Malgré l’unité affichée a posteriori derrière la candidature d’Abdelfattah Mourou à l’élection présidentielle du 15 septembre, Rached Ghannouchi et sa famille ont manœuvré jusqu’à la dernière minute pour qu’Ennahdha soutienne l’actuel chef du gouvernement Youssef Chahed.
Après de nombreux conciliabules et tergiversations, le parti islamiste Ennahdha a désigné son vice-président Abdelfattah Mourou pour le représenter lors de l’élection présidentielle du 15 septembre prochain. Quelles sont ses chances ?
Fort de la signature de 14 députés, le ministre de la Défense Abdelkrim Zbidi a déposé son dossier de candidature à l’élection présidentielle du 15 septembre prochain. Qui sont les parlementaires qui l’ont soutenu ?
Près d’une centaine de candidats à l’élection présidentielle du 15 septembre ont déposé leur dossier auprès de l’Instance électorale (Isie). Quels sont les principaux prétendants et les rapports de force, un peu plus d’un mois avant le premier tour ? Analyse.
Réunie mercredi 7 août au Caire, la commission de discipline de la CAF a finalement déclaré le Wydad Casablanca « perdant par forfait » de la finale retour de la Ligue des champions africaine qui l’opposait fin mai à l’Espérance de Tunis. Le match avait été interrompu prématurément à cause d’un problème d’assistance vidéo à l’arbitrage.
Alors qu’une trentaine de candidats au scrutin présidentiel du 15 septembre ont déposé leur dossier auprès de l’Instance indépendante pour les élections (Isie), et que les autres ont jusqu’à vendredi pour le faire, partis et indépendants bataillent pour récolter les parrainages nécessaires. Quelle est leur stratégie ?
Président de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) en Tunisie depuis décembre 2014, l’ancien ministre est devenu, à 85 ans, chef de l’État par intérim à la suite du décès, le 25 juillet, de Béji Caïd Essebsi.
Dans ce secteur clé pour la Tunisie, les perspectives de nouvelles découvertes et les réformes de gouvernance attirent à nouveau les investisseurs. Mais des zones d’ombre demeurent.
La mort du chef de l’État, Béji Caïd Essebsi, bouleverse le calendrier électoral et redistribue les cartes sur la scène politique. Plusieurs scénarios sont envisageables.
Plusieurs chefs d’État ont assisté aux obsèques du président Béji Caïd Essebsi, samedi 27 juillet 2019 à Tunis. Une cérémonie solennelle qui a donné lieu à quelques apartés inédits.
Hassen Zargouni, directeur général du cabinet Sigma Conseil – qui réalise notamment de nombreux sondages politiques – , analyse les conséquences de l’accélération du calendrier électoral après la mort du président Béji Caïd Essebsi.
Alors que le dépôt des listes pour les élections législatives du 6 octobre s’est achevé en début de semaine, le nombre de candidatures est pléthorique, dépassant celui du précédent scrutin. Analyse des principaux duels et des stratégies des partis, bousculées par l’inversion du calendrier électoral après la mort du président Béji Caïd Essebsi.
L’élection présidentielle tunisienne a été avancée au 15 septembre, après le décès jeudi dernier du chef de l’État en exercice Béji Caïd Essebsi. Si certains candidats se plaignent de devoir s’organiser en urgence, la juriste Salwa Hamrouni insiste sur la nécessité de suivre le nouveau calendrier pour respecter la Constitution. Interview.
Le Tribunal arbitral du sport (TAS) a rendu mercredi 31 juillet une « décision partielle » sur le choix de la CAF de faire rejouer la finale retour de Ligue des champions entre le Wydad Casablanca et l’Espérance sportive de Tunis (EST) : il a estimé que le comité exécutif de l’instance n’avait pas le pouvoir de le faire et appelé les « organes compétents » de cette dernière à se prononcer.
Le chef de l’État tunisien Béji Caïd Essebsi est décédé jeudi 25 juillet à l’âge de 92 ans. De son engagement pour l’indépendance à sa présidence « progressiste » au bilan contesté, en passant par ses responsabilités au début de l’ère Ben Ali, retour sur le parcours d’un homme qui illustre plus de soixante ans de vie politique tunisienne.
Fondateur du parti Bani Watani, Saïd Aïdi a été ministre de la Formation professionnelle et de l’Emploi, puis de la Santé… après une première nomination pour le moins rocambolesque. Récit.
Le président de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), Mohamed Ennaceur, a été investi président de la République par intérim jeudi 25 juillet, après le décès du chef de l’État Béji Caïd Essebsi. Sous la transition qu’il a la charge de conduire pour une durée de 45 à 90 jours, sa principale mission sera d’assurer la continuité de l’État.
Hamma Hammami, porte-parole du Front populaire (FP), et Mongi Rahoui, député de ce groupe parlementaire, se déchirent pour être le candidat de la gauche à la prochaine présidentielle.
Formatés par une tradition séculaire de transmission dynastique, les pays arabes, devenus indépendants, peinent à se conformer au modèle démocratique et à l’alternance. La Tunisie, malgré sa révolution, de même que le parti islamiste Ennahdha de Rached Ghannouchi, n’échappent pas à cette règle, ou plutôt à cette fatalité. Comme si la seule voix qui prévalait était toujours celle du chef.
Des milliers de Tunisiens se sont rassemblés samedi dans les rues de la capitale pour rendre un dernier hommage à leur président Béji Caïd Essebsi, qui doit être enterré en présence de plusieurs chefs d’État étrangers.
La Tunisie s’apprête samedi à rendre un hommage national à son premier président élu démocratiquement au suffrage universel, Béji Caïd Essebsi, qui doit être enterré en présence de plusieurs chefs d’État et d’une foule de Tunisiens.
Avec sa ligne d’accessoires revisités, Èlbé, une jeune marque franco-tunisienne, prouve que la mode orientale contemporaine creuse doucement son sillon dans le secteur.
Suite aux propos de l’ambassadeur de l’Union européenne en Tunisie, Patrice Bergamini, qui accusait certains groupes privés de gripper les négociations avec l’UE, Walid Bel Hadj Amor, vice-président de l’Institut arabe des chefs d’entreprises (IACE) et représentant de la plateforme du secteur privé pour l’Aleca-Tunise, défend le secteur privé tunisien, dont il rappelle le libéralisme et le pragmatisme.
L’élection présidentielle en Tunisie aura lieu le 15 septembre, et non plus le 17 novembre, date qui était retenue avant le décès du président Béji Caïd Essebsi, a annoncé jeudi soir la commission électorale indépendante.
Le président Béji Caïd Essebsi est décédé jeudi 25 juillet, probablement d’une insuffisance respiratoire, après avoir été admis la veille au service de réanimation de l’hôpital militaire de Tunis. Entre émotions et continuité de l’État, récit des dernières heures du premier président de la République tunisienne à mourir en exercice.
Après le décès de Béji Caid Essebsi, survenu jeudi 25 juillet 2019, la vacance définitive a rapidement été constatée, et le président de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) Mohamed Ennaceur investi chef de l’État par intérim. Une configuration qui pourrait perturber le calendrier fixé pour l’organisation des élections de l’automne.