Le 17 janvier, à Casablanca, le sélectionneur guinéen Lappé Bangoura a été démis de ses fonctions après la défaite de son équipe face au Maroc lors de la 2e journée du Championnat d’Afrique des nations (CHAN). Un cas plutôt rare mais pas exceptionnel. En Afrique, certains entraîneurs ont déjà fait leurs valises dans des conditions rocambolesques…
Le conseiller politique à la présidence, Noureddine Ben Ticha, a annoncé à la mi-janvier qu’un projet était actuellement en cours d’étude à l’Assemblée pour réactiver et restructurer l’Agence Tunisienne de Communication Extérieure (ATCE). Devenue un outil de propagande et de censure sous Ben Ali, elle avait été dissoute après la révolution.
Dans un rapport intitulé « Endiguer la dérive autoritaire en Tunisie », International Crisis Group pointe une « nostalgie du régime de Ben Ali » et un « manque de volonté politique » dans l’application de la Constitution de 2014.
Après Al Joumhouri et Afek Tounes, c’est au tour du parti de Mohsen Marzouk de se désolidariser du gouvernement de Youssef Chahed. Il demande un changement de gouvernement et la réforme de la Constitution pour réviser la répartition des pouvoirs.
Avec sa société Wattnow, le Tunisien Issam Smaali propose une solution IoT (Internet des objets) qui permet de surveiller, d’analyser et d’ajuster en temps réel la consommation des appareils électriques. Créée en janvier 2017, la start-up veut conquérir le marché des particuliers comme celui des entreprises, à l’échelle du continent.
Industriel dans le secteur des conserves de fruits et légumes, le nouveau patron des patrons tunisien élu le 17 janvier a occupé presque tous les postes au sein de la fédération patronale.
Selon un document consulté lundi par Reuters, la Tunisie, ainsi que sept autres pays, pourraient être retirés de la liste noire des paradis fiscaux de l’Union européenne. Une décision qui pourrait être adoptée dès le 23 janvier prochain, à Bruxelles.
Dans un contexte social agité, l’Utica tient ce mercredi son Congrès national en vue de remanier ses structures et resserrer ses rangs. Son vice-président Hichem Elloumi part favori.
Une galerie d’art, un accélérateur de start-up, l’ambassade d’une prestigieuse université américaine… Meninx Holding, la société de gestion de portefeuille fondée par la famille Tamarziste, vient d’ouvrir à Tunis un bâtiment abritant tout un écosystème dédié aux jeunes porteurs de projets.
Aujourd’hui à la tête d’Al-Irada, parti d’opposition qu’il a fondé, l’ancien président se voit comme le dépositaire de l’esprit du 14 Janvier et se pose plus que jamais en défenseur de ses acquis.
Le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) a condamné lundi une multiplication des « violations » et « restrictions » à l’encontre de correspondants de médias étrangers. Ces derniers avaient été accusés samedi par le chef de l’État d’avoir porté atteinte à l’image du pays par leur couverture des derniers troubles.
L’association Mawjoudin organise pendant quatre jours un festival cinématographique autour des questions relatives aux droits de la communauté LGBTQI. Une manière de propulser le débat sur la scène publique.
L’Instance Vérité et Dignité (IVD) a organisé début janvier une audition publique sur les émeutes de janvier 1984. Jeune Afrique revient sur les conséquences politiques de cet épisode de l’histoire tunisienne.
La Tunisie marque dimanche le 7e anniversaire de sa révolution dans un contexte de vive tension sociale, comme en témoignent de récents troubles, en raison de la persistance des mêmes maux -pauvreté, chômage, corruption- à l’origine de la chute de la dictature.
Le président tunisien Béji Caïd Essebsi a rencontré samedi les responsables des partis au pouvoir, de la centrale syndicale et du patronat pour discuter des moyens de sortir de la crise après des troubles alimentés par des mesures d’austérité, mais aucune mesure concrète n’a été annoncée.
Tunis Food Company (TFC) a ouvert mardi son premier restaurant KFC à Tunis et prévoit de créer cinq autres points de vente dans la capitale d’ici la fin de l’année 2018.
À l’appel du collectif « Fech Nestanew », ils étaient plus d’un millier ce vendredi à Tunis pour protester contre la vie chère en Tunisie. Une vague de protestation qui s’est étendue dans plusieurs grandes villes.
Des heurts ont eu lieu pour une troisième nuit consécutive entre forces de l’ordre et jeunes dans plusieurs villes de Tunisie, où plus de 600 personnes ont été arrêtées depuis lundi, a indiqué le ministère de l’Intérieur.
La vague protestataire qui secoue la Tunisie a vu l’émergence d’un nouveau mouvement citoyen : « Fech Nestanew ? » qui appelle la mobilisation populaire face à la hausse des prix. Zoom sur ce nouveau phénomène.
Devant les amendements proposés par la commission parlementaire des droits et des libertés, qui a retenu différentes requêtes associatives, le gouvernement a retiré mardi son projet polémique visant à moderniser la carte d’identité nationale.
Mardi, de nouveaux heurts ont eu lieu dans plusieurs villes de Tunisie. Le Premier ministre a appelé au calme et assuré que tout acte de vandalisme et de pillage serait sanctionné.
Son immunité ayant été levée, l’ancien ministre de l’Intérieur tunisien, déjà auditionné en novembre, pourra à nouveau être entendu par le juge d’instruction militaire dans le cadre de l’affaire Chafik Jarraya.
Les manifestations qui se multiplient contre l’augmentation des prix, suite à la loi de finances 2018, ont tourné à l’affrontement dans plusieurs villes du pays. Un homme a succombé à l’inhalation des gaz lacrymogènes à Tébourba. Un scénario qui rappelle les événements ayant conduit à la chute du régime de Ben Ali.
Rien ne va plus entre les deux principales composantes politiques du paysage politique tunisien. À la veille des municipales, prévues le 6 mai prochain, le parti d’Hafedh Caïd Essebsi a déclaré que les islamistes seront désormais ses concurrents et non ses alliés.
Les deux internautes à l’origine de la fausse rumeur sur le décès du président Béji Caïd Essebsi ont été condamnés ce mercredi à six mois de prison ferme par le tribunal de Jendouba. Une décision sévère, selon certains observateurs.
Le département d’État a placé jeudi trois ressortissants tunisiens dans sa liste de terroristes. Le communiqué évoque l’attentat du Bardo perpétré en 2015.
Alors que la majorité traverse une crise politique, le président de la République veut resserrer les rangs. Il a convoqué les signataires de l’accord de 2016 à une réunion ce vendredi, au Palais de Carthage, sans pour autant donner l’ordre du jour.
Le gouvernement émirati avait avancé un argument sécuritaire pour justifier l’interdiction imposée aux femmes tunisiennes d’embarquer sur les vols en direction des Émirats arabes unis.