Issus de la société civile, de la classe politique ou du monde des médias, ils auront marqué, par leur action ou par leur influence, la transition démocratique amorcée au lendemain de l’élection de la Constituante, il y a tout juste deux ans. Parmi eux, Abdellatif el-Mekki, un ministre influent qui a des ambitions.
Prévue mardi matin, la première séance plénière de l’Assemblée nationale constituante depuis le lancement des négociations entre Ennahdha et l’opposition a été reportée au milieu d’après-midi. Des observateurs évoquent des désaccords entre les deux camps sur la loi créant la commission électorale.
Issus de la société civile, de la classe politique ou du monde des médias, ils auront marqué, par leur action ou par leur influence, la transition démocratique amorcée au lendemain de l’élection de la Constituante, il y a tout juste deux ans. Parmi eux, un quartet de choc – constitué de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (Utica, patronat), de la Ligue tunisienne des droits de l’homme (LTDH) et de l’Ordre des avocats – qui a joué un rôle crucial pour la mise en place d’un dialogue national.
« Mémoire noire » : c’est le titre du du premier volet d’un documentaire en quatre parties sur la torture en Tunisie dont le cinéaste Hichem Ben Ammar achève en ce moment le montage.
Les chefs de 21 partis devaient discuter lundi après-midi de l’identité du futur Premier ministre indépendant. Le nouveau chef du gouvernement doit théoriquement être choisi d’ici à la fin de la semaine.
Ouverture sur le monde, liens avec les entreprises, obtention de labels de qualité, perspectives de carrière… « Jeune Afrique » (n° 2755-2756) publie son palmarès annuel des meilleures écoles de commerce africaines.
Deux ans et demi après la chute de Zine el-Abidine Ben Ali, l’association “Cartooning for peace” rassemble des dessinateurs de presse dans une Tunisie qui teste encore sa liberté d’expression.
Les pourparlers réunissant islamistes au pouvoir et opposants pour résoudre en un mois une profonde crise politique en Tunisie, lancés vendredi, doivent entrer samedi dans le vif du sujet avec la reprise des travaux de la Constituante.
Les pourparlers entre les islamistes tunisiens au pouvoir et l’opposition pour résoudre une profonde crise politique, sur fond de violences jihadistes, ont débuté vendredi après trois mois de bras de fer et un engagement écrit du Premier ministre à démissionner.
Du Maroc à l’Égypte, en passant par le Mali et le Niger, les Berbères occupent une place à part. Souvent marginalisée par les États, la culture amazigh a survécu. Au prix d’une lutte constante.
Une enquête ouverte par le gouvernement libyen visant à recouvrer des fonds détournés par la famille Kadhafi a permis de remonter jusqu’au Tunisien Slim Riahi.
Le Premier ministre tunisien Ali Larayedh a transmis au quartette de médiateurs de la crise politique tunisienne une promesse de démission. L’opposition refusait jusque là de participer au dialogue national sans un engagement clair du chef du gouvernement.
Des violences en marge des obsèques des sept victimes de l’attaque jihadiste du 23 octobre ont fait cinq blessés, jeudi, en Tunisie. Prévue vendredi, l’ouverture des négociations du « dialogue national » semble à nouveau compromise.
Issus de la société civile, de la classe politique ou du monde des médias, ils auront marqué, par leur action ou par leur influence, la transition démocratique amorcée au lendemain de l’élection de la Constituante, il y a tout juste deux ans.
Le local du parti islamiste Ennahdha dans la ville du Kef (nord-ouest de la Tunisie), où a lieu l’enterrement d’un des gendarmes tués la veille par un groupe armé, a été incendié jeudi.
Interférences dans le circuit de décision, dissimulation d’informations, développement d’une police parallèle au service d’intérêts partisans… En Tunisie, le ministère de l’Intérieur baigne dans l’opacité.
Le tunisien Poulina renforce sa présence en Chine, où il s’apprête à former une coentreprise avec le français Cetrapi pour produire des matériaux de construction.
Initialement prévu mercredi, le lancement du « dialogue national » tant attendu en Tunisie a été reporté à vendredi en raison du décès de six gendarmes dans des combats près de Sidi Bouzid et de la promesse de démission du gouvernement jugée « ambiguë » par l’opposition.
Selon plusieurs sources locales, sept gendarmes tunisiens ont été tués mercredi dans des affrontements avec des combattants armés à Sidi Ali Ben Aoun, dans la région de Sidi Bouzid (centre-ouest).
Du Maroc à l’Égypte, en passant par le Mali et le Niger, les Berbères occupent une place à part. Souvent marginalisée par les États, la culture amazigh a survécu. Au prix d’une lutte constante.
La Tunisie était en attente, mardi soir, d’une promesse de démission du gouvernement dirigé par les islamistes d’Ennahdha. L’annonce de leur départ du pouvoir doit permettre le lancement d’un « dialogue national » censé résoudre la crise politique paralysant le pays depuis trois mois.
Noureddine Aarbaoui, un haut responsable du parti islamiste au pouvoir Ennahdha, a accusé l’opposition tunisienne de chercher à « détruire » les négociations politiques devant débuter mercredi.
L’Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (Finma) suisse a sanctionné trois banques privées pour avoir failli dans le contrôle des comptes suisses de personnes proches de l’ancien président tunisien Ben Ali.
Neuf « terroristes » ont été tués lors d’une opération militaire dans la région de Béja en Tunisie et deux tonnes de matières explosives saisies, selon le ministère de la Défense cité par l’agence officielle TAP.
Le « dialogue national » destiné à sortir la Tunisie d’une profonde impasse politique et à préparer la démission du gouvernement dirigé par les islamistes d’Ennahda débutera mercredi, selon les médiateurs de la crise et l’opposition.
Les dirigeants tunisiens ont été chassés vendredi par des manifestants d’un syndicat policier lors d’une cérémonie en hommage à deux gendarmes tués par un groupe armé, une action témoignant du malaise des forces luttant contre la mouvance jihadiste.