À la veille de son arrivée sur le sol kényan, le président américain, Barack Obama, a fait savoir qu’il souhaitait que les relations entre les États-Unis et le continent africain atteignent « une nouvelle dimension ».
Le président kényan, Uhuru Kenyatta, n’a pas l’intention de discuter des droits des homosexuels avec son homologue américain Barack Obama, attendu le 24 juillet au Kenya.
Pour la première fois en tant que président, Barack Obama s’apprête à se rendre au Kenya, le pays de son père. En dépit des espoirs placés en lui, il est loin d’avoir révolutionné les relations avec le continent.
Le président nigérian Muhammadu Buhari rencontre lundi le président Barack Obama aux États-Unis. Un voyage qui permettra de renouer les relations diplomatiques entre les deux pays, estime Lauren Ploch Blanchard, spécialiste en affaires africaines, au Congressional Research Service, basé à Washington. Interview.
À l’invitation de Barack Obama, le président nigérian Muhammadu Buhari entamera lundi une visite de quatre jours aux États-Unis. Une rencontre cruciale pour les relations diplomatiques entre les deux pays, au cours de laquelle il sera question de la lutte contre Boko Haram.
Le chef de l’État n’a jamais été aussi confiant : la CPI a renoncé à le poursuivre, et Barack Obama s’apprête à venir lui rendre visite. Courtisé de toutes parts, Kenyatta a l’embarras du choix.
Emprisonnés pour terrorisme en Éthiopie, quatre journalistes et deux blogueurs ont été relâchés mercredi et les poursuites dont ils faisaient l’objet ont été abandonnées.
Les militants kenyans anti mariage gay attendent de pied ferme le président américain qui prépare sa première visite officielle dans le pays de son père. L’homophobie n’est-t-elle pas partagée par tout le continent ?
En dépit de la tragédie de Charleston, il ne fait guère de doute que les membres du Congrès refuseront d’adopter une loi sur le contrôle des armes à feu. Ils ont bien trop peur de la puissante National Rifle Association !
C ‘est un mot de six lettres, symboliquement l’un des plus violents, des plus chargés, des plus haïssables et sans doute le plus raciste de la langue anglaise.
Une étude publiée mercredi par le Pew Research Center sur la popularité du président américain dans le monde, indique que l’Afrique est le continent où Barack Obama est le plus aimé.
Depuis six ans, Flotus – pour First Lady Of The United States – s’employait avec application à inaugurer les chrysanthèmes. Le second mandat de Barack tirant à sa fin, elle multiplie les prises de position sur la question raciale. Une métamorphose.
Familles, amis et simples citoyens : ils étaient nombreux jeudi à converger à Charleston, dans le sud-est des États-Unis, lors des premières funérailles des victimes de la fusillade raciste, pour leur rendre un dernier hommage.
Le président des États-Unis, Barack Obama, accueillera le nouveau président du Nigeria, Muhammadu Buhari, le 20 juillet 2015 à Washington. La coopération dans la lutte contre Boko Haram sera au cœur des discussions.
Cinq jours après le massacre de neuf africains-Américains dans une église de Charleston, Barack Obama a prononcé le mot « nigger » lors d’une interview à la radio diffusée lundi. En osant utiliser ce terme quasiment interdit aux États-Unis, le premier président noir du pays a aussitôt déclenché un tollé.
Le président américain se rendra vendredi à Charleston pour prononcer l’éloge funèbre du pasteur Clementa Pinckney, qui a été abattu mercredi avec huit paroissiens par un jeune un suprémaciste blanc.
Sur Twitter, Judy Shalom Nir-Mozes, épouse du ministre israélien de l’Intérieur Silvan Shalom, a publié dimanche une blague raciste sur Barack Obama… avant de l’effacer et de s’excuser. Trop tard, la polémique était déjà lancée.
Barack Obama a dénoncé jeudi des « meurtres insensés » après la fusillade raciste qui a fait neuf morts mercredi soir dans une église de la communauté noire de Charleston. Le président américain a appelé une nouvelle fois à mieux encadrer la vente d’armes à feu.
Un avocat kényan veut marier Malia, la fille aînée de Barack Obama. Pour appuyer sa demande, Felix Kiprono offre à la famille de l’élue de son coeur 50 vaches, des moutons et des chèvres. Il espère même transmettre officiellement sa demande au président américain lors de la visite de ce dernier au Kenya, en juillet.
À l’ocassion de la réception de Béji Caïd Essebsi à la Maison blanche jeudi, le président amréicain Barack Obama a annoncé son intention d’accorder à la Tunisie le statut d' »allié majeur non-membre de l’Otan ».
Le président tunisien Béji Caïd Essebsi sera reçu jeudi à Washington par son homologue américain Barack Obama. Cette deuxième rencontre entre les deux hommes à la Maison blanche depuis 2011 sera consacrée au renforcement de la coopération bilatérale notamment militaire.
À l’occasion du dîner annuel de l’association des correspondants accrédités à la Maison Blanche, samedi soir à Washington, Barack Obama était confronté à un défi difficile à relever. Faire rire son auditoire en évoquant l’actualité… Pas évident dans un contexte miné par les tensions raciales et les bavures policières.
Les présidents des trois pays les plus durement touchés par Ebola, la Guinée, le Liberia et le Sierra Leone, ont été reçus à la Maison Blanche par le président américain Barack Obama, alors qu’ils sont en visite à Washington pour trouver des fonds afin de redresser l’économie de leur pays.
Le président américain, Barack Obama, effectuera en juillet sa première visite officielle au Kenya à l’occasion de la 6e édition du sommet global de l’entrepreneuriat organisé à Nairobi.
L’envoyé spécial des États-Unis pour la région des Grands Lacs et la RDC, Russ Feingold, va quitter son poste, qui l’a vu fortement s’impliquer dans les négociations entre les rebelles du M23 et le gouvernement de Kinshasa.
Au deuxième jour d’un sommet visant à lutter contre la « violence extrémiste », Barack Obama a martelé que les terroristes ne parlaient pas « au nom d’un milliard de musulmans ». Le président américain, qui a pesé ses mots, a lancé un appel à l’unité dans un contexte confessionnel tendu aux États-Unis.
Lors du traditionnel National Prayer Breakfast, le 5 février, Barack Obama a tenté de plaider pour la tolérance religieuse. Il n’a réussi qu’à faire l’unanimité contre lui.
Dans un entretien publié mercredi sur le site du magazine « People », le président américain, Barack Obama, et son épouse, ont révélé quelques actes de racisme ordinaire dont ils ont déjà été victimes.