La Banque centrale tunisienne a annoncé, vendredi 24 mai, que 60 millions de francs suisses de l’ancien président Ben Ali allaient « bientôt » être remis à la Tunisie.
En remportant la Palme d’or du Festival de Cannes avec ses deux actrices pour son film La vie d’Adèle, ce dimanche 26 mai, le réalisateur Abdellatif Kechiche entre au sein du club des plus grands hommes de cinéma français. Retour sur le parcours d’un acteur tunisien rebelle et hors norme.
Deux responsables de la Ligue de protection de la révolution (LPR) arrêtés, le 25 mai, en marge d’un rassemblement interdit ont été libérés, a annoncé dimanche cette milice aux méthodes brutales accusée par l’opposition d’être proche du parti islamiste au pouvoir Ennahda.
Manuel Valls, le ministre français de l’Intérieur, a reçu « Jeune Afrique ». Terrorisme, islamisme radical, situation en Tunisie et au Sahel, mais aussi politique d’immigration, droit de vote des étrangers, laïcité… Il livre ses vérités dans le numéro 2733, en kiosques du 26 mai au 1er juin.
La Femen tunisienne Amina sera jugée le 30 mai à Kairouan. Elle avait été arrêtée, en possession de spray d’autodéfense, dimanche 19 mai, après avoir peint « FEMEN » sur un muret du cimetière mitoyen de la grande mosquée de Kairouan. Elle risque jusqu’à deux ans de détention pour possession de gaz lacrymogène et profanation.
Après une année 2012 atone et malgré un contexte politico-économique difficile, les introductions se multiplient à la BVMT. Principale cause de cette ruée : l’assèchement des crédits bancaires.
Cette année, deux films réalisés par des cinéastes d’origine africaine sont en lice pour la palme : « Grigris » du Tchadien Mahamat-Saleh Haroun et « La vie d’Adèle » du Franco-Tunisien Abdellatif Kechiche. Ce dernier long-métrage, diffusé pour la première fois jeudi 23 mai, a rencontré un franc succès. Un avant-goût de la remise des palmes, dimanche 26 mai ?
Du Mali à l’Afrique du Sud, en passant par la Côte d’Ivoire et la RDC, les droits de l’homme ont souffert sur le continent africain en 2012. Mais au-delà de dégradations liées essentiellement à des crises politiques, l’Afrique a suscité quelques bonnes surprises, comme la tenue d’élections pacifiques au Sénégal ou au Kenya. C’est donc le portrait d’une Afrique très contrastée que l’ONG Amnesty International dresse dans son rapport annuel sur les droits humains, publié le 23 mai.
L’entreprise tunisienne Eurocycles, spécialisée dans la fabrication de vélos et de cycles exclusivement destinés à l’export, fait son entrée à la Bourse de Tunis.
Radical, le dramaturge tunisien évoque sans langue de bois son nouveau spectacle, « Tsunami », un flot tourmenté en prise directe avec la Tunisie postrévolutionnaire.
Une perquisition des autorités canadiennes a permis de découvrir un document selon lequel SNC-Lavalin aurait versé 6 millions de dollars à Slim Chiboub, gendre de l’ex-président tunisien. L’affaire impliquerait aussi Riadh Ben Aissa, vice-président de la société canadienne au moment des faits.
Cette ancienne conseillère de Jalloul Ayed, aujourd’hui directrice de Swicorp, s’apprête à lever 50 millions d’euros pour créer un fonds d’investissement dévolu au tourisme.
Dans toute le monde arabo-berbère, les conséquences des bouleversements politiques survenus en 2011 ne laissent pas d’inquiéter. Analyse en profondeur d’un grand spécialiste du sujet.
Le coronavirus fait un nouveau mort et pour la première fois en Afrique du Nord, en Tunisie. À ce jour, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a recensé 20 cas d’infection mortels dont 16 en Arabie Saoudite.
La blogueuse Amira Yahyaoui a fondé l’ONG Al Bawsala, un observatoire de la transparence et de la bonne gouvernance qui rend compte, sur le site marsad.tn, de l’activité de l’ANC.
Ansar al-Charia a appelé à manifester vendredi 24 mai à Kairouan pour protester contre l’interpellation, dimanche dernier, de son porte-parole Seifeddine Raïs. Les autorités tunisiennes ont refusé de commenter cette arrestation.
Depuis le 29 avril, l’armée et la garde nationale ratissent le Jebel Chaambi pour débusquer un groupe de jihadistes engagés dans une tentative de déstabilisation régionale.
Le Premier ministre tunisien, Ali Larayedh, a annoncé lundi 20 mai l’arrestation d’environ 200 islamistes radicaux d’Ansar al-Charia lors de heurts avec la police ayant suivi l’interdiction du congrès du mouvement salafiste jihadiste à Kairouan.
Le Premier ministre tunisien, Ali Larayedh, a qualifié de « terroriste » le groupe salafiste jihadiste Ansar al-Charia, jugé responsable de violents heurts dimanche 19 mai à Tunis, après l’interdiction du congrès de ce mouvement à Kairouan. Les affrontements entre forces de l’ordre et islamistes radicaux ont fait un mort et une quinzaine de blessés.
L’Égypte, l’Afrique du Sud, le Maroc, la Tunisie ou encore l’Algérie figurent parmi les pays africains les plus vulnérables à la cybercriminalité. Les principales victimes en sont les entreprises mais aussi les particuliers, à travers les mobiles. Et partout, les politiques africaines de prévention et de défense laissent à désirer.
Un manifestant a été tué à Tunis et une quinzaine de policiers et militants salafistes blessés lors des heurts entre forces de sécurité et partisans du mouvement jihadiste Ansar al-Charia après l’interdiction de son congrès à Kairouan.
Le mouvement salafiste jihadiste Ansar al-Charia a demandé à ses partisans de renoncer à venir à Kairouan où cette organisation a prévu de tenir dimanche son congrès annuel malgré son interdiction par le gouvernement
Les forces de sécurité tunisiennes déployées par centaines à Kairouan pour empêcher la tenue du congrès d’un mouvement salafiste, Ansaral-Charia, ont interpellé dimanche à l’aube le porte-parole de cette organisation, selon des sources concordantes.
Les forces tunisiennes étaient sur le qui-vive samedi de craintes de confrontation avec des militants salafistes jihadistes qui ont maintenu leur congrès à Kairouan dimanche malgré l’interdiction prononcée par le gouvernement dirigé par les islamistes d’Ennahdha.
Le ministère tunisien de l’Intérieur a finalement pris la décision, vendredi 17 mai, d’interdire le grand rassemblement salafiste prévu dimanche à Kairouan. Explication : celui-ci présente, selon le gouvernement, une « menace pour la sécurité et l’ordre public ».
Les tensions entre la Tunisie et l’Algérie ne sont pas seulement dues à la présence de djihadistes à leurs frontières. Le « masque de Gorgone », que la Tunisie doit restituer à l’Algérie depuis plus de deux ans, provoque lui aussi un certain malaise.
Affrontements en République Démocratique du Congo, visite de Valérie Trierweiler au Mali, immolation par le feu de jeunes tunisiens… Revivez en image avec « Jeune Afrique » les moments forts de la semaine.