Les parlementaires européens et leurs homologues des pays ACP ( Afrique, Caraïbes, Pacifiques) devaient voter une résolution commune sur la situation post-électorale au Gabon lors de la 32e asssemblée parlementaire paritaire UE-ACP qui s’est tenue en début de semaine à Nairobi. Mais après trois jours de négociations serrées, aucun accord n’a été trouvé.
En voyage officiel dans la capitale chinoise, le chef de l’État a multiplié les contacts avec les autorités et les entreprises locales et signé des contrats à tour de bras.
Plus de trois mois ont passé depuis la réélection contestée d’Ali Bongo Ondimba. L’opposition ne baisse pas les bras et refuse toujours l’idée d’un dialogue. Mais pas sûr que l’unité affichée résiste à l’épreuve du temps…
La mission d’observation électorale de l’Union européenne (MOE) présente lundi son rapport sur l’élection présidentielle gabonaise, dont Jeune Afrique a obtenu copie.
Après plusieurs reports, la Mission d’observation électorale déployée par l’Union européenne au Gabon doit présenter lundi 12 décembre son rapport final sur l’élection présidentielle contestée du 27 août dernier.
Six ans après sa dernière visite, le président du Gabon est en République populaire de Chine du 6 au 9 décembre pour renforcer les relations avec la première puissance économique mondiale.
Les élections législatives au Gabon, qui devaient se tenir en décembre, ont été reportées au plus tard au 29 juillet 2017 pour « cas de force majeure », a indiqué samedi dans une déclaration le ministre de l’Intérieur.
Dans un communiqué conjointement signé avec les Nations Unies, le Gabon et la Guinée équatoriale ont annoncé ce mardi avoir trouvé un « compromis visant à soumettre à la Cour internationale de justice le différend frontalier entre les deux pays ».
Les avocats de Jean Ping ont annoncé ce mercredi avoir déposé un nouveau recours devant la Cour constitutionnelle gabonaise, pour contester les résultats de l’élection présidentielle du 27 août.
Le ministre de l’Intérieur gabonais Lambert-Noël Matha a annoncé dans un communiqué ce mardi la démission du chef de la Direction générale de la documentation et de l’immigration (DGDI), Célestin Embinga. Cette démission fait suite à l’intervention contestée de ses hommes dans un journal de l’opposition, le 3 novembre.
Plusieurs personnes ont été interpellées jeudi matin au siège du journal gabonais d’opposition Échos du Nord dans la capitale Libreville, a-t-on appris auprès du journal et du gouvernement.
Arrivé troisième à la présidentielle, il est l’un des rares opposants à intégrer le gouvernement du Gabon. Il hérite de l’épineuse question du logement.
La Cour constitutionnelle a tranché, Ali Bongo Ondimba a été réélu. Ce n’était pas gagné : abandonné par son parti, lâché par ses anciens alliés, confronté à des opposants plus remontés que jamais, le chef de l’État revient de loin.
Lors du premier conseil des ministres du nouveau gouvernement gabonais présidé mardi par Ali Bongo Ondimba, plusieurs changements ont été annoncés dans l’organigramme de la présidence.
Le monde occidental et surtout la France s’offusquent de la victoire de Bongo contre Ping au cours de l’élection présidentielle gabonaise. Il y a deux lectures à faire pour expliquer le résultat des élections.
Le Premier ministre gabonais Emmanuel Issoze Ngondet a dévoilé dimanche soir la composition du nouveau gouvernement. Malgré les annonces répétées en faveur d’une « large ouverture » prônée par Ali Bongo Ondimba après sa réélection contestée, de rares personnalités de l’opposition y font leur entrée.
Au lendemain de l’investiture d’Ali Bongo Ondimba, dont la réélection est toujours contestée par l’opposition, Emmanuel Issoze-Ngondet a été nommé mercredi 28 septembre Premier ministre en remplacement de Daniel Ona Ondo. Éléments de portrait d’un diplomate réputé discret.
Après avoir nommé le nouveau Premier ministre de son gouvernement d’ouverture mercredi, Ali Bongo Ondimba s’apprête à choisir ses futurs ministres, a indiqué le ministre de la Communication Alain-Claude Bilie-By-Nze. Un retour à la normale politique qui n’empêche pas Jean Ping et ses partisans de continuer de contester l’élection.
Quatre jours après la validation de sa réélection par la Cour constitutionnelle, Ali Bongo Ondimba a été investi ce mardi midi pour un deuxième septennat.
Voyages, visites amicales, déjeuners, discussions informelles… Ultrafavoris de la primaire de la droite, Alain Juppé et Nicolas Sarkozy réactivent leurs réseaux africains. Tous les coups sont permis, et tous les soutiens sont bons à prendre.
Le président gabonais Ali Bongo Ondimba est investi pour un second septennat ce mardi, quatre jours après la validation de sa réélection par la Cour constitutionnelle, a annoncé la présidence lundi.
Vendredi, la Cour constitutionnelle gabonaise a validé la victoire d’Ali Bongo à la très contestée élection présidentielle du 27 août. Une décision qui a suscité des réactions très froides au sein de la communauté internationale ces derniers jours.
Le ministre français des Affaires étrangères Jean-Marc Ayrault a regretté samedi que l’examen des recours n’ait pas levé « tous les doutes » sur la réélection du président gabonais Ali Bongo Ondimba, tout en appelant l’opposition à « récuser l’action violente ».
Jean Ping a réagi samedi à la décision de la Cour constitutionnelle du Gabon de valider la réélection du président sortant, Ali Bongo Ondimba. Le principal rival du président sortant a dénoncé un « déni de droit ».
La capitale gabonaise était quadrillée samedi par un imposant dispositif des forces de sécurité après la validation dans la nuit par la Cour constitutionnelle de la réélection du président Ali Bongo Ondimba, dont l’annonce le 31 août avait déclenché des émeutes meurtrières et des pillages massifs dans le pays.
La Cour constitutionnelle du Gabon a validé dans la nuit de vendredi à samedi la réélection du président sortant, Ali Bongo Ondimba, pour un second septennat. Un important dispositif sécuritaire a été déployé à Libreville pour prévenir tout nouveau déferlement de violence.
La Cour constitutionnelle du Gabon a rejeté vendredi soir aux environs de 00h50 les recours déposés par l’opposition après la présidentielle du 27 août et proclamé élu Ali Bongo Ondimba avec 50,66 % des voix.
Le Gabon se réveille vendredi avec la peur de nouvelles violences et dans l’incertitude la plus totale alors que la Cour constitutionnelle doit trancher sur le contentieux électoral entre le président sortant Ali Bongo Ondimba et son rival Jean Ping.
À la veille du délai fixé à la cour constitutionnelle gabonaise, pour rendre son verdict sur le contentieux électoral, l’instance poursuit jeudi son travail de recomptage sous le regard d’une équipe de juristes de l’Union Africaine.