Face au Parlement réuni en Congrès mardi 28 juin, Ali Bongo Ondimba, candidat à un deuxième mandat, a passé en revue son septennat à moins de deux mois de l’élection présidentielle gabonaise du 27 août.
Le fondateur de la Fomunyoh Foundation, organisation promouvant la démocratie et les droits de l’homme basée à Bamenda, ne fait pas mystère de ses ambitions au Cameroun, où la succession du président Biya est devenue un sujet incontournable. De passage à Paris, il a répondu aux questions de Jeune Afrique.
Jean Ping, candidat à l’élection présidentielle gabonaise du 27 août, est poursuivi par l’agent judiciaire de l’État pour atteinte « à la sécurité publique » et par Ali Bongo Ondimba pour diffamation. Jusqu’à présent, il ne s’est pas présenté aux convocations judiciaires émises dans ces deux affaires.
Contrairement à ce que nous avons écrit ci-dessous, Malika Dossou Bongo Ondimba n’a pas annoncé penser à la présidentielle 2023 au Gabon. La publication Facebook que nous avons relayée a en réalité été produite par un faux compte, comme nous l’a signalé la présidence gabonaise.
Mahamoudou Issoufou a achevé sa cinquième visite à l’Élysée, jeudi 16 juin. Depuis l’arrivée de François Hollande au pouvoir en 2012, le président nigérien est l’un des chefs d’État africains les plus vus à Paris. Et le vôtre, fait-il partie du même cercle ?
Il a déçu, il le sait, en renonçant in extremis à être candidat à la dernière présidentielle. Mais l’ex-Premier ministre espère se racheter à l’occasion du scrutin du 27 août. Il portera les couleurs de l’UN et promet que, cette fois, il ne faillira pas.
Un nouveau mouvement politique baptisé « Dynamique plurielle pour Ali Bongo Ondimba » a été lancé samedi à Libreville pour soutenir le président sortant, candidat à un second mandat lors de l’élection qui doit se tenir entre août et octobre.
À moins de quatre mois de l’élection présidentielle gabonaise, Claude Dumont-Beghi, avocate du chef de l’État, Ali Bongo Ondimba, depuis janvier 2014, prend la plume pour défendre son client.
Depuis dimanche, une nouvelle polémique agite le Gabon. Mais la demande en paternité que Joyce Ondo, qui se présente comme l’ancienne compagne d’Ali Bongo Ondimba, affirme avoir déposée devant un tribunal français ne devrait pas avoir de répercussions immédiates pour le chef de l’État gabonais.
Germain Ngoyo Moussavou est ambassadeur du Gabon en France, il est aussi l’ex-président du groupe parlementaire du parti au pouvoir au Sénat. Il est revenu pour Jeune Afrique sur l’actualité politique de son pays à l’approche de la présidentielle d’août.
Après les classements sans suite à Libreville et à Nantes concernant les plaintes déposées pour « faux », l’avocate du chef d’État gabonais estime « qu’il est temps de mettre fin à cette fiction sur la filiation d’Omar Bongo Ondimba ».
Bien que nombre de chefs d’État francophones s’y côtoient, les Loges africaines apparaissent toujours comme un lieu de pouvoir occulte et semblent impuissantes à désamorcer les conflits qui déchirent le continent. Zoom sur le Gabon.
Bien que nombre de chefs d’État francophones s’y côtoient, les Loges africaines apparaissent toujours comme un lieu de pouvoir occulte et semblent impuissantes à désamorcer les conflits qui déchirent le continent. Zoom sur le Cameroun, qui a accueilli l’édition 2016 des Rehfram.
Quels sont les présidents africains qui revendiquent leur appartenance à la franc-maçonnerie ? Ceux qui la démentent ou encore ceux qui laissent planer le doute ? Petite liste non exhaustive.
Le président gabonais Ali Bongo Ondimba a annoncé lundi 29 février qu’il serait candidat à un deuxième mandat lors de l’élection présidentielle du second semestre 2016, dont la date n’a pas encore été fixée.
Deux jours après la visite du secrétaire général des Nations unies, une délégation l’Union africaine menée par Jacob Zuma est attendue à Bujumbura jeudi pour un séjour de 48 heures. Objectif : faire pression sur le président burundais Pierre Nkurunziza pour qu’il passe de la parole aux actes et ouvre un dialogue politique inclusif avec son opposition.
À huit mois de la présidentielle, c’est l’heure du bilan. Et celle des déclarations assassines. L’image du pays sera-t-elle à nouveau ternie par une campagne où, comme en 2009, tous les coups seront permis ?
Pour le Premier ministre, aucun doute : l’émergence est en marche grâce aux réformes engagées. Et selon lui, seul le chef de l’État sortant est de taille à les poursuivre.
La « maladie hollandaise » dont souffre le Gabon depuis des décennies le met en danger au moment où l’effondrement des cours du pétrole sous la barre des 30 dollars nécessiterait le renfort d’autres secteurs.
Il va y avoir du sport ! Et peut-être même du sang et des larmes. Le contraire eut été étonnant dans ce pays où la politique (politicienne) est la discipline reine et la présidentielle, la compétition suprême.
Afin de convaincre le président Pierre Nkurunziza d’accepter l’envoi d’une force de stabilisation au Burundi, l’Union africaine va dépêcher une délégation composée des présidents mauritanien, Mohamed Ould Abdel Aziz, sud-africain, Jacob Zuma, sénégalais, Macky Sall, gabonais, Ali Bongo Ondimba, ainsi que du Premier ministre éthiopien, Hailemariam Desalegn.
Pendant de longues années, Jean Ping et Ali Bongo Ondimba ont entretenu des relations cordiales. Entre 2009 et 2012, quand ils séjournaient à Addis-Abeba, le chef de l’État et son épouse étaient reçus à dîner à la résidence du président de la Commission de l’UA.
Les tensions se faisaient sentir depuis de longues semaines au sein de la principale coalition de l’opposition gabonaise, minée par une guerre de chefs. Le Front uni de l’opposition pour l’alternance (Fuopa) menace désormais d’exploser, au risque de ne pas tenir sa promesse de présenter un candidat unique lors de la prochaine présidentielle.
Deux mois après avoir eu accès à l’acte de naissance du président gabonais, Ali Bongo Ondimba, sa demi-soeur Onaida Maisha Bongo Ondimba a porté plainte en France pour « faux ».
Sur le plateau télé de l’émission « On n’est pas couché », le Premier ministre français Manuel Valls a affirmé samedi dernier que Ali Bongo Ondimba n’avait pas été élu « comme on l’entend ». Matignon a tout de suite tenté de circonscrire le début d’incident diplomatique entre Paris et Libreville, non sans succès.