Pour le dernier mois de l’administration Bush, la secrétaire d’Etat américaine Condoleezza Rice est attendue à New York afin de maintenir le processus de paix au Proche-Orient sur les rails et faire pression pour le départ du président Robert Mugabe du Zimbabwe.
Le Zimbabwe s’est qualifié pour la 1ère édition de la phase finale du Championnat d’Afrique des nations (CHAN) de football après sa victoire aux dépens de l’Afrique du Sud (2-0), en match retour du deuxième et dernier tour éliminatoire de la compétition disputé au Rufaro Stadium de Harare.
L’ambassadeur américain à Harare, James McGee, s’en est de nouveau pris au régime du président zimbabwéen Robert Mugabe, l’accusant de vivre dans le luxe et la corruption pendant que le pays s’enfonce dans le chaos économique et humanitaire.
Le gouvernement zimbabwéen envisage de publier au journal officiel un projet de loi portant révision de la Constitution qui donnerait effet à la matérialisation d’une proposition de gouvernement d’union, a révélé le quotidien étatique zimbabwéen, The Herald.
Le Centre africain pour un règlement constructif des conflits (SACCORD) a jugé « préoccupant » le silence du gouvernement zambien sur la détérioration de la situation au Zimbabwe, invitant les autorités de Lusaka à prendre instamment position sur cette question.
L’ancien président sud-africain et actuel médiateur dans la crise au Zimbabwe a rejeté les appels en faveur de la démission du Président Robert Mugabe.
Le ministre de l’Information zimbabwéen Sikhanyiso Ndlovu a affirmé que l’épidémie de choléra, qui a fait près de 800 morts, était « un génocide » conduit par la Grande-Bretagne.
Le Zimbabwe est en train de tomber rapidement au rang d’Etat « défaillant », alors que le président Robert Mugabe tient le pays en otage, a dénoncé jeudi l’ambassadeur des Etats-Unis à Harare, James McGee.
L’Afrique du Sud a déclaré sa région nord, frontalière avec le Zimbabwe, « zone de catastrophe » en raison de la propagation de l’épidémie de choléra, a indiqué jeudi un responsable du gouvernement provincial.
Le président zimbabwéen Robert Mugabe a soutenu jeudi que l’épidémie de choléra, qui a fait près de 800 morts selon l’ONU, était finie, alors que même l’Afrique du Sud déclarait sa région frontalière « zone de catastrophe » suite à l’afflux de malades et à la contagion régionale.
Le Gouverneur de la ’Reserve Bank of Zimbabwe’ (RBZ), M Gideon Gono, a décliné l’offre du gouvernement américain de le placer à un poste à la Banque Mondiale, ont rapporté à Harare, des médias publics, qui dénoncent dans cette affaire « le double jeu » des capitales occidentales.
Le Fonds de l’ONU pour l’enfance (Unicef) a dit avoir besoin de 17,5 millions de dollars (13,6 millions d’euros) pour lutter contre l’épidémie de choléra au Zimbabwe où des dizaines de milliers de personnes sont menacées de contracter la maladie.
Jacob Zuma a réaffirmé mardi, à Johannesburg, son soutien à la médiation de Thabo Mbeki, au Zimbabwe, tout en invitant les acteurs politiques du pays à lever les obstacles à la formation d’un gouvernement d’unité.
Déjà effrayés par le choléra qui se répand dans les rues de Harare, les Zimbabwéens doivent en plus se battre, jour après jour, pour accéder à l’eau, souvent polluée par l’épidémie qui a fait des centaines de morts, ou tout simplement inaccessible.
Une association zimbabwéenne de défense des droits de l’homme a invité la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) et l’Union africaine (UA) à intervenir pour la libération d’un activiste enlevé la semaine dernière, a appris APA à Harare.
Les Européens ont renforcé leurs sanctions contre le régime zimbabwéen en ajoutant dix noms à la liste des personnes interdites d’entrée dans l’UE, selon le ministre français des Affaires étrangères Bernard Kouchner, dont le pays préside l’Union.
Le président Robert Mugabe a accusé les Etats-Unis et le Royaume-Uni de prévoir une invasion du Zimbabwe, rejetant de nouveau avec force les appels de la communauté internationale pour son départ, a indiqué son porte-parole.
Le président zimbabwéen Robert Mugabe continue de défier la communauté internationale et d’exclure tout départ du pouvoir, alors même que son ministre de la Santé réclamait davantage d’aide étrangère pour lutter contre l’épidémie de choléra qui a fait 575 morts.