Avec « Amal », le réalisateur égyptien Mohamed Siam signe un documentaire sur la jeunesse révolutionnaire en suivant la trajectoire d’une adolescente en quête de sens. Le film, qui sort en France le 20 février, a été interdit en Égypte.
Pomme de discorde entre Le Caire et Addis-Abeba, le barrage de la Renaissance en construction en Éthiopie constituera certainement l’un des gros dossiers qu’aura à traiter l’Union africaine sous la présidence d’Abdel Fattah al-Sissi. Mustapha El Gendy, député égyptien au Parlement panafricain et spécialiste du sujet, y revient pour Jeune Afrique.
Le 32e sommet de l’Union africaine s’est achevé lundi 11 février, à Addis-Abeba, sous la présidence de l’Égyptien Abdel Fattah al-Sissi. Retour sur ses principales conclusions.
Le Rwandais Paul Kagame a cédé son siège de président en exercice de l’Union africaine (UA) à son homologue égyptien Abdel Fattah al-Sissi, lors de la session d’ouverture du 32e sommet à Addis-Abeba. L’Afrique du Sud a été désignée pour lui succéder en 2020.
Premier voyage à Addis-Abeba pour Félix Tshisekedi, début de la présidence continentale pour Abdel Fattah al-Sissi, et même candidature inédite du roi d’Eswatini Mswati III pour lui succéder… Le 32e sommet de l’Union africaine devrait être celui des nouveautés.
Alors que son pays s’apprête à prendre la présidence de l’Union africaine, dimanche à Addis-Abeba, l’ambassadeur d’Égypte à Paris livre quelques pistes sur l’action égyptienne pour le continent. L’occasion, aussi, de revenir sur la récente visite d’Emmanuel Macron au Caire.
Le Fonds monétaire international (FMI) a annoncé lundi le déblocage d’une nouvelle tranche de prêt de quelque deux milliards de dollars en faveur de l’Égypte, à l’issue d’un nouvel examen du programme de réformes économiques de cette dernière.
Le président français a quitté mardi soir l’Égypte après une visite de trois jours marquée par un changement de ton de la France sur la question des droits de l’homme, sous pression de l’opinion publique hexagonale et des ONG.
Le président français Emmanuel Macron a entamé le 27 janvier sa visite en Égypte par une étape au temple d’Abou Simbel, l’un des sites archéologiques emblématiques du pays, avant de se rendre en fin de journée au Caire. Il est accompagné d’une délégation forte de cinq membres du gouvernement et d’une centaine de patrons.
Au lendemain du huitième anniversaire de la révolution égyptienne et alors que les répressions d’opposants se sont intensifiées ces dernières années, le président français Emmanuel Macron va entamer une visite d’État dans le pays, du 27 au 29 janvier.
Un policier spécialisé dans les explosifs a été tué samedi soir au Caire en tentant de désamorcer une bombe repérée par les forces de sécurité devant une église copte au Caire, une communauté régulièrement prise pour cible par les extrémistes.
Depuis plusieurs jours, l’Égypte tente de faire déprogrammer une interview que le président Sissi a accordé à la chaîne américaine CBS, dans laquelle il évoque notamment les prisonniers politiques et la coopération avec Israël. La direction du groupe a refusé et a indiqué qu’elle maintenait sa diffusion, dimanche 6 janvier, dans son émission phare « 60 minutes ».
L’ex-président égyptien Hosni Moubarak a demandé mercredi l’ « autorisation » de l’actuel chef de l’État Abdel Fattah al-Sissi pour révéler des informations « sensibles » sur des attaques durant la révolution impliquant, selon le parquet, les Frères musulmans, le Hamas palestinien et le Hezbollah libanais.
Une des têtes d’affiches de la 7ème édition des Atlantic dialogues, organisée à Marrakech par le think tank Policy Center for the New South, n’est autre que l’ancien secrétaire général de la Ligue arabe et chef de la diplomatie égyptienne, Amr Moussa (82 ans). Entretien express.
L’information est tout sauf satirique. Selon l’agence américaine Associated Press (AP), au Caire, la vente de gilets jaunes est désormais soumise à surveillance.
Désigné à la tête de l’institution panafricaine pour un an, le pays des pharaons, souvent qualifié de « trop arabe », veut profiter de cette présidence pour avancer ses pions sur le continent. Sans proposer une véritable vision pour l’Afrique.
Les chefs d’État africains se rassemblent ce week-end à Addis Abeba pour un sommet extraordinaire de l’Union africaine (UA), où ils chercheront à s’accorder sur un projet de réforme institutionnelle de l’organisation porté depuis deux ans par le président rwandais Paul Kagame.
Le documentaire égyptien « Amal », censuré en Égypte mais en lice dans la compétition officielle du festival de cinéma des JCC à Tunis, redonne aux femmes égyptiennes leur place dans la révolution de 2011, à travers la vie d’une adolescente militante.
Dix-neuf jihadistes présumés liés à l’attentat anticoptes qui a fait sept morts vendredi 2 novembre à Minya, dans le centre de l’Egypte, ont été tués lors d’un échange de « tirs » avec la police, a annoncé dimanche 4 novembre le ministère de l’Intérieur.
Le photojournaliste Mahmoud Abu Zeid dit Shawkan, arrêté en 2013 alors qu’il couvrait au Caire une manifestation réprimée dans le sang, a été condamné samedi à cinq ans de prison après cinq ans en détention sans jugement et devrait sortir prochainement.
Le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a promulgué une loi controversée de « lutte contre la cybercriminalité », selon le Journal officiel publié samedi, au moment où Internet est dans le collimateur du régime.
Les chefs d’État de l’Union africaine (UA) réunis à huis clos lors du sommet de Nouakchott, ont désigné un « quartet » de trois présidents ainsi que le président de la Commission, Moussa Faki Mahamat, pour tenter de résoudre le conflit entre le Maroc et la République arabe sahraouie démocratique (RASD).
Le président Abdel Fattah Al-Sissi a prêté serment samedi devant le Parlement, entamant ainsi un deuxième mandat de quatre ans à la tête de l’Egypte où la sécurité et l’économie restent deux défis majeurs.
Le nouveau mandat de quatre ans du président égyptien Abdel Fattah al-Sissi débute le 2 juin, dans un contexte de crise interne avec l’arrestation de plusieurs opposants. Une répression qui reflète, selon des experts, les craintes du pouvoir de voir apparaître de nouveaux mouvements sociaux.
Les Égyptiens retiennent leur souffle quant à un possible forfait de leur attaquant vedette Mohamed Salah pour le Mondial-2018, après avoir laissé éclater leur colère à la suite de sa blessure sous le maillot de Liverpool en finale de Ligue des champions.