À l’approche du second tour de la présidentielle, le 27 juin, la violence politique se déchaîne. À l’instigation d’une poignée de généraux et de faucons accrochés à leurs privilèges. Et avec l’aval d’un Robert Mugabe dont la date de péremption est largem
Avec son franc-parler habituel, l’auteur de Je suis noir et je n’aime pas le manioc (Max Milo Éditions, 2004) nous livre sa réaction sur la crise zimbabwéenne.
En faisant pression sur le chef de l’État zimbabwéen, Jacob Zuma cherche aussi à se démarquer du président Thabo Mbeki, son prédécesseur à la tête de l’ANC.
À force de nier, contre toute évidence, l’existence d’une crise dans le pays de Robert Mugabe, le médiateur sud-africain a fini par être récusé par Morgan Tsvangirai, le chef de l’opposition. L’apôtre de la « diplomatie tranquille » aurait-il perdu la mai