C’est le 29 avril et à condition que les mesures de confinement soient levées à cette date, que les éditions Albin Michel ont prévu la parution des « Mémoires impubliables » de Pierre Péan, dont la sortie était initialement annoncée pour le 18 mars.
La présidence gabonaise a officialisé vendredi 3 avril une vague de nominations au sein des forces armées du pays. Le général Grégoire Kouna quitte la Garde républicaine, remplacé comme commandant en chef par Brice Clotaire Oligui Nguema.
Alors que l’épidémie de Covid-19 s’étend sur le continent, les chefs d’État africains veillent scrupuleusement à se protéger du virus. Dans les palais présidentiels, de nombreuses dispositions ont été prises afin d’assurer leur sécurité personnelle, ainsi que celle de leurs collaborateurs.
Candidat unique du Parti démocratique gabonais (PDG) lors de l’élection législative partielle initialement prévue les 4 et 18 avril prochain dans la circonscription de Lékoni-Lékori (Haut-Ogooué), Ali Akbar Onanga Y’Obegue fait son retour aux affaires, après avoir été exclu de ce parti, puis de l’Assemblée nationale, lorsqu’il était en conflit avec Brice Laccruche Alihanga.
Après la chute du directeur de cabinet Brice Laccruche Alihanga, en décembre 2019, c’est tout un pan de la présidence qu’Ali Bongo Ondimba s’est attelé à reconstruire. Plus que jamais, le chef de l’État s’appuie sur ses proches.
Engagé par la famille d’Ike Ngouoni, l’ex-porte-parole de la présidence gabonaise, l’avocat français Éric Dupond-Moretti a dépêché sur place son associé, Me Antoine Vey.
Brice Laccruche Alihanga et son frère Grégory, tous deux incarcérés dans le cadre de l’opération anti-corruption Scorpion, ont déposé plainte contre X le 21 janvier en France pour « atteinte à la liberté individuelle, violences volontaires et menace de mort commises en bande organisée ».
La première chambre préliminaire de la Cour pénale internationale refuse de clore le dossier des violences post-électorales de 2016. La procureure de la CPI, Fatou Bensouda, avait pourtant préconisé de mettre un terme aux investigations.
La récente visite, à Libreville, du secrétaire d’État auprès du ministre français de l’Europe et des Affaires étrangères est le signe d’une relance diplomatique, amenée à se poursuivre, entre le Gabon et la France.
Brice Laccruche Alihanga (BLA), l’ex-directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba, a passé les fêtes de fin d’année dans une cellule d’isolement de la Prison centrale de Libreville, d’où il n’a pas été extrait pour assister à la messe de Noël.
Futur quartier d’affaires sur le littoral de Libreville la Baie des rois est l’un des rares chantiers d’infrastructures que l’État maintient dans ses priorités. Un projet qui fascine autant qu’il irrite.
Cette année, le mouvement Appel à agir, composé de dix personnalités de l’opposition et de la société civile, a occupé le terrain en multipliant les recours judiciaires pour obtenir que le président Ali Bongo Ondimba soit soumis à un examen médical.
Santé du président Ali Bongo Ondimba, échecs de l’union de l’opposition, alliances politiques, ambitions présidentielles… Le président du parti Les Démocrates (LD) répond aux questions de Jeune Afrique.
Le chef du gouvernement gabonais défend les réformes menées depuis le début de la convalescence du président Ali Bongo Ondimba, ainsi que l’unité de son équipe, malgré les nombreux bouleversements opérés au sein de l’exécutif. Interview exclusive.
Si les récents remaniements au sein du cabinet présidentiel et du gouvernement ont inquiété les uns et déconcerté les autres, ils ont aussi et surtout clarifié la situation au sommet de l’État : un an après son AVC, Ali Bongo Ondimba est bel et bien de retour aux commandes de l’exécutif et dicte le tempo.
En quelques semaines, l’entourage proche du président gabonais a été profondément bouleversé. Qui sont les nouveaux membres de la garde rapprochée d’Ali Bongo Ondimba ? Portraits des incontournables du Palais du bord de mer.
Dans un communiqué rendu public le 10 décembre, Jean Ping a dénoncé « la monarchisation de la République » gabonaise, faisant allusion à la nomination de Noureddin Bongo Valentin, le fils du chef de l’État, comme coordinateur des affaires présidentielles.
Tout juste limogé de son poste de ministre, l’ex-directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba a été arrêté dans le cadre d’une vaste opération anticorruption menée au Gabon.
Le chef de l’État gabonais a nommé, jeudi 5 décembre en conseil des ministres, son fils Noureddin « coordinateur des affaires présidentielles ». Celui-ci sera chargé « d’assister le président de la République dans la conduite de toutes les affaires de l’État ».
Ali Bongo Ondimba a procédé à un remaniement du gouvernement gabonais, lundi 2 décembre. Les ministres Brice Laccruche Alihanga, Noël Mboumba et Jean-Fidèle Otandault ont été limogés.
La vaste opération anticorruption lancée au Gabon se poursuit jusqu’au sommet de l’État avec la mise en détention provisoire de l’ancien porte-parole de la présidence Ike Ngouoni, suspecté notamment de complicité de détournement de fonds publics.
Plusieurs proches de Brice Laccruche Alihanga (BLA), démis de son poste de directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba début novembre, sont actuellement écroués à la prison centrale de Libreville. Qui sont ces « BLA Boys » qui ont maille à partir avec la justice ?
On le disait affaibli, mais il fait preuve de résilience. Aujourd’hui, c’est loin de Libreville, où il ne se rend qu’épisodiquement, que l’ancien tout-puissant directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba poursuit son chemin.