Le haut représentant du tourisme en Chine s’est engagé à promouvoir les destinations africaines alors que le pays a dépassé les États-Unis pour devenir le plus grand marché du tourisme international en termes de touristes sortants et d’argent dépensé.
Le président du Zimbabwe, Robert Mugabe, a menacé, dimanche 25 août, de « rendre coup pour coup » dans son conflit avec les pays occidentaux qui imposent depuis dix ans des sanctions contre son régime.
L’ancien ministre zimbabwéen de l’Agriculture, Kumbirai Kangai, qui avait combattu auprès du président Mugabe dans la lutte pour l’indépendance, est décédé samedi 24 août, à l’âge de 75 ans, a annoncé le porte-parole du parti présidentiel.
Au pouvoir depuis l’indépendance du Zimbabwe en 1980, Robert Mugabe, 89 ans, a été investi en grande pompe, le 22 août, pour un nouveau mandat à la présidence du pays. Lors de son discours d’investiture, le vieux président s’est attaqué aux « pays occidentaux » qui ont contesté la crédibilité des résultats de sa large victoire aux élections du 31 juillet.
Le président du Zimbabwe, Robert Mugabe, entamera, jeudi 22 août, son sixième mandat. Une cérémonie d’investiture à laquelle n’assistera pas le leader de l’opposition et candidat malheureux à la présidentielle du 31 juillet, Morgan Tsvangirai.
Les dirigeants d’Afrique australe, réunis le 18 août au Malawi, ont appelé les Occidentaux à lever les sanctions contre le Zimbabwe. Une demande qui intervient après la validation par l’organisation sous-régionale de la réélection du président Robert Mugabe.
Morgan Tsvangirai, candidat malheureux à l’élection présidentielle du 31 juillet au Zimbabwe, a renoncé vendredi à porter en justice les fraudes électorales massives qu’il dénonce, ouvrant définitivement la voie à l’exercice d’un nouveau mandat du président Robert Mugabe, réélu à 89 ans.
Le capital-investisseur Africinvest a investi 5 millions de dollars dans la banque zimbabwéenne NMBZ, via une augmentation de capital. Il s’offre ainsi, aux côtés du FMO et de Norfund, une participation de 9%.
À 89 ans, au lendemain de sa réélection pour cinq nouvelles années, le président du Zimbabwe, Robert Mugabe, n’a rien perdu de sa gouaille. Au grand dam de ses adversaires, qui contestent sa large victoire du 31 juillet dernier. “Bob” les a invités à “aller se faire pendre s’ils le souhaitent”.
Le Zimbabwe n’a signé aucun contrat de vente d’uranium à l’Iran, selon son ministre des Mines, démentant, dimanche 11 août, une information du quotidien britannique The Times.
Le MDC, le parti du Premier ministre zimbabwéen Morgan Tsvangirai a déposé vendredi un recours contre le résultat des élections du 31 juillet, qui ont vu la réélection du président Robert Mugabe, et dont il a jugé le déroulement frauduleux.
Selon des chiffres publiés par la Commission électorale du Zimbabwe, près de 305 000 personnes ont été empêchées de voter lors des élections générales du 31 juillet. Un scrutin remporté largement par le président Robert Mugabe, au pouvoir depuis plus de 30 ans.
Le principal indice de la Bourse du Zimbabwe a chuté de 11% lundi 5 août, premier jour de cotation depuis l’annonce des résultats officiels confirmant le maintien de Robert Mugabe à la tête du pays.
Jacob Zuma a félicité, dimanche 4 août, son homologue zimbabwéen, Robert Mugabe, pour sa réélection. Le chef de l’État sud-africain a également appelé tous les partis à accepter le résultat que l’opposition rejette en dénonçant des fraudes.
Le président zimbabwéen Robert Mugabe faisait face dimanche aux critiques occidentales et aux accusations de hold-up électoral de son principal opposant Morgan Tsvangirai, après sa réélection au premier tour de la présidentielle avec 61% des voix.
Le président zimbabwéen Robert Mugabe, 89 ans, a été proclamé vainqueur samedi de la présidentielle avec 61% des voix et une majorité des deux tiers à l’Assemblée, broyant tout espoir d’alternance démocratique, après un scrutin constesté par son principal rival.
Le Zimbabwe attendait samedi dans un calme résigné le résultat définitif des législatives où le Premier ministre Tsvangirai et son parti se sont fait écraser par le président Mugabe, à l’issue d’un vote que ses voisins d’Afrique australe demandent d’accepter malgré des irrégularités.
Le président zimbabwéen Robert Mugabe, au pouvoir depuis 33 ans, se préparait à une victoire électorale écrasante sur son rival Morgan Tsvangirai avec l’aval vendredi des observateurs africains, malgré de sérieux doutes sur l’honnêteté du scrutin.
Le parti du Premier ministre zimbabwéen, Morgan Tsvangirai, a annoncé vendredi 2 août qu’il rejetait par avance les résultats des élections générales du pays. Quelques heures plus tôt, le parti de son rival dans la course à la présidence, le sortant Robert Mugabe, avait annoncé que ce dernier allait remporter l’élection présidentielle dès le premier tour avec environ 75% des suffrages. Le camp Tsvangirai dénonce de nombreuses irrégularités.
Selon le porte-parole de son parti, le président sortant Robert Mugabe aurait remporté près de 75% des voix à la présidentielle zimbabwéenne de mercredi 31 juillet. Sa formation devrait aussi pouvoir compter sur une majorité des deux tiers à l’Assemblée nationale.
Selon un haut responsable de la Zanu-PF, le parti du président sortant, Robert Mugabe, a remporté l’élection présidentielle qui s’est tenue mercredi 31 juillet au Zimbabwe.
Le président zimbabwéen n’est pas seulement candidat à la présidentielle de ce 31 juillet. Il a déjà déclaré qu’il serait sur la ligne de départ en 2018, à 94 ans…
Les Zimbabwéens sont appelés aux urnes aujourd’hui, mercredi 31 juillet. La position ambiguë de Premier ministre et d´opposant à Robert Mugabe – au pouvoir depuis 33 ans – risque de coûter la présidence du Zimbabwe à Morgan Tsvangirai. Son camp a déjà dénoncé les fraudes qui risquent d’entacher le scrutin.
La police a arrêté dimanche un vice-ministre et proche du Premier ministre Morgan Tsvangirai, qui a rendu public le fait que des bulletins de vote au nom de Tsvangirai avaient été retrouvés dans une poubelle.
Les dirigeants membres de la Communauté de développement du sud de l’Afrique (SADC) ont averti samedi qu’organiser les prochaines élections au Zimbabwe va être « difficile » étant donné le manque de temps alloué à leur préparation.
Le président zimbabwéen Robert Mugabe a accusé samedi ses rivaux politiques de vouloir « faire revenir les Blancs » et s’en est pris aux homosexuels au cours d’un meeting à Marange (est) à moins de trois semaines de la présidentielle.
La commission électorale du Zimbabwe s’est engagée samedi à publier dans les cinq jours qui suivront les résultats des élections du 31 juillet qui verront à nouveau s’affronter le président Robert Mugabe et le Premier ministre Morgan Tsvangirai.
En prévision de l’élection présidentielle du 31 juillet, la ministre zimbabwéenne de l’Intégration régionale et de la Coopération internationale a appelé toutes les femmes de son pays à priver leur époux de sexe pour juguler l’abstentionnisme…