Le ministre tunisien de l’Éducation a ordonné une enquête contre des lycéens de Tunis après leur mise en scène du buzz planétaire « Harlem Shake », danse ridicule dans laquelle les acteurs se déguisent et imitent des actes sexuels. Outrée par les menaces minitérielles, la blogosphère tunisienne organise la riposte et prépare une « flashmob ».
Quelque 1,8 tonne d’or en provenance de Tunisie et à destination d’Istanbul et de Dubaï ont transité par la France. L’affaire suscite de nombreuses interrogations, mais les autorités n’ont pas l’air de s’en émouvoir.
La France est « le pays qui comprend le moins l’islam et les Tunisiens », et ces derniers se sont sentis « insultés » par les propos du ministre français de l’Intérieur, Manuel Valls, évoquant « un fascime islamique », a déclaré le chef du parti islamiste tunisien Ennahda.
L’islamiste Ali Laarayedh, ancien ministre de l’Intérieur, a été nommé Premier ministre vendredi 22 février. Dans son premier discours, il a promis de former un cabinet dans lequel se retrouveront tous les « Tunisiens et les Tunisiennes », insistant notamment sur l’égalité des sexes.
Le ministre de l’Intérieur sortant, Ali Laarayedh, a été désigné par son parti, Ennahdha, pour prendre la relève de Hamadi Jebali à la tête du gouvernement. Il a été officiellement nommé à ce poste vendredi 22 février à la mi-journée.
Les raisons du départ de l’ambassadeur du Maroc à Tunis, Najib Zerouali Ouariti, au début du mois, relèvent d’un problème d’ingérence dans les affaires politiques intérieures tunisiennes.
Le Premier ministre démissionnaire, Hamadi Jebali, a décliné, jeudi 21 février, une offre de reconduction à la tête du gouvernement tunisien. Ennahdha a indiqué qu’il procédait à des consultations pour présenter un autre candidat islamiste à la primature.
Les négociations entre Rached Ghannouchi et Moncef Marzouki ont repris de plus belle en Tunisie, au lendemain de la démission du Premier ministre, Hamadi Jebali. Objectif : sortir la Tunisie d’une crise gouvernementale qui dure depuis huit mois.
Le groupe contrôlé par la famille Sellami vient d’obtenir le feu vert pour l’admission de One Tech holding sur la place de Tunis. Le Conseil du marché financier doit désormais valider l’opération, qui permettra de proposer aux épargnants 23,5% du capital.
Le Premier ministre tunisien, Hamadi Jebali, a officiellement démissionné, mardi 19 février, en début de soirée. Cette annonce fait suite à l’échec des négociations autour de sa proposition de former un nouveau gouvernement de technocrates sans appartenances politiques. Il a déclaré ne pas vouloir participer à un autre gouvernement si une date n’était pas fixée pour les futures élections.
L’assassinat de Chokri Belaïd aura rompu le fragile équilibre sur lequel reposait la troïka, conduit l’opposition à serrer les rangs et suscité une forte mobilisation populaire contre la violence.
Neuf mois après avoir relégué la Tunisie dans la catégorie spéculative, l’agence de notation Standard & Poor’s abaisse une nouvelle fois la note du pays, à BB-. En raison des tensions politiques.
Enhardie par les ventes de sa tablette Everpad, dont 2000 exemplaires se sont écoulés en quelques mois, la société tunisienne Evertek veut décrocher aussi une place de leader sur le marché des smartphones.
L’initiative de mise en place d’un gouvernement apolitique lancée par le chef de l’exécutif tunisien, Hamadi Jebali, a échoué. Mais la crise gouvernementale semble sur le point de se résoudre.
Dans son numéro 2719, en kiosques du 17 au 23 février 2013, Jeune Afrique prend position contre le projet politique de Rached Ghannouchi. Celui, non avoué publiquement, de placer rapidement la Tunisie sous une dictature islamiste.
À peine nommé sélectionneur de la Tunisie, vendredi 15 février, Nabil Maâloul s’est mis au travail, à un mois de la venue de la Sierra Leone à Radès, le 24 mars, en qualifications pour la Coupe du Monde 2014. Au programme : motivation, discipline et… sollicitation des joueurs Karim Haggui et Saphir Taïder.
Pendant un an et demi, 1800 kilos de lingots seraient arrivés en France en provenance de Tunisie avant de transiter vers le Proche-Orient. Le tout sans que les autorités françaises ne réagissent.
Le Premier ministre tunisien Hamadi Jebali reprend, lundi 18 février, les tractations avec les partis politiques pour tenter de former un gouvernement de technocrates. En réponse, Ennahdha a une nouvelle fois répété son opposition à cette initiative.
On était plutôt habitués à l’inverse. À la faveur de la crise au nord de la Méditerranée, de plus en plus d’entreprises tunisiennes et marocaines s’implantent en France, en Belgique, en Espagne… Et ça ne fait que commencer.
La Tunisie était toujours dans l’incertitude dimanche, avant la reprise lundi des tractations sur la formation d’un gouvernement de technocrates sur fond de bras de fer entre le Premier ministre et son parti islamiste, Ennahda, qui refuse de céder le pouvoir.
En pleines négociations pour trouver une solution à la crise gouvernementale qui agite la Tunisie, le parti islamiste Ennahdha a organisé une grande manifestation à Tunis, le 16 février, pour défendre sa légitimité à gouverner. En point d’orgue, l’intervention de Rached Ghannouchi.
Le parti islamiste Ennahda a promis samedi de ne pas céder le pouvoir, devant quelque 15.000 partisans réunis à Tunis, alors que les tractations pour la formation d’un nouveau gouvernement s’éternisent et que le pays vit sa pire crise politique depuis la révolution.
Mourad Ben Chaâbane, directeur général de l’intermédiaire en bourse MAC SA a annoncé la création d’un fonds d’investissement de 100 millions de dinars en partenariat avec le capital-investisseur panafricain Emerging Capital Partners. Objectif : financer le développement des PME tunisiennes.
Quelque 15.000 partisans du parti islamiste Ennahda, au pouvoir, manifestaient samedi dans le centre de Tunis pour défendre le droit de leur mouvement à diriger le pays qui traverse sa pire crise politique depuis la révolution de janvier 2011.
Le Premier ministre tunisien Hamadi Jebali se livrait vendredi à d’ultimes consultations pour former un gouvernement apolitique, contre l’avis de son parti islamiste, alors que le pays connaît sa plus grave crise depuis la révolution.
Comme nous le supposions mercredi 13 février, Nabil Maâloul, préféré à Khaled Ben Yahia, a été nommé sélectionneur de la Tunisie en remplacement de Sami Trabelsi, qui avait démissionné la semaine dernière.
Dans un entretien accordé à l’hebdomadaire français Marianne, le vice-président d’Ennahdha, Abdelfattah Mourou, réclame le départ du chef du parti, Rached Ghannouchi. Et soutient l’initiative de Hamadi Jebali, qui a proposé la formation d’un gouvernement de technocrates apolitique pour sortir le pays de la crise.
Le Premier ministre tunisien Hamadi Jebali a déclaré, jeudi 14 février, qu’il annoncerait, samedi 16 février, le succès ou l’échec de sa proposition de former un gouvernement de technocrates. Depuis l’assassinat de l’opposant Chokri Belaïd, la Tunisie est plongée dans une grave crise politique.