Neuf partis politiques de la Coalition pour la nouvelle République de Jean Ping ont publié un communiqué jeudi pour annoncer qu’ils ne participeront pas aux élections législatives prévues en avril. Une prise de position qui vient ajouter à la confusion qui règne au sein de l’opposition à deux mois du scrutin.
Un paiement de 310 milliards de francs CFA est attendu dans les prochaines semaines dans le cadre du règlement de la dette intérieure. Un plan de remboursement qui devrait dans un premier temps concerner 177 PME gabonaises.
L’opposition se prépare aux législatives d’avril et entend imposer une cohabitation à Ali Bongo Ondimba. Mais alors que Jean Ping refuse toujours de prendre part à la campagne, elle avance en ordre dispersé…
Les élections législatives se préparent à Libreville. Une ultime chance pour Ali Bongo Ondimba de retrouver une légitimité abîmée suite à la crise postélectorale.
Après avoir mis ses talents au service d’Ali Bongo Ondimba, ce vieux briscard de la Françafrique a pris fait et cause pour Jean Ping. Son ultime combat ?
La mise en orbite de la Grande Loge féminine du Cameroun en témoigne : de plus en plus d’Africaines rejoignent les rangs de cet ordre initiatique. Suscitant, comme leurs frères, nombre de fantasmes.
« J’avais déjà conçu le projet, que j’ai réalisé, de “niquer” François Fillon, bien avant que n’éclate l’affaire impliquant l’épouse de l’ancien Premier ministre au mois de janvier 2017. » Décidément, plus rien n’étouffe, pas même la bienséance la plus élémentaire, le truculent Robert Bourgi.
L’une des sœurs du président gabonais, Pascaline Mferri Bongo Ondimba, est au centre d’un contentieux judiciaire entre la Banque internationale pour le commerce et l’industrie du Gabon (Bicig, filiale de BNP Paribas) et le voyagiste Mistral Voyages.
Estimant que le réalisateur Joël Soler avait abusé de sa confiance, la star de la musique gabonaise Patience Dabany, par ailleurs mère du président Ali Bongo Ondimba, demande l’interdiction d’un documentaire initialement programmé sur la chaîne Planète+. La justice française a mis sa décision en délibéré au 16 février.
Le nouveau président du Liberia a été investi ce lundi devant une foule de plus de 35 000 personnes. Dans une atmosphère de liesse populaire, il a promis de préserver les acquis démocratique, de lutter contre la corruption et de construire un Liberia « d’égalité, de liberté, de dignité et de respect ». Reportage.
Des opposants gabonais ont brièvement investi, jeudi matin, un hôtel particulier appartenant à la famille Bongo à Paris. Ils en ont été délogés par la police. L’ambassade s’apprête à déposer plainte.
Décalée de janvier à mars en 2017, pour cause de CAN, la plus importante des courses cyclistes du continent africain retrouve sa place en prologue de la saison, mêlant des coureurs d’équipes professionnelles aux meilleures sélections africaines. Pour cette première journée, c’est l’Allemand Lucas Cartensen qui a remporté l’étape.
Une trentaine de membres de l’opposition gabonaise en France qui avaient envahi samedi soir un hôtel particulier parisien appartenant à l’État gabonais a évacué les lieux « sans heurts » dans la nuit de samedi à dimanche, a indiqué à l’AFP une source policière.
Le congrès a voté, les deux chambres parlementaires gabonaises réunies en Congrès extraordinaire ont adopté mercredi le projet de loi controversé sur la révision de la Constitution. Le président Ali Bongo Ondimba a donc réussi à faire passer une réforme constitutionnelle pourtant très critiquée par l’opposition.
La révision constitutionnelle, contestée par l’opposition, doit être adoptée mercredi par le Parlement, réuni en congrès. Députés et sénateurs se sont mis d’accord sur une version définitive du texte, qui n’a plus qu’à être validée.
Critiqué par l’opposition gabonaise pour avoir été la cheville ouvrière du système de gouvernance mis en place par Ali Bongo à partir de 2009, Maixent Accrombessi avait été interpellé en août 2015, à Paris, avant d’être relâché.
Dans le viseur de l’opposition depuis plusieurs mois, ce texte, accusé par ses détracteurs de pousser à une monarchisation du pouvoir, devra maintenant passer devant le Sénat.
Le bras de fer continue entre le ministre de la Justice Francis Nkéa Ndizigue et les magistrats gabonais. Ces derniers ont annoncé jeudi le début d’une « grève générale illimitée », exigeant la démission du ministre qui a accusé publiquement des juges de « corruption ».
Le Parti démocratique gabonais, qui tenait son 11ème congrès ce dimanche, connaît une véritable petite révolution interne, avec de nombreux départs des « anciens » qui laissent leur place à une nouvelle génération de responsables.
À l’issue d’une décennie de travaux et après moult péripéties, le Sénégal a enfin étrenné, le 7 décembre, son nouvel aéroport international Blaise-Diagne à Diass, dans la région de Thiès.
Lors du sommet qui s’est tenu les 29 et 30 novembre à Abidjan, le président togolais, Faure Gnassingbé, a multiplié les rencontres avec ses pairs, lors desquels il a été fortement question de la crise politique qui secoue son pays, et des tentatives d’ouverture d’un dialogue politique avec une opposition pour le moment réticente.
Nous sommes le 30 août. À Libreville, les rumeurs de remaniement vont bon train. Les postes se proposent, s’acceptent et, parfois, se refusent. Sur les tapis feutrés du Palais du bord de mer, les destins politiques se font et se défont sous l’œil vigilant des hommes du président.
Météorologie, télécommunications, navigation, gestion des ressources naturelles, sécurité, mais aussi espionnage… La conquête spatiale est aujourd’hui une nécessité stratégique pour se développer et se protéger. Et le continent n’entend pas se laisser distancer.
Jean Ping ne désarme pas. À l’approche du sommet entre l’Union africaine et l’Union européenne qui s’ouvre à Abidjan le 29 novembre, le Gabonais doit lui aussi faire escale dans la capitale ivoirienne mercredi 22 novembre. Son objectif : y convaincre « la communauté internationale » et « rétablir la vérité des résultats » de la présidentielle d’août 2016.
Le 28 septembre, le gouvernement gabonais adoptait en Conseil des ministres un projet de révision de la Constitution, touchant notamment le rôle du président de la République. Depuis, les critiques pleuvent, alors que l’Assemblée doit examiner le texte. Donnez votre avis sur les mesures envisagées.
Touché de plein fouet par la chute des cours de l’or noir, le Gabon s’évertue à diversifier son économie. Si les raisons d’être optimiste sont nombreuses, le chemin pour sortir du marasme s’annonce encore long.
Comme prévu, il a quitté la présidence de son parti. Mais, à 78 ans, l’emblématique dirigeant du Rassemblement pour le Gabon (RPG) n’en a pas pour autant renoncé à tirer les ficelles en coulisses.