Le responsable de la principale confédération syndicale au Zimbabwe, à l’origine d’une grève générale violemment réprimée par les forces de l’ordre le 14 janvier, a été arrêté lundi à Harare, a annoncé un groupe d’avocats.
Le géant public russe Alrosa, va s’implanter au Zimbabwe pour y lancer des opérations d’extraction, a annoncé le groupe le 14 janvier, à l’occasion d’une visite du président zimbabwéen Emmerson Mnangagwa à Moscou.
Plusieurs personnes ont été tuées lundi au Zimbabwe lors de violentes manifestations contre la flambée des prix du carburant, décrétée par le président Emmerson Mnangagwa.
Le gouvernement a décidé de doubler le prix des carburants ce dimanche 13 janvier. Le président Emmerson Mnangagwa a fait des promesses aux fonctionnaires et mis en garde « ceux qui tentent de profiter des pénuries de pétrole pour causer des troubles ». Mais la colère est palpable.
Le Zimbabwe va réintroduire d’ici à la fin de l’année sa propre monnaie, le dollar zimbabwéen, pour pallier le manque de dollars américains qui étrangle depuis des années son économie, a confirmé son ministre des Finances Mtuli Ncube.
Trois personnes comparaissent devant un tribunal du Zimbabwe pour avoir dérobé une valise contenant près de 150 000 dollars en liquide dans une propriété de l’ex-président Robert Mugabe.
Les autorités du Zimbabwe ont affirmé, le 21 décembre, qu’elles n’extraderaient pas Grace Mugabe, l’épouse de l’ancien président Robert Mugabe, visée par un mandat d’arrêt de la justice sud-africaine, dans le cadre d’une affaire d’agression contre une mannequin à Johannesburg en 2017.
La police sud-africaine a demandé mercredi 19 décembre l’arrestation de Grace Mugabe, épouse de l’ex-président zimbabwéen Robert Mugabe, dans le cadre d’une affaire d’agression contre une mannequin sud-africaine à Johannesburg en 2017.
L’ancien président zimbabwéen Robert Mugabe, âgé de 94 ans, est soigné depuis deux mois à Singapour et ne peut plus marcher, a affirmé samedi 24 novembre son successeur Emmerson Mnangagwa lors d’un meeting de son parti, la Zanu-PF, au pouvoir depuis l’indépendance en 1980.
Le gouvernement du Zimbabwe a démenti ce dimanche 11 novembre que son service de renseignement ait tenté d’enlever le principal dirigeant d’opposition, Nelson Chamisa, au cours du week-end.
Le chef de l’opposition zimbabwéenne, Nelson Chamisa, a préconisé mardi 23 octobre la formation d’un gouvernement transitoire d’urgence pour résoudre la crise politique et économique qui s’aggrave dans le pays.
La police zimbabwéenne a arrêté jeudi 11 octobre plusieurs dirigeants syndicaux qui avaient appelé à une journée de manifestations nationale contre une aggravation spectaculaire de la crise économique. Les rassemblements sont interdits dans le pays en raison d’une épidémie de choléra qui a fait au moins 49 morts depuis septembre.
Emmerson Mnangagwa, le président du Zimbabwe, a présenté vendredi 7 septembre un nouveau gouvernement largement remanié auquel il a assigné la mission de « développer et moderniser » l’économie en faillite du pays.
L’application Wala, lancée en avril dernier, permet aux utilisateurs de transférer de l’argent gratuitement de téléphone portable à téléphone portable. Présents en Afrique du Sud, en Ouganda et au Zimbabwe, ses concepteurs ont de grandes ambitions : « Pousser une population entière à passer de l’argent liquide au digital ».
Le président du Zimbabwe Emmerson Mnangagwa a officiellement prêté serment dimanche, après plusieurs semaines de vive controverse sur les conditions de son élection le 30 juillet, jugée frauduleuse par l’opposition.
