Des groupes salafistes menacent les libertés en Tunisie, a estimé vendredi le président d’honneur de la Ligue tunisienne de la défense des droits de l’homme (Ltdh) l’avocat Mokhtar Trifi.
Le tennis n’est assurément pas le sport le plus pratiqué d’Afrique. Les joueurs du continent sont donc peu nombreux à participer, à partir de dimanche 27 mai, à la grand messe du tennis sur la terre battue ocre de Roland Garros, à Paris. Jeune Afrique fait les présentations des trois seuls Africains du tournoi, les Sud-Africains Kevin Anderson et Chanelle Scheepers et le Tunisien Malek Jaziri.
Amnesty International a rendu public, jeudi 24 mai, son rapport annuel sur l’état des droits de l’homme dans le monde. En ce qui concerne le continent africain, l’année 2011 a été incontestablement celle des pays du Maghreb, où le vent du Printemps arabe poursuit sa course.
Pilier de l’industrie automobile de Tunisie, le secteur du câblage a été secoué par la montée des revendications sociales. Crise mondiale oblige, il risque en outre de réduire la voilure cette année.
Le procureur du tribunal militaitre du Kef a requis la peine de mort, mercredi 23 mai, contre le dictateur tunisien déchu Zine el-Abidine Ben Ali, jugé par contumace. Une décision qui ne fait pas l’unanimité.
Dans un contexte politique aussi complexe que confus et un environnement socioéconomique encore instable, la société civile tunisienne émerge, prend des initiatives et montre qu’elle est capable de mobiliser l’opinion.
Le président tunisien, Moncef Marzouki, a donné son accord pour extrader dans les « jours ou semaines » à venir l’ancien Premier ministre libyen de Mouammar Kadhafi, Baghdadi Mahmoudi, vers la Libye. La fin d’un long feuilleton judiciaire qui n’a cependant pas fini de faire parler de lui.
La Banque européenne pour la reconstruction et le développement (Berd), créée en 1991 pour aider les ex-pays communistes à réformer leur économie, s’est dotée samedi d’un fonds spécial d’un milliard d’euros pour étendre dès cette année ses opérations à quatre « démocraties arabes émergentes », l’Egypte, la Tunisie, le Maroc et la Jordanie.
Certaines mosquées tunisiennes aux mains d’islamistes radicaux appellent les jeunes à « aller au djihad » en Syrie contre le régime de Bachar al-Assad, a reconnu vendredi un responsable du ministère tunisien des Affaires religieuses.
Depuis l’échec des formations modernistes lors des élections à l’Assemblée constituante tunisienne d’octobre 2011, Ahmed Néjib Chebbi, le fondateur du Parti démocrate progressiste (PDP), se faisait discret.
Des affrontements ont fait sept morts à Ghadamès, ville libyenne proche de la frontière avec l’Algérie et la Tunisie. Il s’agirait d’un accrochage entre membre d’une tribu locale et des Touaregs pour le contrôle d’un des principaux points d’entrée de la ville.
Les bouleversements politiques en Tunisie et la situation économique difficile en Europe ont mis à nu les faiblesses du secteur touristique. Depuis la révolution, les opérateurs peinent à définir une nouvelle stratégie, hésitant entre l’offre de masse et le très haut de gamme.
Le projet de la raffinerie de Skhira vient d’être ranimé par une délégation qatarie en visite à Tunis. S’il voit le jour, le site pourrait multiplier par quatre les capacités de raffinage de la Tunisie.
À la demande du patronat tunisien, le 15e congrès des hommes d’affaires et des investisseurs arabes se déroule les 14 et 15 mai à Tunis. Face à une situation économique dégradée, la présidente de l’Union Tunisienne de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat (UTICA) milite pour le développement des relations commerciales avec les pays arabes. Un travail de longue haleine dont les résultats ne seront sans doute pas visibles avant plusieurs années.
Vie chère, chômage, désordre, insécurité… Très préoccupante, la situation socioéconomique de la Tunisie n’en est pas pour autant désespérée. À condition que tout le monde se remette sérieusement et rapidement au travail.
Née sous le signe de l’abondance, la deuxième ville de Tunisie n’a pas souffert du Printemps arabe. Mieux, elle a profité indirectement de la guerre en Libye.
Après le tourisme et la finance, les grands argentiers du Golfe se concentrent sur l’immobilier tunisien. En trois ans, 150 000 habitations doivent être construites.
Après le tourisme et la finance, les grands argentiers du Golfe se concentrent sur l’immobilier tunisien. En trois ans, 150 000 habitations doivent être construites.
Quelques jours avant les élections législatives, durant la campagne électorale, les habitants du Sud de l’Algérie ont surtout exprimé leurs frustrations vis-à-vis du pouvoir central. Un mal de vivre indolent, presque discret, mais ce calme est trompeur. Reportage.
Les bouleversements politiques dans le pays et la situation économique difficile en Europe ont mis à nu les faiblesses du secteur. Les opérateurs peinent à définir une nouvelle stratégie, hésitant entre l’offre de masse et le très haut de gamme.
Deux ministres, Ridha Saïdi et Houcine Dimassi, le gouverneur de la Banque centrale et le dirigeant du syndicat UGTT. Quatre hommes dont les décisions influenceront grandement le redressement économique du pays.
Née sous le signe de l’abondance, la deuxième ville de Tunisie n’a pas souffert du Printemps arabe. Mieux, elle a profité indirectement de la guerre en Libye.
Plusieurs partis politiques, islamistes en tête, ont contesté ce week-end les résultats préliminaires des élections législatives du 10 mai en Algérie, évoquant des « fraudes » ou une « mascarade » susceptibles de provoquer une révolution à la tunisienne.