Deux mois après avoir eu accès à l’acte de naissance du président gabonais, Ali Bongo Ondimba, sa demi-soeur Onaida Maisha Bongo Ondimba a porté plainte en France pour « faux ».
Sur le plateau télé de l’émission « On n’est pas couché », le Premier ministre français Manuel Valls a affirmé samedi dernier que Ali Bongo Ondimba n’avait pas été élu « comme on l’entend ». Matignon a tout de suite tenté de circonscrire le début d’incident diplomatique entre Paris et Libreville, non sans succès.
Jean Ping a été désigné candidat unique du Front uni de l’opposition pour l’alternance à la prochaine présidentielle gabonaise, a annoncé l’ancien président de la Commission de l’UA. Problème : une bonne partie des membres de cette vaste coalition rejettent sa candidature. Explication en quatre points.
Samedi, dans une émission de télévision, le Premier ministre français a en effet estimé que le chef de l’État gabonais n’avait pas été élu « comme on l’entend ». Des propos qui secouent d’ores et déjà la classe politique gabonaise.
Dresser la liste des personnalités qui marqueront l’Afrique en cette année qui débute est un exercice périlleux, même si les élections, les crises dont l’épilogue se fait attendre ou les événements sportifs et culturels mettront certainement en avant des protagonistes bien connus. Jeune Afrique vous propose une liste non-exhaustive. Parmi eux, Ali Bongo Ondimba, Président du Gabon.
Dans la perspective de la prochaine présidentielle, en août 2016, Ali Bongo Ondimba (ABO), le chef de l’État, s’efforce de reprendre en main le Parti démocratique gabonais (PDG).
Alors que la sécurité des chefs d’État africains vire à l’obsession, les agents chargés de la garantir sont moins nombreux mais mieux formés et mieux équipés. Enquête sur ces hommes qui suivent nos présidents comme leur ombre.
Saisi par une héritière d’Omar Bongo Ondimba, le Tribunal de grande instance (TGI) de Nantes a autorisé jeudi la communication de l’acte de naissance complet du président gabonais Ali Bongo Ondimba.
Au sein du parti au pouvoir, démissions et marchandages se multiplient à mesure que la présidentielle approche. Reste à savoir ce que pèsent les mécontents et s’ils peuvent réellement menacer la domination du PDG.
Dans son numéro 2857 du 11 au 17 octobre, Jeune Afrique revient sur la fronde qui s’élargit au sein du Parti démocratique gabonais (PDG) d’Ali Bongo Ondimba et sur le remodelage du paysage politique alors que la présidentielle de 2016 approche à grand pas.
Alors que la candidature unique de l’opposition n’est pas encore assurée pour la présidentielle de 2016, l’un des prétendants, Jean Ping, continue sa campagne. Vendredi, il a une nouvelle fois fustigé Ali Bongo Ondimba et décrit un Gabon « pas très loin du chaos ».
Lundi, lors de la première journée du débat général de la 70e Assemblée générale des Nations unies, quelque onze chefs d’État africains se sont exprimés. Jeune Afrique récapitule les déclarations majeures, qui vont des critiques contre le Conseil de sécurité au rejet des droits des homosexuels.
Nul doute qu’il sera candidat en 2016. Et le chef de l’État a déjà fort à faire. Entretien avec un homme qui accepte de parler de tout : des résistances au changement qu’il veut incarner, de ses relations avec la France ou avec l’opposition et même des dissensions au sein de son parti.
Nul doute qu’Ali Bongo Ondimba sera de nouveau candidat, en août 2016. Six ans après avoir été porté au pouvoir, et à quelques mois donc de la prochaine élection présidentielle, le chef de l’État gabonais nous a reçus, le 9 septembre, dans un salon du Palais du bord du mer, celui-là même où son père accueillait naguère des opposants qui ne repartaient jamais les mains vides.
À l’issue d’un entretien avec son homologue français François Hollande, le président gabonais Ali Bongo Ondimba a dénoncé lundi une tentative « d’humilier le Gabon » après la brève interpellation de Maixent Accrombessi, son influent directeur de cabinet.
Plus politique que technocratique, la nouvelle équipe gouvernementale mise en place au Gabon ce week-end a pour but, entre autres, de préparer et de soutenir une probable candidature de l’actuel chef de l’État à la présidentielle de 2016.
Henri Proglio, qui a récemment été contraint de renoncer à la présidence de Thales, le groupe français d’électronique et de défense, en raison de son mandat de conseil auprès de Rosatom, l’agence russe de l’énergie atomique, ne reste pas inactif.
Un mois après son annonce, la décision du président Ali Bongo Ondimba (ABO) de partager sa part d’héritage avec la jeunesse gabonaise continue de susciter force commentaires. J.A. est parvenu à reconstituer les principales étapes de l’opération.
La compagnie aérienne, active en Afrique australe, espère desservir bientôt le Gabon et le Bénin dans un premier temps avant de viser l’Afrique de l’Est. Les détails de ce programme d’expansion restent encore flous.
Ali Bongo Ondimba a annoncé la semaine dernière vouloir « partager » son héritage avec la jeunesse gabonaise. Quels sont les autres chefs d’État africains à avoir fait ce type d’annonce et tenu ce genre de promesses ?
En annonçant son intention de partager une partie de la succession de son père avec ses compatriotes, le président Ali Bongo Ondimba a surpris tout le monde, opposition et cohéritiers. Difficile, en effet, de critiquer un tel geste… Retour sur une déclaration politique aussi audacieuse que controversée.
Les relations entre les deux partenaires particuliers, historiquement très proches, commencent à se refroidir, après la multiplication des épisodes vécus comme des humiliations par Libreville.
Le futur ex-président américain ne comptera pas, pour sa retraite, sur un héritage kényan dont une partie de sa famille paternelle entend le priver, pour défaut de solidarité. Ali Bongo Ondimba, lui, a décidé de se déshériter lui-même…
Le président gabonais, Ali Bongo Odimba, a annoncé lundi soir, lors d’un discours prononcé à l’occasion du 55e anniversaire de l’Indépendance, qu’il avait décidé de « partager l’héritage » de son père Omar Bongo Ondimba, décédé en 2009, avec « la jeunesse gabonaise ».
Interpellé lundi 3 août et remis en liberté mardi après une brève garde à vue à Nanterre, le directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba est dans le collimateur de la justice française. Celle-ci enquête notamment sur des virements suspects émis par une société française, dont elle suspecte Maixent Accrombessi d’être le destinataire.
Apparues au tournant du siècle dernier, elles ont façonné le pays et en détiennent, aujourd’hui encore, les principaux leviers politiques et économiques. Enquête sur une élite très attachée à ses privilèges.
La star de football voulait rendre service à son copain Eto’o ; il a récolté des railleries sur l’argent qu’il aurait touché. Ali Bongo Ondimba voulait s’offrir un coup de comm’ en conduisant lui-même Messi dans les rues de Port-Gentil ; il a récolté un buzz moqueur…
Alexandre Barro Chambrier, député du quatrième arrondissement de Libreville, est le fer de lance de ceux qui, au sein du parti au pouvoir, somment Ali Bongo Ondimba de revenir à une gestion plus participative des affaires de la majorité. Interview.
La présidentielle, c’est dans un an, et d’ici là chacun entend rappeler qu’il a un rôle à jouer, une influence à négocier. Quitte à semer la zizanie au sein du parti au pouvoir.