Un convoi militaire de plusieurs chars a été aperçu roulant vers Harare ce mardi en fin de journée, au lendemain de menaces proférées par le chef de l’armée à l’encontre du régime de Robert Mugabe. Le parti présidentiel assure de son côté qu’il n’y a « pas de coup d’État en cours », tout en accusant le chef de l’armée de « trahison ».
Le chef de l’armée zimbabwéenne a réclamé lundi la « fin » de ce qu’il a qualifié de « purge » au sein du parti présidentiel Zanu-PF, prévenant que l’armée pourrait « intervenir ». Une déclaration lourde de sens, qui survient peu de temps après le limogeage de l’ex-vice président Emmerson Mnangagwa.
Ce 10 novembre, la justice a remis en liberté sous caution quatre jeunes Zimbabwéens accusés d’avoir sapé l’autorité du président Robert Mugabe en huant la Première dame Grace Mugabe lors d’un rassemblement politique.
L’aéroport international d’Harare change de nom pour devenir « l’aéroport international Robert Gabriel Mugabe ». Le chef de l’État zimbabwéen, 93 ans, est venu en personne pour dévoiler la plaque gravée à son nom.
Robert Mugabe a défendu pour la première fois ce 8 novembre sa décision de se débarrasser de son vice-président, Emmerson Mnangagwa, qu’il n’a pas encore remplacé.
Surnommé le « Crocodile » pour son caractère impitoyable, Emmerson Mnangagwa a été limogé mardi de son poste de vice-président par Robert Mugabe pour « manque de loyauté ». Il a annoncé avoir quitté son pays en raison des « menaces incessantes » qui pesaient sur lui et promis de combattre les dérives de Robert Mugabe et de son épouse.
Robert Mugabe a limogé lundi son vice-président Emmerson Mnangagwa. Une décision interprétée par l’opposition comme une manœuvre destinée à ouvrir la voie à la Première dame pour succéder, le moment venu, au chef de l’État.
Au Zimbabwe, la question de la succession du dirigeant Robert Mugabe, âgé de 93 ans, provoque des tensions croissantes au sein du parti au pouvoir. Son épouse, Grace, a annoncé dimanche 5 novembre qu’elle était prête à succéder à son mari.
Une Américaine a été arrêtée vendredi au Zimbabwe pour avoir comparé sur Twitter Robert Mugabe à un « lutin dont la femme et le fils ont acheté une Rolls-Royce ». Plusieurs personnes ont été arrêtées ces dernières années pour avoir posté des commentaires jugés insultants à l’égard du président.
Le président zimbabwéen Robert Mugabe a appelé mercredi au rétablissement, dans les faits, de la peine de mort, après la candidature de plus de 50 personnes au poste de bourreau chargé d’exécuter les condamnés à mort par pendaison.
L’épouse du président zimbabwéen a lancé des poursuites contre un homme d’affaires libanais qui ne lui a pas remis une bague en diamants qu’elle avait commandée. Nouvel épisode dans le feuilleton de la médiatisation incessante de Grace Mugabe…
Un responsable syndical zimbabwéen a été arrêté pour avoir comparé à « un mort-vivant » le président Robert Mugabe, 93 ans, qui règne d’une main de fer sur le pays depuis trente-sept ans.
Lorsqu’un journaliste zimbabwéen évoque le don, par la première dame, de sous-vêtements d’occasion, Grace Mugabe se froisse comme un vêtement usagé. Entre lingerie et singerie, tempête dans une balle de fripes…
Le président zimbabwéen a donné quelques leçons « d’unité, de paix et de coopération » à son homologue américain jeudi à la tribune des Nations unies, à New York.
La top-model sud-africaine qui accuse Grace Mugabe de l’avoir agressée s’est présentée mardi 19 septembre devant la justice pour contester l’immunité diplomatique accordée à l’épouse du président zimbabwéen, première étape d’une longue procédure judiciaire.
Le président Robert Mugabe a indiqué mardi 12 septembre que le Zimbabwe avait atteint l’autosuffisance alimentaire. Il s’agirait d’une première depuis le lancement en 2000 d’une réforme agraire très controversée, qui a exproprié les fermiers blancs du pays.
Le président zimbabwéen Robert Mugabe a annoncé samedi qu’il pourrait révéler qui il aimerait voir lui succéder entre sa femme et son vice-président, opposés dans une virulente guerre de succession.
Bien qu’il soit épuisant, le zapping reste en fin de compte un exercice intéressant. À force d’appuyer sur la télécommande pour trouver un programme hors du commun, les doigts font de la gymnastique, tandis que le cerveau se dégourdit.
Alors que les incartades des proches de Robert Mugabe ne se comptent plus, la plainte déposée à Johannesburg contre la première dame pourrait bien être la goutte d’eau qui fait déborder le vase.
Certains courent, d’autres nagent, tous ou presque font des visites médicales régulières. Mais quels que soient leur âge et leur forme, les présidents africains répugnent à dévoiler leur état de santé. Jeune Afrique vous propose un check up continental de ceux qui nous gouvernent.
AfriForum, un groupe d’activistes sud-africains pour les droits de l’homme, va saisir la justice pour obtenir l’annulation de l’immunité diplomatique accordée à la première dame du Zimbabwe, Grace Mugabe, soupçonnée d’agression sur une jeune mannequin dans un hôtel de Johannesburg.
Le président zimbabwéen Robert Mugabe a participé samedi à Pretoria à un sommet régional, mais son épouse Grace, qui y était attendue après avoir requis l’immunité diplomatique à l’Afrique du Sud pour échapper à des poursuites dans une affaire d’agression, n’était pas visible.
Selon l’avocat de Gabriella Engels, la jeune femme victime présumée de Grace Mugabe, cette dernière a proposé de l’argent pour « classer l’affaire ». L’épouse du chef de l’Etat zimbabwéen est accusée de coups et blessures.
Le Zimbabwe a requis mercredi l’immunité diplomatique pour la Première dame du Zimbabwe, Grace Mugabe. Visée par une plainte pour agression en Afrique du Sud, où elle est soupçonnée d’avoir frappé deux femmes dans un hôtel de Johannesburg, elle n’a pas quitté le sol sud-africain comme l’ont prétendu certaines sources.
Le dimanche 13 août au soir, la Première dame du Zimbabwe aurait agressé une bande d’amis dans une chambre d’hôtel en Afrique du Sud. Résultat : une plainte pour agression a été déposée par l’une des présumées victimes. Retour sur les faits.
La première dame du Zimbabwe, Grace Mugabe, est visée par une plainte pour agression en Afrique du Sud, où elle est soupçonnée d’avoir frappé deux femmes dans un hôtel de Johannesburg, ont indiqué mardi les autorités sud-africaines.
Jeudi 20 juillet, le ministre zimbabwéen des Finances, Patrick Chinamasa, a indiqué que des compensations de 134 millions de dollars ont été versées aux fermiers blancs expropriés lors de la réforme agraire de l’an 2000. Une demande ancienne, dont les intéressés disent ne pas avoir vu la couleur, et dont les prêteurs internationaux, FMI en tête, font une des conditions de leur retour dans le pays.
Le président zimbabwéen Robert Mugabe est rentré dans son pays samedi après une visite médicale à Singapour, a annoncé la radio-télévision nationale, mettant un terme aux spéculations sur le lieu où se trouvait le dirigeant âgé de 93 ans.