Alors que le Parti démocratique gabonais est déjà assuré d’avoir la majorité dans la future Assemblée, les électeurs étaient appelés aux urnes pour le second tour des législatives.
Largement dominée lors du premier tour des législatives, l’opposition a prévu de faire le pied de grue dans les différents bureaux de vote à l’occasion du second tour des législatives ce samedi 27 octobre.
Ali Bongo Ondimba a été hospitalisé le 25 octobre à Riyad, en Arabie saoudite. Sans donner davantage de précisions, la présidence gabonaise évoque une « légère fatigue » du chef de l’État.
Arrivé de justesse en tête au premier tour, Alexandre Barro-Chambrier du Rassemblement héritage et modernité affronte Séverin Pierre Ndong Ekomi du Parti démocratique gabonais pour l’un des derniers duels à enjeux des législatives.
Grands perdants des législatives, les adversaires d’Ali Bongo Ondimba vont devoir tout reconstruire en vue de la présidentielle de 2023. Vaste programme !
En marge du sommet de l’OIF à Erevan, le président français Emmanuel Macron a rencontré son homologue congolais Denis Sassou Nguesso, et s’est entretenu en tête à tête avec Ali Bongo Ondimba.
Le président gabonais Ali Bongo Ondimba et son Premier ministre avaient prévenu : les candidats qui souhaitent conserver leur poste seraient bien inspirés de sortir vainqueurs aux élections législatives…
Les pays africains de l’Initiative pour la protection des éléphants ont participé jeudi 11 octobre à la Conférence sur le commerce illégal d’espèces sauvages, à Londres. Le président gabonais, dont le pays est membre de cette alliance depuis sa création, revient sur les enjeux de ce combat.
Au lendemain des scrutins pour les locales et le premier tour des législatives au Gabon, la présidence gabonaise a fait état dimanche « d’un raz-de marée » pour le parti au pouvoir et un taux d’abstention élevé.
Deux ans après une élection présidentielle qui avait été marquée par les violences, les Gabonais ont voté samedi dans le calme aux élections législatives et municipales.
Deux ans après la présidentielle, l’opposition rêve de contraindre Ali Bongo Ondimba à une cohabitation inédite à l’issue des élections législatives et locales. Première manche le 6 octobre.
En marge de l’Assemblée générale des Nations unies qui vient de se clore à New York, Michaëlle Jean, soutenue par le Canada, et Louise Mushikiwabo, qui peut notamment compter sur la France et l’UA, ont rivalisé en coulisses à quelques jours du prochain sommet de l’OIF.
Le gouvernement gabonais s’est réjoui samedi de la décision de la Cour pénale internationale (CPI) de ne pas ouvrir d’enquête sur les violences post-électorales de 2016 au Gabon.
Des associations de la société civile gabonaise ont poursuivi l’Agence française de développement (AFD) pour l’accord d’un prêt de 75 millions d’euros, dont l’objectif serait, selon elles, de « maintenir en place le gouvernement d’Ali Bongo Ondimba ».
Raphaël Ntoutoume Nkoghe, le président de la Haute autorité gabonaise de la communication, qui a sanctionné France 2 après la rediffusion d’un documentaire, explique à Jeune Afrique les raisons qui ont motivé la suspension de la diffusion de la chaîne publique française au Gabon, qu’il accuse « d’acharnement ».
Cinq jours après avoir décidé de la suspension d’un an de France 2 au Gabon, la Haute autorité de la communication a annoncé mardi une réduction de cette peine à trois mois.
L’homme d’affaires italien Guido Santullo est décédé dans l’après-midi du 27 août à Gaeta, en Italie. À 82 ans, le patron du groupe Sericom était en conflit devant les tribunaux avec l’État gabonais, à qui il réclamait plusieurs centaines de millions d’euros d’impayés.
Coupable, selon la Haute autorité de la communication, d’avoir rediffusé un document sur le Gabon d’Ali Bongo Ondimba le 16 août, la chaîne France 2 a été suspendue pour un an. Jeune Afrique revient sur une décision polémique.
Jean Rémy Yama, leader syndical proche de l’opposition au Gabon, avait appelé les fonctionnaires à défiler le 13 août pour protester contre les mesures d’austérité. Et rêve de faire plier le gouvernement.
« Le Gabon est l’un des pays en Afrique qui dépense le plus pour ses étudiants boursiers sans que les résultats ne soient au rendez-vous ». Dans un discours diffusé sur la télévision d’État, le président gabonais a dressé un sombre état des lieux du système éducatif de son pays, promettant de le « révolutionner ».
Le parti démocratique gabonais du chef de l’État Ali Bongo Ondimba (PDG, au pouvoir) a rendu public lundi les identités de ses 143 candidats aux élections législatives du 6 octobre prochain.
Ils étaient partisans de l’irréductible opposant. Ils sont devenus ministres d’Ali Bongo Ondimba. Attaqués par leurs anciens amis, ils jurent travailler pour le pays, et rien que pour lui.
Avant David Mbadinga, Michel Menga et Moukagni Iwangou, d’autres opposants avaient déjà été nommés à des postes prestigieux durant ce septennat. Avec des résultats contrastés.
Après plusieurs reports, Moïse Bibalou Koumba, président du nouveau Centre gabonais des élections (CGE), a annoncé lundi que les élections législatives et locales se tiendront le 6 octobre prochain.
La réussite éclatante de la filiale du groupe singapourien Olam est celle de son directeur général. Grand architecte logistique du pays, il suscite l’admiration autant que la jalousie et les critiques.
La plus grande centrale syndicale du Gabon, Dynamique unitaire, appelle à une « grande marche » le 13 août, et se dit prête à engager le bras de fer avec le gouvernement pour s’opposer aux dispositions adoptées fin juin pour réduire le train de vie de l’État.
Aucune nouvelle entrée dans la nouvelle configuration du gouvernement gabonais annoncée lundi, mais quelques mutations censées accompagner la dynamique actuelle de la diminution du train de vie de l’État et de la priorité donnée à l’emploi.
Moïse Katumbi a rencontré le petit-neveu de Patrice Lumumba, des partis politiques gabonais tentent encore de s’entendre sur trois sièges en vue des législatives… Chaque semaine, Jeune Afrique vous rend compte de l’activité des contre-pouvoirs africains.
La société productrice de la série avait interjeté appel d’une ordonnance de référé rendue le 16 février par le TGI de Paris. La justice française interdisait l’exploitation d’une interview accordée par l’ex-Première Dame du Gabon au réalisateur Joël Soler, dans le cadre de sa série consacrée aux épouses d’anciens « despotes ». Cet appel a été rejeté à Paris le 27 juin.