le second tour des départementales, le président français s’est envolé dimanche matin pour Tunis, où il participera à la marche contre le terrorisme.
Neuf hommes armés appartenant au principal groupe jihadiste tunisien, la brigade Okba Ibn Nafaa accusée par les autorités de l’attentat du musée du Bardo, ont été tués par les forces de l’ordre, a indiqué dimanche le ministère de l’Intérieur.
La Tunisie organise dimanche une marche contre le terrorisme à laquelle des dizaines de milliers de personnes et des personnalités étrangères, dont le président français François Hollande, sont attendues après l’attentat sanglant au musée du Bardo.
Le président Béji Caïd Essebsi a appelé tous les Tunisiens à venir marcher contre le terrorisme dimanche 29 mars. D’abord plébiscitée par une grande partie de l’opinion, l’évènement à venir est de plus en plus sous le feu des critiques.
Après un premier report, le musée du Bardo de Tunis doit finalement rouvrir ses portes aux écoliers et lycéens vendredi, et exceptionnellement au public lundi, plus d’une semaine après les attentats terroristes qui ont fait 23 morts et plus d’une quarantaine de blessés.
Moins d’une semaine après l’attentat meurtrier du musée du Bardo, Tunis accueille du 24 au 28 mars le Forum social mondial. L’événement devrait réunir plus de 70 000 personnes.
Après avoir annoncé que le musée du Bardo allait rouvrir ses portes au public mardi, les autorités tunisiennes ont finalement décidé de le maintenir fermé pour raisons de sécurité.
Depuis 2012, les attaques jihadistes étaient circonscrites au centre et à l’ouest du pays. Mais ce 18 mars, les terroristes ont choisi de frapper le musée du Bardo, en plein coeur de Tunis. Feront-ils vaciller la démocratie ?
Des sanctions avaient été promises. Lundi, le Premier ministre a limogé les chefs de la police et du musée du Bardo. Le président Béji Caïd Essebsi s’en est, lui, pris à Ennahdha, qu’il a accusé de laxisme.
Pour se relever et relancer ses activités en Afrique centrale, le laboratoire pharmaceutique camerounais Cinpharm a noué un partenariat avec le tunisien Teriak, a appris « Jeune Afrique ».
Le président tunisien Béji Caïd Essebsi a affirmé dimanche qu’un troisième auteur de l’attentat du Bardo était recherché, assurant qu’il n’irait « pas très loin » et promettant des sanctions contre les responsables des défaillances sécuritaires autour du musée.
Sous le choc, le frère de Yassine Laabidi, l’un des deux assaillants du musée de Bardo à Tunis, n’arrive pas à s’expliquer comment ce garçon de 27 ans « chaleureux, beau gosse et aimable » a pu tuer des innocents.
Le président tunisien Béji Caïd Essebsi a enfilé le costume de « père de la Nation » en s’efforçant de ne pas raviver les craintes d’un retour à l’autoritarisme, mais il est désormais attendu sur la riposte à l’attentat du Musée du Bardo.
Dans la foulée des évènements du 18 mars à Tunis, le Maroc, déjà menacé à plusieurs reprises par l’Etat Islamique (EI), a pris la décision de renforcer sa sécurité.