L’auteur tunisien de « Ma religion c’est la liberté » n’en démord pas : le Coran est porteur de modernité et de rationalité, mais son message a été altéré par les hadiths et la charia. Rencontre avec le doyen de la pensée critique musulmane, Mohamed Talbi. Une interview parue dans « Jeune Afrique » n° 2793 (20-27 juillet 2014).
L’annonce par la branche libyenne du groupe terroriste État islamique de l’assassinat de deux journalistes libyens a été démentie vendredi par Tunis. Les images sanglantes précédemment diffusées dans les médias dateraient de 2013.
La branche libyenne de l’organisation État islamique, implantée dans l’est du pays, a annoncé jeudi l’exécution de deux journalistes tunisiens portés disparus depuis le 8 septembre dernier.
Christine Lagarde, directrice générale du Fonds monétaire international, s’est déclarée satisfaite des accomplissements de la Tunisie en matière de transition démocratique et politique. Fin décembre, l’institution internationale a approuvé le versement de 105 millions de dollars dans le cadre d’un plan de soutien de 1,75 milliard de dollars.
Le cadet des frères Kouachi, auteurs présumés de l’attentat contre « Charlie Hebdo », a longtemps été lié à Boubaker el-Hakim, figure réputée du jihadisme tunisien.
Après avoir félicité lundi au téléphone Béji Caïd Essebsi pour son élection à la présidentielle tunisienne, le président américain, Barack Obama, l’a invité à la Maison Blanche. Mais la date du rendez-vous reste à déterminer.
Al-Ahly (Égypte) avait terminé en 2012 et 2013 à la première place du classement des clubs de « Jeune Afrique ». La formation cairote laisse cette fois-ci sa couronne aux Algériens de l’ES Sétif, qui ont remporté la Ligue des Champions.
Habib Essid, ingénieur spécialiste en économie agricole, a été désigné par le président tunisien Béji Caïd Essebsi pour former d’ici un mois un nouveau gouvernement qui devra être validé par le Parlement. Portrait du probable futur Premier ministre, fin connaisseur des rouages du pouvoir.
Après que son parti eut remporté les législatives du 26 octobre, Béji Caïd Essebsi qui vient d’être élu président de la Tunisie, n’aura pas le temps de savourer son grand chelem. Et devra rapidement désigner un Premier ministre.
À écouter les professionnels, en Tunisie, l’effervescence cinématographique ne serait pas encore synonyme de qualité, malgré l’envie pressante de réagir et de plus grandes facilités de tournage.
Vainqueur de l’élection présidentielle du 21 décembre, l’ancien Premier ministre Béji Caïd Essebsi a prêté serment mercredi matin. Il est officiellement le nouveau président de la Tunisie.
Le communiquant Nabil Karoui, qui n’en est plus à sa première polémique, commence à agacer dans les rangs du parti vainqueur de la présidentielle tunisienne.
Passé l’euphorie de la victoire, le président élu et son gouvernement devront se mettre rapidement au travail car la tâche s’annonce ardue. Revue de détail des douze grands chantiers que les nouveaux dirigeants devront impérativement mener.
Vétéran de la politique tunisienne, à 88 ans, Béji Caïd Essebsi a remporté la première présidentielle libre de l’histoire de la Tunisie. L’occasion de (re)découvrir quatre choses peu connue de son parcours.
Vingt-quatre heures après avoir reconnu la victoire à la présidentielle de Béji Caïd Essebsi, le président tunisien sortant Moncef Marzouki a annoncé mardi la création d’un mouvement visant à « empêcher le retour de la dictature ».
Élue de gauche dans la nouvelle Assemblée, la veuve du député assassiné Mohamed Brahmi, Mbarka Aouania, est résolue à poursuivre le combat de son époux. Portrait d’une dame de fer au coeur de velours.
Le congrès d’Ennahdha qui devrait se tenir dans le courant de 2015 risque d’être mouvementé. Rached Ghannouchi, président du parti, est très critiqué pour ses choix politiques lors des derniers scrutins.
Béji Caïd Essebsi, vétéran de la politique tunisienne, a remporté à 88 ans la première présidentielle libre de l’histoire de la Tunisie. Il aura la lourde charge de relancer le pays après quatre ans de transition parfois chaotiques.
Selon des résultats partiels officiels, Béji Caïd Essebsi remporte l’élection présidentielle tunisienne. Il devance le président sortant Moncef Marzouki avec 55,68 % des suffrages.
Manifestations de joie, déclarations politiques et commentaires se sont succédés toute la nuit en Tunisie, après le vote de dimanche pour le second tour de la présidentielle. Si les résultats officiels ne sont pas encore proclamés, tous les sondages à la sortie des urnes désignent un seul homme : Béji Caïd Essebsi.
Après l’Égypte (2010), la Côte d’Ivoire (2011), la Zambie (2012) et le Nigeria (2013), l’Algérie, huitième de finaliste de la Coupe du monde et facilement qualifiée pour la CAN 2015, occupe la première place du classement « Jeune Afrique » des sélections nationales. Les Fennecs devancent la Tunisie et le Sénégal, alors que la Guinée et le Congo apparaissent dans le Top 5.
Béji Caïd Essebsi a revendiqué dimanche soir la « victoire » à l’élection présidentielle tunisienne. Son annonce a été immédiatement contestée par le camp de son adversaire, le président sortant Moncef Marzouki. Les résultats officiels devraient être publiés lundi.
En se choisissant un nouveau chef d’État dimanche, la Tunisie tournait, avec émotion ou indifférence, la page d’une transition postrévolutionnaire qui aura duré quatre ans. Un scrutin marqué également par la recrudescence de la menace terroriste.
Les Tunisiens votaient dimanche pour élire leur président après une transition chaotique de quatre ans dans ce pays où les tensions restent vives, un homme armé ayant été tué dans la nuit par des militaires après une tentative d’attaque.
Le 21 décembre, les Tunisiens décideront qui de Moncef Marzouki ou Béji Caïd Essebsi sera le premier président postrévolution légitimé par les urnes. Jusqu’au bout, les deux candidats n’ont pas lâché un pouce de terrain.
Les Tunisiens de l’étranger, notamment en France, ont commencé à voter dès vendredi, dernier jour de la campagne pour le second tour de la présidentielle, qui opposera dimanche Moncef Marzouki à Béji Caïd Essebsi. Près de 5,3 millions d’électeurs sont appelés aux urnes.
À quelques jours de la présidentielle, au sein du parti islmaiste tunisien Ennahdha, on se demande comment gérer le « cas » Moncef Marzouki avec un minimum de dommages collatéraux ?
Abou Mouqatel (de son vrai nom Abou Bakr al-Hakim), un jihadiste tunisien recherché par les autorités, a revendiqué mercredi l’assassinat de Chokri Belaïd et de Mohamed Brahmi, tués en 2013.