Rentrée en 2008, après vingt-deux années passées aux États-Unis, la ministre rwandaise des Affaires étrangères est bien décidée à promouvoir l’image de son pays.
La troisième « Rencontre des blogueurs arabes » aura lieu à Tunis du 3 au 6 octobre. L’occasion pour eux d’échanger leur expertise pour renforcer les liens qui les unissent et faire avancer la lutte contre les gouvernements répressifs et autoritaires.
L’ex-numéro 2 du parti islamiste Ennahda, Abdelfattah Mourou dirigera une liste indépendante à l’élection de l’assemblée constituante en Tunisie, le 23 octobre prochain.
L’ex-Premier ministre libyen Al-Baghdadi Al-Mahmoudi est toujours détenu en Tunisie, malgré son acquittement prononcé par la justice mardi. Ses avocats dénoncent une « manœuvre », dont l’objectif de « permettre l’émission du mandat d’amener », décidé par les autorités libyennes mercredi.
Le « Guide » libyen déchu Mouammar Kadhafi, en fuite depuis le 23 août, pourrait se cacher à Ghadamès, près de la frontière algérienne, selon des responsables du Conseil national de transition (CNT). Sur le front, les combats se poursuivent à Syrte et Bani Walid, où le CNT demande l’intensification des frappes.
D’abord condamné à six mois de prison pour avoir illégalement franchi la frontière entre la Libye et la Tunisie, l’ancien premier ministre de Mouammar Kadhafi, Al-Baghdadi Al-Mahmoudi, a bénéficié d’un non-lieu en appel. Explications.
Depuis plusieurs mois, l’activité touristique tunisienne est au plus bas. Et ce n’est pas l’attaque du 21 septembre, à la frontière algérienne, qui va arranger les choses…
Les prix du minerai se maintiennent à un niveau élevé, alors que la demande en engrais ne cesse d’augmenter. Une aubaine pour le continent, et notamment pour le Maroc, deuxième producteur mondial.
Réputé pour son honnêteté et sa fermeté dans l’affirmation du droit, Mustapha Abdeljalil, président du Conseil national de transition (CNT) libyen, est l’une des rares personnalités nationales à bénéficier d’un large soutien de ses concitoyens pour mener le pays à bon port. Portrait.
Propriété du groupe Tuninvest, le fonds Africinvest s’apprête à acquérir la majorité du capital du nigérian Guaranty Trust Assurance (25 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2009). À terme, le fonds d’investissement tunisien espère faire passer cet assureur généraliste de la troisième à la deuxième place sur le marché nigérian.
Le président déchu Ben Ali a reçu un passeport diplomatique deux jours après sa fuite en Arabie Saoudite du ministère tunisien des Affaires étrangères. À l’époque, Kamel Morjane exerçait la fonction de chef de la diplomatie tunisienne.
Avec son documentaire Laïcité, Inch’Allah !, la réalisatrice ouvre un difficile débat de société et suscite des réactions controversées dans la Tunisie de l’après-Ben Ali.
Ancien opposant et fondateur du Parti démocrate progressiste (PDP, centre), Ahmed Nejib Chebbi ambitionne de faire de sa formation le premier parti en Tunisie, devant les islamistes d’Ennahda porteurs, selon lui, « d’un projet d’Etat idéologique ».
À quelques semaines de l’élection pour une Assemblée constituante tunisienne prévue le 23 octobre, Ajidoo, le comparateur en ligne de produits high-tech, a trouvé une parade pour aider les Tunisiens à voir plus clair parmi les très nombreuses candidatures politiques.
En tournée en Égypte, en Tunisie et en Libye, le Premier ministre turc a voulu tester sa popularité dans les pays du Printemps arabe et relancer les échanges commerciaux. Pari réussi.
Jugée lente, opaque, laxiste, voire liée à l’ancien régime, la magistrature tunisienne semble avoir plusieurs trains de retard sur la révolution. Et se retrouve aujourd’hui sur le banc des accusés.
Les pays de la région redoutent que les arsenaux libyens tombent entre les mains des terroristes d’Aqmi et des trafiquants de tout poil. Autre effet collatéral de la crise, le sort déplorable réservé par les rebelles aux migrants subsahariens.
Dix ans après les attentats de New York et de Washington, le terrorisme islamiste est, pour l’essentiel, vaincu. Mais les responsables américains n’ont pas vu que la bataille décisive n’avait pas lieu dans les montagnes d’Afghanistan ou le désert irakien, mais… dans les salles de marchés.
Mercredi 14 septembre, le cyberactiviste Aziz Amami a été passé à tabac par des policiers à Tunis. La raison ? Une blague de mauvais goût sur les bananes.
À cinq semaines de l’élection d’une Constituante, l’idée d’un référendum qui en fixerait les modalités a jeté la confusion. Du coup, à la place, les partis représentés au sein de la Haute instance pour la réalisation des objectifs de la révolution (Hiror), ont signé jeudi un document sur la « déclaration du processus transitoire ». Explications.
Le principe démocratique par excellence ? Le pluralisme. Les Tunisiens l’ont bien compris et ont présenté quelque 1600 listes à la Constitutante. Mais le débat politique suscite pour l’instant peu de passion en Tunisie.
Bien que contesté en raison de ses liens avec l’ancien régime, l’ex-ministre des Affaires étrangères de Ben Ali estime qu’il a un rôle à jouer sur la nouvelle scène politique tunisienne. Et s’en explique.
Selon une source à l’ambassade des États-Unis à Tunis, les Américains seraient prêts à soutenir une coalition entre les islamistes et les destouriens, seules forces politiques capables, selon eux, de diriger efficacement le pays après l’élection d’une Assemblée constituante (prévue le 23 octobre).