Après le retentissant Khamsoun, en 2007, le dramaturge tunisien revient avec Yahia Yaïch (Amnesia). Une pièce sur le pouvoir et la mémoire des peuples.
Après avoir renoncé à un poste confortable au sein d’une grosse banque, cette Tunisienne est devenue une experte reconnue du marché de l’art islamique.
Baisse de la proportion cotisants-pensionnés, retard pris dans la réforme du système des retraites, montée en puissance de l’individualisme… Les personnes âgées sont de plus en plus fragilisées.
Proche de la Tunisie notamment parce qu’il y est né, le maire de Paris Bertrand Delanoë inaugurait le 6 avril 2004, sur les quais de la capitale française, une place au nom du premier président tunisien. Le fils unique de ce dernier, « Bibi », était présent ainsi que de nombreuses personnalités, dont l’ambassadeur en France de l’époque, Moncer Roussi. Souvenirs.
A-t-il regretté de s’être accroché trop longtemps au pouvoir et de n’avoir pas suivi l’exemple du président sénégalais, Léopold Sédar Senghor, qui s’est retiré en 1980 pour ouvrir la voie à son Premier ministre, Abdou Diouf ? C’est ce que suggère une confidence que Bourguiba aurait faite à son petit-fils Mahdi, quelques années après sa destitution, en 1987. Nous l’avons rencontré.
Les habitants débattent de l’héritage qu’a laissé l’ex-président, tandis que les touristes se pressent pour profiter des douceurs de sa ville natale. Promenade sur les traces du plus célèbre des Monastiriens.
L’émancipation des femmes, la scolarisation obligatoire, l’ouverture aux entreprises étrangères, le dinar… Le Combattant suprême a tracé avec précision les contours d’une nation moderne. Un visage qui n’a pas pris beaucoup de rides.
L’édition 2010 du festival Jazz à Carthage a débuté à guichets fermés, ce week-end. Premières impressions sur un événement phare de la scène tunisienne.
La 6e édition du festival Jazz à Carthage s’est ouvert le 8 avril pour dix jours de concerts. Au programme, des pointures comme Chucho Valdés, Axelle Red ou Kyle Eastwood, mais aussi de nombreux apéro-jazz, jam-session et after…
Le consortium Desertec s’ouvre à quatre nouveaux sociétaires, dont le marocain Nareva, producteur d’énergie renouvelable. Ils seront rejoints sous peu par la Steg, le principal opérateur électrique tunisien.
Manque d’assurance, motivations floues, CV mal rédigés… Tous les recruteurs le déplorent : les jeunes ne savent pas se vendre. Ils n’en sont pas les seuls responsables.
Les 15-29 ans représentent près de 30 % de la population tunisienne. Leur vie et leurs aspirations n’ont plus grand-chose à voir avec celles de leurs aînés. Quels sont leurs problèmes ? Quels sont leurs atouts, leurs attentes ?