Le président zimbabwéen Robert Mugabe continue de défier la communauté internationale et d’exclure tout départ du pouvoir, alors même que son ministre de la Santé réclamait davantage d’aide étrangère pour lutter contre l’épidémie de choléra qui a fait 575 morts.
Le président zimbabwéen Robert Mugabe continuait mardi de défier la communauté internationale et d’exclure tout départ du pouvoir, alors même que son ministre de la Santé réclamait davantage d’aide étrangère pour lutter contre l’épidémie de choléra qui a fait 575 morts.
Des ONG ont sonné l’alarme après une vague « sans précédent » d’enlèvements de défenseurs des droits de l’Homme au Zimbabwe, exhortant la communauté internationale à faire pression sur le régime d’un pays en ruine.
Le responsable politique, Elliot Manyika, ministre sans portefeuille du gouvernement zimbabwéen a été tué dans un accident sur la route du Matabeleland Sud, a annoncé un communiqué du ZANU/PF, parti du Président Robert Mugabe.
Le Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef) se prépare à un quadruplement des cas de choléra au Zimbabwe dans les semaines à venir, ce qui pourrait provoquer la mort d’environ 2. 700 personnes, a indiqué son responsable à Harare, interrogé par la BBC.
Le vice-président kenyan, Kalonzo Musyoka, a invité le président Robert Mugabe et le Premier ministre désigné Morgan Tsvangirai, à mettre de côté leurs différends politiques pour s’engager dans un dialogue véritable en vue de mettre fin aux problèmes politiques et économiques actuels du pays.
Les soldats zimbabwéens arrêtés cette semaine pour des violences contre des changeurs au marché noir et des pillages à Harare passeront en cour martiale, a rapporté samedi le quotidien d’Etat The Herald.
Les soldats zimbabwéens arrêtés cette semaine pour des violences contre des changeurs au marché noir et des pillages à Harare passeront en cour martiale, a rapporté samedi le quotidien d’Etat The Herald.
Après les Etats-Unis, le Royaume-Uni, ancienne puissance coloniale, et l’Union européenne sont montés au créneau pour exiger le départ du président zimbabwéen Robert Mugabe dont le pays, englué dans une profonde crise économique, fait face à une épidémie de choléra incontrôlée.
Le président zimbabwéen Robert Mugabe est plus que jamais sous pression, accusé par la communauté internationale du naufrage de son pays, en proie à une épidémie de choléra et à une profonde crise économique, et où un nouveau billet de 200 millions a été mis en circulation.
Le gouvernement du président Robert Mugabe est incapable de résoudre la grave crise humanitaire en cours au Zimbabwe, a déclaré l’ex-secrétaire général de l’ONU Kofi Annan au nom du groupe de personnalités internationales influentes The Elders (les Anciens).
Kofi Annan, Jimmy Carter et d’autres personnalités éminentes du groupe The Elders (Les Anciens) ont accusé dimanche Robert Mugabe d’être incapable de résoudre la grave crise humanitaire au Zimbabwe, en proie à une épidémie de choléra qui déjà fait près de 600 morts.
L’Afrique du Sud va envoyer au Zimbabwe une délégation d’experts chargés d’étudier les moyens d’aider Harare à faire face à la crise alimentaire et à l’épidémie de choléra, a indiqué le gouvernement sud-africain.
La secrétaire d’Etat américaine, Condoleezza Rice, a appelé à la démission du président du Zimbabwe, Robert Mugabe, lors d’un déplacement à Copenhague.
La secrétaire d’Etat américaine, Condoleezza Rice, a appelé vendredi à la démission du président du Zimbabwe, Robert Mugabe, lors d’un déplacement à Copenhague.
La pression internationale s’accentuait vendredi sur le régime du président zimbabwéen Robert Mugabe, dont les Etats-Unis demandent le départ et qui compte désormais sur l’aide étrangère pour juguler une épidémie de choléra en pleine expansion.
La pression internationale s’accentuait vendredi sur le régime du président zimbabwéen Robert Mugabe, dont les Etats-Unis demandent le départ et qui compte désormais sur l’aide étrangère pour juguler une épidémie de choléra en pleine expansion.
L’épidémie de choléra qui frappe le Zimbabwe va probablement s’étendre à l’Afrique du Sud si les conditions de vie des réfugiés ayant franchi la frontière pour fuir la maladie ne sont pas améliorées, a affirmé jeudi l’organisation Human Rights Watch (HRW).
L’épidémie de choléra qui frappe le Zimbabwe va probablement s’étendre à l’Afrique du Sud si les conditions de vie des réfugiés ayant franchi la frontière pour fuir la maladie ne sont pas améliorées, a affirmé l’organisation Human Rights Watch (HRW).
APA-Paris (France) John Stewart, vice-président du Forum des ONG de défense des Droits de l’Homme au Zimbabwe, a estimé jeudi à Paris, que la communauté internationale se doit, au plus vite, d’intervenir directement afin de « sauver le peuple » et mettre un terme à la situation chaotique que traverse le Zimbabwe.
Seize soldats zimbabwéens ont été arrêtés pour des violences contre des changeurs au marché noir et des pillages à Harare et ses environs, a indiqué le journal gouvernemental The Herald.
Le gouvernement du Zimbabwe a qualifié d' »urgence nationale » l’épidémie de choléra qui a déjà fait plus de 550 morts dans le pays et appelé à l’aide la communauté internationale, ont souligné jeudi les médias officiels.
Le gouvernement du Zimbabwe a reconnu l’ampleur de l’épidémie de choléra qui a déjà fait plus de 550 morts dans le pays, en décrétant pour la première fois l' »urgence nationale » et en appelant à l’aide la communauté internationale.