Les pourparlers entre les islamistes tunisiens au pouvoir et l’opposition sur le choix du futur Premier ministre indépendant vont se prolonger pendant « un ou deux jours » faute d’accord samedi, date limite que la classe politique s’était fixée pour résoudre une profonde crise.
L’opposition et les islamistes au pouvoir en Tunisie ne sont toujours pas parvenus à un consensus sur l’identité du futur Premier ministre indépendant qui doit être annoncé samedi et de nouveaux pourparlers sont prévus dans la journée.
Les partis tunisiens négociaient encore vendredi à la veille de l’annonce prévue du nom du prochain Premier ministre, qui succédera au pouvoir aux islamistes d’Ennahda usés par une profonde crise politique et des violences jihadistes.
Le groupe pharmaceutique italien Recordati, qui souhaite se développer sur les marchés émergents, a finalisé la reprise de 67% du capital d’Opalia Pharma. Il souhaite reprendre 23% supplémentaires.
L’agence de notation Fitch Ratings a baissé, encore une fois, la note souveraine de la Tunisie qui passe de BB+ à BB- pour les émissions de longue maturité en devises étrangères. Principaux facteurs d’inquiétude : la dégradation de la situation macroéconomique et les blocages politiques.
Dépendante du ministère de l’Intérieur, la Garde nationale tunisienne est aux côtés de l’armée dans la lutte contre les jihadistes. Aux avant-postes en raison de son implantation rurale, elle est régulièrement endeuillée. Des échecs essentiellement dus à des problèmes de renseignement et à une chaîne de commandement défaillante.
Issus de la société civile, de la classe politique ou du monde des médias, ils auront marqué, par leur action ou par leur influence, la transition démocratique amorcée au lendemain de l’élection de la Constituante, il y a tout juste deux ans. Parmi eux, Slim Riahi, le président de l’Union patriotique libre (UPL).
Pour les autorités tunisiennes, les deux attentats déjoués, mercredi, sont une tentative de « torpiller » le dialogue national entre islamistes au pouvoir et opposition.
Les 27 et 28 octobre, l’association Cartooning for peace a réuni des dessinateurs dans un Tunis présenté comme un volcan à la lave claustrophobe. Mais les caricaturistes se sont moins brûlés aux flammes de la grogne politique que réchauffés aux braises de la passion étudiante…
Tuninvest vient d’investir dans le tunisien Maille Club, l’un des leaders du secteur du textile en Tunisie avec la marque Mabrouk. Les détails financiers ne sont pas connus.
Un kamikaze s’est fait exploser mercredi sur une plage de Sousse. Il visait un hôtel de cette ville balnéaire fréquentée par les touristes. Peu de temps avant, une tentative d’attentat contre le mausolée de Habib Bourguiba à Monastir a été déjouée.
En Tunisie, le dialogue national et les coups de filets dans les milieux terroristes apaisent enfin les esprits. Partis politiques et citoyens n’ont qu’une hâte, passer à la dernière étape de la transition en finalisant la Constitution avant d’aller vers des élections générales.
Issus de la société civile, de la classe politique ou du monde des médias, ils auront marqué, par leur action ou par leur influence, la transition démocratique amorcée au lendemain de l’élection de la Constituante, il y a tout juste deux ans. Parmi eux, Nejmeddine Hamrouni le « guetteur de danger » d’Ennahdha.
Issus de la société civile, de la classe politique ou du monde des médias, ils auront marqué, par leur action ou par leur influence, la transition démocratique amorcée au lendemain de l’élection de la Constituante, il y a tout juste deux ans. Parmi eux, Abdellatif el-Mekki, un ministre influent qui a des ambitions.
Prévue mardi matin, la première séance plénière de l’Assemblée nationale constituante depuis le lancement des négociations entre Ennahdha et l’opposition a été reportée au milieu d’après-midi. Des observateurs évoquent des désaccords entre les deux camps sur la loi créant la commission électorale.
Issus de la société civile, de la classe politique ou du monde des médias, ils auront marqué, par leur action ou par leur influence, la transition démocratique amorcée au lendemain de l’élection de la Constituante, il y a tout juste deux ans. Parmi eux, un quartet de choc – constitué de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (Utica, patronat), de la Ligue tunisienne des droits de l’homme (LTDH) et de l’Ordre des avocats – qui a joué un rôle crucial pour la mise en place d’un dialogue national.
« Mémoire noire » : c’est le titre du du premier volet d’un documentaire en quatre parties sur la torture en Tunisie dont le cinéaste Hichem Ben Ammar achève en ce moment le montage.
Les chefs de 21 partis devaient discuter lundi après-midi de l’identité du futur Premier ministre indépendant. Le nouveau chef du gouvernement doit théoriquement être choisi d’ici à la fin de la semaine.
Ouverture sur le monde, liens avec les entreprises, obtention de labels de qualité, perspectives de carrière… « Jeune Afrique » (n° 2755-2756) publie son palmarès annuel des meilleures écoles de commerce africaines.
Deux ans et demi après la chute de Zine el-Abidine Ben Ali, l’association “Cartooning for peace” rassemble des dessinateurs de presse dans une Tunisie qui teste encore sa liberté d’expression.
Les pourparlers réunissant islamistes au pouvoir et opposants pour résoudre en un mois une profonde crise politique en Tunisie, lancés vendredi, doivent entrer samedi dans le vif du sujet avec la reprise des travaux de la Constituante.
Les pourparlers entre les islamistes tunisiens au pouvoir et l’opposition pour résoudre une profonde crise politique, sur fond de violences jihadistes, ont débuté vendredi après trois mois de bras de fer et un engagement écrit du Premier ministre à démissionner.
Du Maroc à l’Égypte, en passant par le Mali et le Niger, les Berbères occupent une place à part. Souvent marginalisée par les États, la culture amazigh a survécu. Au prix d’une lutte constante.
Une enquête ouverte par le gouvernement libyen visant à recouvrer des fonds détournés par la famille Kadhafi a permis de remonter jusqu’au Tunisien Slim Riahi.
Le Premier ministre tunisien Ali Larayedh a transmis au quartette de médiateurs de la crise politique tunisienne une promesse de démission. L’opposition refusait jusque là de participer au dialogue national sans un engagement clair du chef du gouvernement.
Des violences en marge des obsèques des sept victimes de l’attaque jihadiste du 23 octobre ont fait cinq blessés, jeudi, en Tunisie. Prévue vendredi, l’ouverture des négociations du « dialogue national » semble à nouveau compromise.
Issus de la société civile, de la classe politique ou du monde des médias, ils auront marqué, par leur action ou par leur influence, la transition démocratique amorcée au lendemain de l’élection de la Constituante, il y a tout juste deux ans.
Le local du parti islamiste Ennahdha dans la ville du Kef (nord-ouest de la Tunisie), où a lieu l’enterrement d’un des gendarmes tués la veille par un groupe armé, a été incendié jeudi.