Depuis le Printemps arabe, la chaîne qatarie, Al-Jazira, voit son audience progressivement grignotée par ses jeunes concurrentes nationales. Analyse d’un rapport interne confidentiel.
Les plis de l’offre à prix ferme sur les actions de la société AeTech ont été ouverts vendredi 15 mars à la Bourse de Tunis. Les investisseurs n’ont pas été timides : l’offre a été souscrite 11,7 fois.
Près de trois mois après son lancement, la Foire des biens confisqués aux familles Ben Ali et Trabelsi affiche un premier bilan très mitigé. Les voitures de luxe, notamment, n’ont pas trouvé preneur.
Nommé Premier ministre après la démission de Hamadi Jebali, Ali Larayedh a réussi in extremis à former un gouvernement. Singulière revanche pour cet islamiste modéré appelé aujourd’hui à s’élever au-dessus de la mêlée pour mener à bien la dernière phase de la transition démocratique.
Plusieurs centaines de personnes ont participé, jeudi 14 mars, aux funérailles du vendeur à la sauvette qui s’est mortellement immolé mardi à Tunis. La procession funéraire s’est ensuite transformée en manifestation contre Ennahdha, le parti islamiste au pouvoir.
Le nouveau gouvernement d’Ali Larayedh entre en fonction ce jeudi 14 mars. Un début terni par les obsèques d’un vendeur ambulant qui s’est immolé par le feu mardi à Tunis, rappelant le suicide qui avait déclenché le Printemps arabe : celui d’un certain Mohamed Bouazizi.
Une majorité d’élus de l’Assemblée nationale constituante a accordé sa confiance au gouvernement tunisien, présenté le 8 mars par le Premier ministre Ali Larayedh.
En Afrique, le groupe hôtelier Marriott va passer de 9 à 55 établissements au minimum d’ici à 2020. Parmi les priorités figurent l’Algérie mais aussi plusieurs villes marocaines et tunisiennes.
Deux jeunes, un homme et une femme ayant participé à la réalisation d’un clip du rappeur Wekld El 15, lui-même recherché par la police, ont été placés en détention par la justice tunisienne, lundi 11 mars. Ils sont poursuivis pour calomnie et rébellion contre les fonctionnaires.
Le nouveau gouvernement, formé dans la douleur par le Premier ministre Ali Larayedh, saura-t-il répondre aux attentes des Tunisiens ? Sur la base d’un sondage non représentatif auquel près de 600 d’entre vous ont participé, Jeune Afrique a dressé une feuille de route participative – et tout à fait indicative – pour le nouvel exécutif. À bon entendeur…
Mövenpick souhaite disposer d’une trentaine d’adresses en Afrique d’ici à 2016, contre 23 aujourd’hui. Le continent pourrait alors représenter 30% des revenus de la chaîne hôtellière.
Le ministre algérien de l’Intérieur, Dahou Ould Kablia, a fait plusieurs « révélations » de taille au cours d’une interview à « Al Arabiya », le 11 mars. Elles concernent les deux terroristes d’Aqmi, Mokhtar Belmokhtar et Abou Zeid, les otages japonais pendant de l’attaque d’In Amenas, ou encore les assassins présumés de Chokri Belaïd en Tunisie.
Un homme de 27 ans, vendeur de cigarettes à la sauvette, est décédé mercredi 13 mars. La veille, il s’était immolé par le feu sur l’avenue Habib-Bourguiba, en plein centre de Tunis. Le jour même de la présentation du gouvernement à l’Assemblée constituante qui a, du coup, été reportée d’une journée.
Des élus de l’opposition tunisienne ont brocardé, le 11 mars, le calendrier politique « pas réaliste » de la majorité, qui prévoit l’adoption de la Constitution au début de juillet et des élections dès le 27 octobre 2013. Un échéancier dont le vote par les députés était prévu 24 heures après. Au plus tôt…
La Tunisie entame le 11 mars une semaine politique chargée afin d’investir le nouveau gouvernement et approuver un calendrier d’adoption d’une Constitution à même de sortir le pays de l’impasse, tandis que l’opposition célébrera la mémoire de l’opposant assassiné, Chokri Belaïd.
Plusieurs centaines de personnes ont manifesté à Tunis, le 9 mars après-midi, pour protester contre le pouvoir en place, dominé par les islamistes, lors d’un rassemblement prévu à l’origine pour défendre les droits des femmes.
Accouchement au forceps du gouvernement tunisien d’Ali Larayedh. Le nouveau né reste dans la lignée du précédent exécutif, sauf pour les ministères de souveraineté devenus indépendants.
Le Premier ministre, Ali Larayedh, a annoncé une des premières bonnes nouvelles en Tunisie depuis longtemps : la formation d’un gouvernement de consensus est sur le point d’aboutir après plus de huit mois de crise politique.
Ali Larayedh a été chargé, le 22 février, par le président tunisien Moncef Marzouki, de former un gouvernement de coalition pour sortir le pays d’une profonde crise politique. Des négociations tendues sont en cours. L’ex-ministre de l’Intérieur a moins de 48 heures pour trouver un compromis.
Le fondateur de One Tech entend internationaliser le capital du groupe tunisien en l’introduisant en Bourse. Quitte à ne pas faire de ses enfants des héritiers.
Par sa mesure, sa dignité et sa détermination, l’ex-épouse de Chokri Belaïd, assassiné le 6 février, a ému les Tunisiens et forcé leur respect. Portrait d’une militante décidée à poursuivre le combat pour les libertés.
Plusieurs sondages, dont le dernier publié le 1er mars par le cabinet Sigma Conseil, montrent que la cote du parti islamiste Ennahdha s’effrite. Tandis que celle de son principal rival, Nida Tounès, grimpe.
Économie, sécurité, élections… Les chantiers du nouveau Premier ministre tunisien, Ali Laarayedh, sont immenses. Reste à établir les priorités de l’action gouvernementale. À travers un sondage, Jeune Afrique vous propose de définir vous-mêmes la feuille de route du nouvel exécutif. À vos clics !
L’Afrique n’échappe pas au phénomène viral du Harlem Shake. Du nord au sud, des jeunes publient des vidéos d’une trentaine de secondes dans lesquelles on les voit, déguisés ou dénudés, se dandiner de façon frénétique. Une mode qui provoque la colère dans certains milieux islamistes, notamment au Maghreb. Tour d’horizon.
Le groupe entend profiter de l’entrée de la Société financière internationale dans son capital pour poursuivre sa croissance à marche forcée. Au risque d’une surchauffe ?
Après plus de huit mois de tractations, Ennahdha a finalement fait une concession importante aux autres partis de la troïka et de l’opposition. En renonçant à vouloir contrôler quatre ministères régaliens, qui devraient être confiés à des indépendants, Rached Ghannouchi ouvre ainsi la voie à un règlement de la crise gouvernementale.