Le Premier ministre du Zimbabwe, Morgan Tsvangirai, a lancé, dimanche 7 juillet, sa campagne pour les élections générales du 31 juillet en déplorant l’absence de réformes garantissant un scrutin libre et équitable.
« Si la SADC décide de faire des choses stupides, disons le clairement, nous pourrions nous retirer de la SADC », a-t-il déclaré devant environ 20.000 partisans réunis pour le lancement de la campagne de son parti, la Zanu-PF, dans un stade de la capitale Harare.
La campagne électorale démarre cette semaine au Zimbabwe en vue de la présidentielle, dont la date a été confirmée pour le 31 juillet. Un scrutin présidentiel qui opposera de nouveau deux poids lourds de la scène politique zimbabwéenne, le président Robert Mugabe et son rival Morgan Tsvangirai.
Le président zimbabwéen Robert Mugabe semble avoir cédé aux pressions de ses voisins d’Afrique australe en acceptant de retarder les élections. Un report de seulement deux semaines qui semble cependant insuffisant pour mettre en œuvre les réformes démocratiques demandées. Analyse.
Initialement prévues le 31 juillet, les élections législatives et présidentielle devraient être repoussées au 14 août. Le président zimbabwéen en a fait la demande devant la Cour constitutionnelle, a indiqué, mercredi 19 juin, le ministre de la Justice, Patrick Chimanasa.
Les dirigeants des pays d’Afrique australe, réunis à Maputo, ont demandé, le 15 juin, au président zimbabwéen Robert Mugabe de retarder les élections présidentielle et législatives prévues le 31 juillet.
Plusieurs chefs d’État d’Afrique australe tiennent ce samedi 15 juin à Maputo un sommet test pour la crédibilité de l’organisation régionale qui doit examiner la situation au Zimbabwe, alors que le pays n’est pas prêt pour tenir des élections libres, selon des analystes.
Plusieurs scrutins se dérouleront, cet été, au pays de Robert Mugabe : les législatives et la présidentielle fin juillet, mais aussi le concours de l’homme le plus moche, en août…
À 89 ans, le chef de l’État zimbabwéen ne voit qu’une seule personne capable de lui succéder : lui-même. Jeudi 13 juin, il a fixé la date des élections générales au 31 juillet, mais son Premier ministre, Morgan Tsvangirai, s’oppose à cette décision.
La Cour constitutionnelle du Zimbabwe a ordonné vendredi au président Robert Mugabe de fixer la date des élections générales qui doivent se tenir « au plus tard le 31 juillet », le Premier ministre plaidant pour un scrutin le 30 octobre.
Massivement approuvée par les électeurs lors d’un référendum le 19 mars, avant d’être entérinée par le Parlement début mai, la nouvelle Constitution du Zimbabwe a été a été promulguée, mercredi 22 mai, par le président Robert Mugabe.
L’association “Avocats du Zimbabwe pour les droits de l’homme” essaie d’obtenir la libération sous caution de Chenjerai Pamhiri. Ce dernier vient d’être condamné à trois mois de prison pour avoir traité en public le président Robert Mugabe de « vieil âne pourri ». Trois mots, trois mois…
Le Premier ministre zimbabwéen Morgan Tsvangirai a lancé vendredi la campagne de son Mouvement pour le changement démocratique (MDC) dans la perspective d’élections générales prévues au plus tôt en juin, promettant renouveau économique et réformes démocratiques s’il est élu président.
L’ex-Première ministre britannique, Margaret Thatcher, décédée le 8 avril, ne portait pas d’intérêt démesuré au continent africain. Elle a néanmoins supervisé l’accession à l’indépendance du Zimbabwe et fréquenté l’Afrique du Sud de l’apartheid.
L’Union européenne l’a interdit de séjour mais ne peut décemment pas l’empêcher de se rendre au Vatican. Le président zimbabwéen Robert Mugabe a ainsi pu assister à la messe inaugurale du pape François, le 19 mars.
Le président zimbabwéen et son Premier ministre ont soutenu le même projet de Constitution. Mais la nouvelle Loi fondamentale devrait séparer le « vieux couple ».
Le Zimbabwe était en passe dimanche d’avoir une Constitution plus démocratique, au vu des premiers résultats d’un référendum mais la participation a été faible et le climat reste lourd de menaces, avec l’annonce de nouvelles arrestations visant l’opposition.
Trois assistants du Premier ministre zimbabwéen Morgan Tsvangirai ont été arrêtés dimanche par la police, au lendemain d’un référendum constitutionnel censé relancer la démocratie dans ce pays gouverné depuis 33 ans par le président Robert Mugabe, a-t-on appris auprès de son entourage.
Les Zimbabwéens ont voté dans le calme samedi pour approuver une nouvelle Constitution plus libérale, qui doit insuffler davantage de démocratie après plus de trois décennies de pouvoir musclé du président Robert Mugabe, dans un contexte politique de plus en plus crispé.
Un responsable régional du Mouvement pour le changement démocratique (MDC), le parti du Premier ministre zimbabwéen Morgan Tsvangirai, a été enlevé par des hommes armés samedi alors que le pays vote pour approuver une nouvelle Constitution, a annoncé le MDC.
Le référendum sur une nouvelle Constitution aura lieu le 16 mars prochain, a indiqué le président du Zimbabwe Robert Mugabe dans un avis paru vendredi dans le journal officiel.
Le Zimbabwe a recruté un nouveau bourreau, après sept années de recherches, pour appliquer la peine de mort dans le pays, où 76 personnes attendent leur exécution, a annoncé un haut responsable des prisons.
Soulagement de voir la menace terroriste traitée, influences islamistes, opposition à toute ingérence occidentale… Les capitales subsahariennes et arabes doivent composer avec l’intervention française au Mali.
Le président zimbabwéen Robert Mugabe a demandé vendredi que les sociétés étrangères présentes dans le pays cèdent 100% de leur capital à des Zimbabwéens noirs, lors du congrès de son parti à Gweru (centre).
Avec le rachat d’Orascom Telecom fin 2010, le russe VimpelCom s’est retrouvé à la tête de plusieurs opérateurs subsahariens de petite envergure. Il souhaite aujourd’hui les céder, affirme le Financial Times.
Le Premier ministre zimbabwéen Morgan Tsvangirai a réclamé samedi l’adoption rapide du projet de Constitution pour ouvrir la voie à des élections qui se font attendre pour remplacer le gouvernement de coalition actuel chancelant.
Elles ne sont pas vaudou. Encore moins gonflables. Les poupées de la société britannique Rooti Creations sont en revanche fières de leurs origines. Les charmantes Keza, Ama ou encore Simbi ne se contentent pas de refléter l’identité africaine : elles sont de vraies ambassadrices de la richesse linguistique du continent.
Alors qu’il compte se remarier samedi 15 septembre, le Premier ministre zimbabwéen Morgan Tsvangirai fait face à trois plaintes judiciaires, déposées par d’anciennes fiancées, ou supposées telles. Leur objectif : empêcher la noce. Et, si possible, s’enrichir.