Renflouées en 2014, BNA, STB et BH affichent toujours de piètres résultats. Le Premier ministre plaide pour un désengagement de l’État de deux d’entre elles, suscitant interrogations et résistances.
L’ancien chef de l’État tunisien Moncef Marzouki a été élu ce lundi 1er mai à la tête d’Al Irada (« la volonté »), parti dont il est le fondateur, lors d’un congrès organisé à quelques mois des premières élections municipales de l’après-révolution.
Il aura marqué son temps. Historien, penseur et islamologue tunisien aux convictions solidement ancrées dans le réel, Mohamed Talbi, 95 ans, est décédé ce 1er mai à Tunis.
Le chef du gouvernement tunisien, Youssef Chahed, a limogé les ministres contestés des Finances et de l’Éducation, a annoncé à l’AFP une source gouvernementale.
Le gouvernement tunisien a annoncé samedi avoir limogé deux hauts responsables de Tataouine, région du sud agitée depuis plusieurs semaines par des mouvements sociaux et où le Premier ministre a été pris à partie par des manifestants cette semaine.
C’est désormais officiel : le Tunisien Nabil Maâloul, 54 ans, succède au franco-polonais Henri Kasperczak en tant que nouveau sélectionneur des Aigles de Carthage.
Créée fin janvier, la commission d’enquête parlementaire sur les filières de recrutement de Tunisiens au profit d’organisations jihadistes a tenu ses premières auditions la semaine dernière. Avec, pour commencer, un bilan chiffré de la situation.
Le chef du gouvernement tunisien, Youssef Chahed, a effectué ce jeudi une visite sous tension à Tataouine, dans le sud du pays. Une région agitée depuis plusieurs semaines par des revendications sociales.
Vingt ONG tunisiennes et internationales ont appelé mercredi au retrait « immédiat et définitif » d’un projet de loi initié par la présidence de la République, qui prévoit l’amnistie pour des faits de corruption en échange d’un dédommagement.
Le patron de Nessma TV, Nabil Karoui, entend influer directement sur les élections municipales du 17 décembre en Tunisie à travers son pouvoir médiatique. Comment ?
En Tunisie, le port de la ceinture de sécurité est désormais obligatoire pour les conducteurs et passagers à l’avant des véhicules, dans et hors agglomérations. Une mesure qui a tardé à s’appliquer, au grand dam des associations œuvrant pour une plus grande sécurité routière dans le pays.
Alors que la dépréciation du dinar tunisien s’est accélérée ces derniers jours, des initiatives gouvernementales et citoyennes tentent d’inverser la tendance. Avec pour mot d’ordre : consommer tunisien.
Le Parlement tunisien a assoupli ce mardi la sévère et controversée loi sur les stupéfiants, dite loi 52. Il donne ainsi suite à une revendication insistante de la société civile, qui dénonçait depuis des années son coût social « exorbitant », à savoir le grand nombre de jeunes jetés en prison « pour un joint ».
Le Conseil tunisien du sécularisme a vu le jour le 13 avril, à l’initiative du jeune parti des Démocrates fondé en mars 2016. Sa principale mission : œuvrer pour « une Tunisie séculière libre et démocrate », comme nous l’explique sa présidente Hazar Jhinaoui.
Le procès relatif à l’attentat de juin 2015 à Sousse en Tunisie, dans lequel 38 touristes étrangers avaient été tués, s’ouvrira le 26 mai devant un tribunal de Tunis, a-t-on appris auprès du parquet.
Nouveaux établissements, rénovations, réaménagements… Prévu sur trois ans, le programme Modernisation des établissements scolaires (MES) devrait démarrer bientôt. Il s’inscrit dans une volonté nationale, portée par le gouvernement tunisien et des organisations étrangères, de dépoussiérer le système éducatif en tentant d’améliorer à la fois son fond et sa forme.
La principale centrale patronale de Tunisie, l’Utica, s’est alarmée jeudi de la « dépréciation rapide » de la monnaie nationale et a appelé les autorités à intervenir face à ce « grand danger » pour l’économie du pays, déjà fragilisée.
Un Conseil de la presse a officiellement été lancé ce jeudi en Tunisie pour lutter contre « les dérives » dans le secteur médiatique. Objectif : instaurer « un journalisme de qualité ». Aux manettes, notamment : le syndicat national des journalistes tunisiens.
De nombreux Tunisiens ont manifesté jeudi dans la ville du Kef (nord-ouest). Les protestataires reprochent au pouvoir central de ne pas avoir tenu ses promesses vis-à-vis d’eux et de les « marginaliser ». La contestation dure depuis deux semaines et s’étend à d’autres régions.
Les Français du Maghreb votent dimanche 23 avril, date du premier tour de l’élection présidentielle. Jusqu’ici, Tunis et Alger campent à gauche, et Casablanca plutôt à droite. Mais Mélenchon avait déjà opéré une percée en 2012 dans l’ensemble des bureaux de vote.
Marque réputée reconnaissable entre toutes, la Celtia domine largement le marché de la bière en Tunisie et profite à plein de l’explosion de la demande. Enquête sur un label devenu au fil du temps partie intégrante de la tunisianité.
Si les sondages constituent aujourd’hui l’emblème de Sigma Conseil, les études marketing en sont le cœur de métier historique. Son patron, Hassen Zargouni analyse pour JA le positionnement et les atouts de Celtia
La diffusion d’un enregistrement attribué à Nabil Karoui, fondateur d’une chaîne de télévision privée, dans lequel il planifie une campagne de dénigrement contre une ONG anti-corruption, fait scandale en Tunisie.
La visite dite de revue du programme économique de la Tunisie menée à Tunis du 7 au 18 avril 2017 par une mission du Fonds monétaire international (FMI) a été favorable au pays, malgré un maigre bilan économique et un avancement insuffisant des réformes.
Nabil Maâloul, 54 ans, devrait être nommé sélectionneur de la Tunisie dans une dizaine de jours au plus tard. Il s’agira de son deuxième passage sur le banc des Aigles de Carthage.
« Les gens avant, ils se croyaient dans un cirque ! », s’étrangle encore son directeur, Mahmoud Latiri. Après la mort polémique d’un crocodile suivie d’un mois de travaux de rénovation « en urgence », l’emblématique zoo du Belvédère a rouvert ses portes au cœur de Tunis.
Le président du Club sfaxien (CSS) Moncef Khemakhem, qui s’était vanté d’avoir « pincé à deux reprises les fesses » d’un arbitre-assistant lors d’un match du championnat tunisien, a été « suspendu à vie de toute activité dans le football », a fait savoir vendredi la Fédération tunisienne de football (FTF).
Une « journée de colère », accompagnée d’un appel à une grève générale, ont été décrétés ce vendredi par le syndicat estudiantin Uget. Objectif : dénoncer les violences policières survenues selon lui mardi 11 avril lors d’une manifestation étudiante à Tunis.