La Cour constitutionnelle du Zimbabwe a validé vendredi 24 août l’élection du président sortant Emmerson Mnangagwa, estimant que les accusations de fraudes et de manipulations au scrutin du 30 juillet avancées par l’opposition n’avaient pas été prouvées. L’investiture d’Emmerson Mnangagwa avait été suspendues en attendant la décision de la Cour.
Fruit d’une manœuvre militaro-politique, la chute de Robert Mugabe a été orchestrée par Constantino Chiwenga et Emmerson Mnangagwa. Lesquels entretiennent encore aujourd’hui cette alliance pour conserver leur mainmise sur la présidence.
L’investiture d’Emmerson Mnangagwa est « suspendue » jusqu’à ce que la Cour constitutionnelle zimbabwéenne rende sa décision sur un recours déposé par l’opposant Nelson Chamisa, qui conteste les résultats de l’élection présidentielle du 30 juillet.
Figure de l’opposition zimbabwéenne, Tendai Biti, qui avait été expulsé par les autorités zambiennes après une demande d’asile politique, a finalement bénéficié jeudi d’une libération sous caution par la justice de son pays.
Tendai Biti, un responsable de l’opposition zimbabwéenne, a été arrêté mercredi 8 août au matin à la frontière, alors qu’il s’apprêtait à demander « l’asile » en Zambie, selon son avocat. Cette arrestation intervient alors que son parti conteste les résultats de l’élection présidentielle remportée par le sortant Emmerson Mnangagwa.
Au moment où la page Robert Mugabe se tourne (presque) au Zimbabwe, l’épouse de l’ancien président a appris qu’elle pourrait être poursuivie par la justice sud-africaine.
Réélu dès le premier tour avec 50,8% des voix, le président zimbabwéen Emmerson Mnangagwa fait face à la colère des partisans de Nelson Chamisa, candidat du MDC-Alliance arrivé second (44,3%), qui conteste les résultats du scrutin. Mark Stevens, chef adjoint de la mission d’observation de l’Union européenne, livre son analyse.
Après 37 ans au pouvoir de Robert Mugabe, le Zimbabwe rêvait d’un avenir meilleur mais avec l’élection controversée de son ex-bras droit Emmerson Mnangagwa et la répression de l’opposition, beaucoup ont l’impression d’être revenus au point de départ.
Nelson Chamisa, le principal rival du président sortant Emmerson Mnangagwa, a dénoncé une élection « frauduleuse, illégale, illégitime », vendredi à Harare. L’opposition conteste la réélection dès le premier tour de l’ancien bras droit de Robert Mugabe.
Emmerson Mnangagwa a été élu président du Zimbabwe dès le premier tour, a annoncé la commission électorale dans la nuit de jeudi à vendredi. Une victoire rejetée par l’opposition, laissant craindre de nouveaux troubles, après la répression meurtrière d’une manifestation d’opposants mercredi.
Alors que les tirs à balles réelles ont fait au moins trois morts mercredi chez les partisans de l’opposition, le président zimbabwéen Emmerson Mnangagwa a appelé jeudi à « résoudre pacifiquement » les différends avec son rival, Nelson Chamisa. L’armée patrouillait jeudi dans les rues de Harare.
Au moins un manifestant a été tué à Harare, où les forces de sécurité ont tiré à balles réelles sur des partisans de l’opposition. Alors que les résultats de la présidentielle n’ont toujours pas été communiqués, l’atmosphère s’est considérablement tendue mercredi, dans l’attente d’une déclaration de la commission électorale.
Alors que les résultats de la présidentielle ne sont pas encore connus, la commission électorale a annoncé mercredi 1 août que la Zanu-PF, parti au pouvoir depuis 1980, a obtenu la majorité absolue des sièges à l’Assemblée, lors des législatives organisées lundi.
Le chef de l’État Emmerson Mnangagwa et l’opposant Nelson Chamisa, les deux principaux candidats à la présidentielle au Zimbabwe, se sont chacun félicités mardi 31 juillet d’être en tête des élections organisées la veille.