Dans le cadre de sa préparation pour la CAN 2013, qui se déroulera du 19 janvier au 10 février en Afrique du Sud, la sélection tunisienne va se déplacer au Qatar pendant une douzaine de jours.
Après une année 2011 calamiteuse, avec 77,2 millions d’euros de pertes, le président de Tunisair, Rabeh Jrad, entend renverser la vapeur grâce à sa nouvelle stratégie.
Tunisien de cœur, le maire de Paris, Bertrand Delanoë, est le premier responsable politique français à effectuer une visite officielle au pays du Jasmin depuis la victoire socialiste à la présidentielle française, en mai dernier. Lors de sa présence dans le pays, du 5 au 8 novembre, il a rencontré les dirigeants de la troïka gouvernementale, des représentants de l’opposition et de la société civile et participé, en tant que Maire de Paris, aux Assises de coopération décentralisée tuniso-française, à Monastir, où « Jeune Afrique » l’a rencontré. Interview.
En cédant sa filiale Mattel, Tunisie Télécom signe la fin de son aventure africaine. En dépit des performances modestes de l’opérateur, le français Orange et le marocain Inwi sont en lice pour son rachat.
En exclusivité sur Jeune Afrique, découvrez les résultats des mesures moyennes d’audience des chaînes de télévisions tunisiennes réalisées par le bureau d’études Sigma Conseil sur les dix premiers mois de 2012.
Al-Ahly et l’Espérance de Tunis, qui vont s’affronter dimanche 4 novembre à Alexandrie en finale aller de la Ligue de Champions (retour le 17 novembre), se connaissent presque par cœur. Les Tunisiens, tenants du titre, récusent l’étiquette de favori.
L’émotion est vive en Tunisie, où la violence est encore montée d’un cran, jeudi 1er novembre au soir. Sur la chaîne Ettounsiya, l’imam salafiste de la mosquée Ennour, dans la banlieue de la Manouba à Tunis, Nasreddine Aloui, a appelé la jeunesse à mourir en martyr pour lutter contre le gouvernement.
Réunis au Rwanda, dans le cadre de la 7ème conférence économique afrcaine (CEA), les économistes et décideurs du continent ont débattu, du 30 octobre au 2 novembre, sur les moyens de parvenir à une croissance inclusive et à un développement durable. Ali Chebbi, conseiller économique du chef du gouvernement tunisien, revient sur les défis auxquels son pays est confronté.
Plusieurs centaines de policiers tunisiens ont brièvement manifesté, jeudi 1er novembre au matin, devant le ministère de l’Intérieur. Ils réclament plus de moyens et dénoncent les agressions dont ils sont victimes, notamment de la part d’islamistes radicaux.
Le président Moncef Marzouki a décidé, mercredi 31 octobre, de prolonger de trois mois l’état d’urgence en Tunisie. Une décision qui fait suite aux violences exceptionnelles déclenchées par des salafistes en banlieue de Tunis.
Stupeur en Tunisie. Malgré la trêve de l’Aïd el-Kébir, les salafistes n’hésitent pas à recourir à l’ultra-violence pour faire régner leur ordre moral à Douar Hicher, en banlieue de Tunis. Pendant ce temps, les tensions entre partis politiques se font plus vives que jamais, sur fond de première lecture à l’Assemblée du projet de Constitution.
Il est loin le temps où les pays du Golfe investissaient massivement au Maghreb. À l’occasion de son rapport annuel, le réseau méditerranéen Anima souligne l’importance de les attirer vers des secteurs plus productifs et créateurs d’emploi que par le passé.
Les forces de sécurité utiliseront « tous les outils permis par la loi » en cas d’attaque des islamistes radicaux, a déclaré, mercredi 31 octobre, le porte-parole du ministère tunisien de l’Intérieur, Khaled Tarrouche.
Des affrontements entre forces de l’ordre et islamistes radicaux ont fait un mort parmi ces derniers, mardi 30 octobre, dans la banlieue de Tunis. L’annonce de l’arrestation d’un salafiste soupçonné d’avoir blessé, samedi, le chef de la brigade de sécurité publique de la Manouba, Wissem Ben Slimane, serait à l’origine des violences.
La nouvelle zone industrielle de Kénitra, au Maroc, va accueillir bientôt l’opérateur tunisien Plastic Electromechanic Company. Celui-ci compte y investir environ 6 millions d’euros pour élargir sa production de pièces auto, destinée entièrement à l’export.
Au terme d’une année d’exercice parlementaire, les Tunisiens font un premier bilan. Un regard mitigé au moment où les difficultés s’accentuent. Voyage aux quatre coins du pays.
Un an après les premières élections démocratiques, la situation ne semble guère reluisante en Tunisie. Reste que les raisons d’espérer sont nombreuses.
Quelque 2,5 millions de fidèles en pèlerinage à La Mecque ont entamé vendredi le rituel de lapidation de Satan, au premier jour de l’Aïd Al-Adha, la fête du sacrifice célébrée par les musulmans dans le monde entier.
Le gouvernement tunisien, dominé par le parti islamiste Ennahdha, entretient l’ambiguïté sur sa vision des médias, alternant promesses de respect de la liberté de la presse et discours menaçants.
Le ministère des Finances tunisien a lancé un avis d’appel à manifestation d’intérêt relatif à la cession de près de 50% du capital de la Tunisian Qatari Bank.
Le tirage au sort des quatre groupes qui s’affronteront lors de la phase finale de la CAN 2013 en Afrique du Sud a été réalisé à Durban, mercredi 24 octobre. Les favoris ivoiriens auront fort à faire pour confirmer leur statut face à l’Algérie ou la Tunisie.
Interdit par la loi, le mariage coutumier n’était pratiqué, discrètement, que dans les campagnes reculées. Mais depuis la révolution, il est devenu un véritable phénomène de société.
Le 25 octobre, Habib Kazdaghli, doyen de la faculté des lettres, des arts et des humanités de la Manouba (Flahm) a comparu devant le tribunal de première instance de Tunis pour « agression » envers une étudiante. À la demande de ses avocats, son procès a été à nouveau reporté, au 15 novembre. Soutenu par le conseil scientifique de la faculté, il s’était distingué par sa farouche opposition au port du niqab par les étudiantes pendant les cours et les examens, ce qui avait conduit au blocage de la faculté par des jeunes salafistes pendant de longues semaines, à la fin de 2011. Interview.
Les négociations reprennent pour la libéralisation du ciel tunisien. Attendu par les hôteliers et autres opérateurs mais sans cesse reporté, l’accord risque de frapper douloureusement la compagnie nationale.
À Tunis, les rues étaient pavoisées pour marquer l’anniversaire des premières élections libres qu’a connu le pays, il y a exactement un an. Mais le cœur n’y était pas : trop de promesses, trop d’incertitudes et une montée de la violence politique qui sèment le doute quant aux avancées de la démocratie. Selim Ben Abdesselem, député de l’Assemblée nationale constituante, ancien élu d’Ettakatol aujourd’hui indépendant, revient sur les enjeux de la transition.