Les indicateurs de l’emploi sont revus à la baisse dans les pays du Maghreb chamboulés par les révolutions arabes. Alors que la croissance marque le pas, les manageurs tirent néanmoins leur épingle du jeu.
Figure historique de la Place de Tunis, Salah Sayel, le nouveau président du Conseil du marché financier, sera attentif à la transparence des opérations.
Nabil Karoui, le directeur de la chaîne tunisienne Nessma TV, a été reconnu coupable « d’atteinte aux bonnes mœurs » ce jeudi 3 mai par un tribunal de Tunis. Il devra s’acquitter d’une amende de 2 400 dinars pour avoir diffusé le film franco-iranien Persepolis, le 7 octobre dernier.
Les indicateurs de l’emploi sont revus à la baisse dans les pays du Maghreb chamboulés par les révolutions arabes. Alors que la croissance marque le pas, les manageurs tirent néanmoins leur épingle du jeu.
Tirant les leçons de leur déroute électorale, les partis de l’opposition tunisienne se sont regroupés en trois blocs. Mais pour se poser en alternative à la troïka au pouvoir, ils devront se rassembler sous une seule bannière, ce qui est loin d’être acquis.
L’Instance indépendante chargée de réformer l’information et la communication en Tunisie (Inric) a présenté lundi 30 avril son rapport dans lequel elle dénonce les dérives que le paysage médiatique connaît depuis la chute de Ben Ali en 2011.
Le président tunisien Moncef Marzouki et son homologue palestinien Mahmoud Abbas, arrivé samedi à Tunis pour une visite de quatre jours, ont discuté de la « réconciliation palestinienne », selon M. Abbas.
Il jure n’avoir rien changé, mais le chef du gouvernement marocain, Abdelilah Benkirane, a pris ses marques, épaulé par des collaborateurs dévoués et une administration bienveillante.
Largement délaissé il y a encore quelques semaines, le spécialiste de l’électroménager, Electrostar, fait l’objet d’une incompréhensible frénésie sur la place tunisienne. Et déjà, les rumeurs vont bon train…
40 % pour Hollande, 34% pour Sarkozy. La compilation des résultats du vote des Français en Afrique, le 22 avril, lors du premier tour de la présidentielle, donne un ordre d’arrivée des 10 candidats sensiblement différent du résultat global. Notamment dans le quinté de tête.
Le président tunisien, Moncef Marzouki, a annoncé mardi 24 avril que les ressortissants des pays du Golfe seraient exemptés de visas dès le mois de mai. Une mesure destinée à relancer le tourisme qui « dépendait essentiellement de l’Occident ».
Plus de trois mois après la nomination de son cabinet, le chef du gouvernement islamiste, Abdelilah Benkirane, est à l’épreuve du pouvoir, qu’il partage en bonne intelligence avec le roi Mohammed VI, en évitant soigneusement d’engager le moindre bras de fer.
Le peloton de la 7e édition de la course cycliste gabonaise « Tropicale Amissa Bongo » s’élancera mardi 24 avril, à Fougamou (centre-ouest), pour six jours de course où se côtoieront stars du circuit international et amateurs africains.
Libéré de son devoir de réserve, l’ancien ambassadeur de France en Tunisie, Yves Aubin de La Messuzière, porte un regard critique sur la politique étrangère de Nicolas Sarkozy.
Le procès de Nabil Karoui a repris le jeudi 19 avril. Au cœur d’une affaire qui divise profondément la société tunisienne, le directeur de la chaîne Nessma TV est accusé d’avoir porté atteinte aux préceptes de l’islam suite à la diffusion du film d’animation « Persepolis ».
« Rongé par le mal du pays », Belhassen Trabelsi, le beau-frère en exil de l’ex-président Ben Ali s’est adressé dans une lettre ouverte à « tous les Tunisiens » pour leur présenter ses excuses, le 12 avril. Depuis le Canada où il s’est réfugié avec sa famille depuis la chute de l’ancien régime début 2011, il se dit prêt à comparaître devant la justice tunisienne. Ce mea culpa, authentifié par son avocat à Tunis, plaide déjà avec vigueur et émotion pour la réhabilitation complète de son auteur.
Les autorités tunisiennes affirment qu’une centaine de Tunisiens ont été retenus en otage en Libye par un groupe d’hommes en armes contestant l’arrestation de quatre des leurs en Tunisie. Pour Tripoli, il s’agirait d’une méprise. Quoi qu’il en soit, les personnes concernées sont désormais « libres de leurs mouvements », ce que Tunis confirme.
Avec une actualité politique nationale intense, les Tunisiens ne manifestent que peu d’intérêt pour ce qui se passe en dehors de leurs frontières. Et la présidentielle française est bien le cadet de leurs soucis. Seule une petite frange de la population s’intéresse à cette élection, notamment celle qui vit en France. Et si Jean-Luc Mélenchon, candidat du Front de gauche, remporte une large adhésion, il est loin de faire l’unanimité.
La brutale répression policière qui s’est abattue le lundi 9 avril sur les manifestants de l’emblématique avenue Bourguiba, à Tunis, a profondément marqué la société civile tunisienne. Déroulement des évènements, commission d’enquête, conséquences politiques éventuelles… Ziyed Krichen, journaliste et directeur de publication du quotidien « el Maghreb », analyse pour Jeune Afrique les enjeux de ce « Lundi noir ».
Le vendredi 13 avril, vers 14 heures, le premier président algérien a été enterré à Alger. Sous une météo capricieuse, avec des voisins présents et des lointains absents.
Alors que l’accès aux pays de l’Union européenne se durcit, la Tunisie est devenue une option prisée par les élèves subsahariens. Une aubaine pour les universités privées.
Largement délaissé il y a encore quelques semaines, le spécialiste de l’électroménager fait l’objet d’une incompréhensible frénésie sur la place tunisienne. Et déjà, les rumeurs vont bon train…
Deux jours après les violences policières qui ont provoqué l’indignation des Tunisiens, le ministre de l’Intérieur, Ali Larayedh, a annoncé le mercredi 11 avril la levée de l’interdiction de manifester avenue Bourguiba.
Le président tunisien Moncef Marzouki a commémoré mercredi 11 avril le dixième anniversaire de l’attentat de la synagogue de Ghriba. Un geste fort et symbolique qui, dans un contexte politique marqué par la montée des salafistes, a rassuré la communauté juive tunisienne.
En lançant la compagnie aérienne Syphax Airlines et un institut d’études, Mohamed Frikha, le patron de Telnet, leader dans le secteur des SSII, veut dynamiser sa ville natale.
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Nature de la Constitution tunisienne, agenda électoral, charia, identité, justice, sécurité… Autant de sujets sur lesquels Moncef Marzouki, Hamadi Jebali et Mustapha Ben Jaafar affichent, par-delà leurs différences, une identité de vues. Interviews croisées.