Communiqués patriotiques, publicités tapageuses mais aussi campagne antidrogue : à mesure qu’il épate la planète football, l’attaquant de Liverpool, Mohamed Salah, est l’objet de multiples récupérations dans son pays, l’Égypte.
Emmanuel Macron et le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi ont souligné samedi, lors d’un entretien téléphonique, « la nécessité d’une solution politique en Syrie » y voyant « le seul moyen d’assurer au peuple syrien les conditions de sa souveraineté durable », selon la présidence française.
Quatre jihadistes ont été tués “au cours des derniers jours” dans des opérations militaires dans le Sinaï (nord), a annoncé dimanche l’armée égyptienne.
En mars-avril 2011, deux nations africaines, la Tunisie et l’Égypte, baignaient dans l’euphorie. Six ans après ce Printemps arabe, les deux pays ont pris des trajectoires différentes, mais avec une question commune : que faire des islamistes ?
Le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a été réélu fin mars pour un second mandat avec près de 97 % des voix, dans une élection où son seul adversaire était l’un de ses fervents partisans.
Réduction drastique des subsides de l’État, inflation, chômage, répression, démographie galopante… Tous les facteurs de l’explosion de 2011 sont encore là. Et vont s’aggravant.
L’économiste libanais, auteur de « Monde arabe : les racines du mal » (« L’Orient des livres », Actes Sud, 2017), Bachir el-Khoury livre son analyse sur les printemps arabes et l’évolution des pays concernés depuis 2011.
Abdel Fattah al-Sissi a été réélu pour un second mandat de quatre ans avec 97,08% des voix validées, dans une élection où son seul adversaire était aussi l’un de ses partisans.
En attendant les résultats officiels, prévus lundi 2 avril, la presse d’État a annoncé la victoire écrasante du président égyptien pour un second mandat de quatre ans. Une réélection sans surprise, mais dans un contexte de forte abstention.
Pour le président égyptien sortant, Abdel Fattah al-Sissi, assuré de l’emporter faute d’adversaire crédible, le taux de participation est le seul véritable enjeu de la présidentielle qui s’est achevée mercredi. Les premières estimations des résultats sont attendues ce jeudi.
En Égypte, les trois jours de vote du premier tour de l’élection présidentielle ont débuté le 26 mars. Un scrutin pénible à couvrir pour la presse. La correspondante du Times vient d’être expulsée.
Les Égyptiens votent à partir de lundi pour élire leur président dans un scrutin sans surprise qui devrait donner à l’homme fort du pays, Abdel Fattah al-Sissi, un deuxième mandat de quatre ans.
Les Égyptiens se rendront aux urnes ce 26 mars pour confirmer au pouvoir un président controversé. Entre soutiens et désillusions, ils s’expriment sur les mille et un visages d’un régime qui se referme sur lui-même. Reportage.
Le maréchal Abdel Fattah al-Sissi est-il aussi populaire que ses partisans le prétendent ? Sa réélection à la fin du mois fait en tout cas peu de doute.
Arrivé au Caire ce dimanche, dans le cadre de sa toute première tournée à l’étranger depuis sa désignation en juin, le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane s’est notamment mis d’accord avec le président égyptien pour lancer des « projets conjoints », notamment sur des investissements touristiques.
Le gouvernement avait annoncé en avril 2016 un accord sur la rétrocession à Riyad de Tiran et Sanafir, deux îlots inhabités dans la mer Rouge. Cette décision avait soulevé une vive controverse dans le pays et déclenché des manifestations contre le régime.
Le fils du roi Salmane d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, effectuera dimanche et lundi en Egypte son premier déplacement à l’étranger en tant que prince héritier.
Seize jihadistes ont été tués et 34 arrêtés dans le nord et le centre de la péninsule du Sinaï (est) dans le cadre de l’opération anti-jihadistes déclenchée vendredi en Égypte, a annoncé l’armée dimanche.
Le désenchantement est aujourd’hui de mise sur les cinq continents, où de nouvelles dictatures apparaissent et où les démocraties vont mal, notamment en Turquie et en Égypte.
Le président sortant Abdel Fattah al-Sissi part favori pour l’élection présidentielle prévue en mars prochain, alors que les signataires de l’appel au boycott dénonce un « climat de peur » à l’approche du scrutin.
En Égypte, le premier tour de l’élection présidentielle se tiendra du 26 au 28 mars et un second tour aura lieu, si besoin, du 24 au 26 avril, a annoncé lundi l’Autorité nationale des élections.
L’ancien Premier ministre égyptien Ahmed Chafiq a indiqué dimanche qu’il ne serait pas candidat à l’élection présidentielle prévue cette année, contrairement à ce qu’il avait annoncé fin novembre.
Des coptes d’Égypte ont assisté en grand nombre samedi à la messe de Noël, célébrée dans la Cathédrale de la nativité du Christ sous haute sécurité, après une année marquée par des attaques jihadistes meurtrières contre cette communauté chrétienne.
Que reste-t-il du vent de contestation populaire qui s’est levé en 2011 dans les pays arabes, du Maroc au Yémen ? Alors que les rêves de changement ont été balayés par des crises politiques profondes et par l’hydre jihadiste, l’heure est à la « reprise en main » contre-révolutionnaire.
Le chef de la diplomatie égyptienne Sameh Choukry se rendra à Addis Abeba mardi pour sortir de « l’impasse » autour de l’épineux dossier du barrage éthiopien de la Renaissance sur le Nil bleu.
Kagamé, Ouattara, Condé… Plusieurs chefs d’État africains ont assisté à ce forum destiné à favoriser l’investissement dans le continent. Réussites, couacs et… quelques indiscrétions.
Des hôtels de luxe, des quartiers résidentiels huppés, un aéroport moderne, une tour de 345 mètres… l’Égypte espère épater le monde avec sa nouvelle capitale en plein désert, un projet pourtant loin de faire l’unanimité.
L’avocate d’Ahmed Chafiq, candidat à la présidentielle égyptienne de 2018, a appelé dimanche les autorités à lui laisser voir son client, dont elle se dit sans nouvelles depuis son rapatriement la veille des Émirats arabe unis.
L’ex-Premier ministre égyptien Ahmed Chafiq, qui a annoncé son intention d’être candidat à la présidentielle égyptienne, a été interpellé samedi à son domicile aux Émirats arabes unis, où il vivait en exil depuis 2012, pour être expulsé vers l’Égypte, ont indiqué deux proches à l’AFP.
Une foule considérable de fidèles musulmans, dont des figures religieuses et officiers de l’armée égyptienne, ont assisté vendredi à la prière hebdomadaire dans une mosquée où une attaque imputée au groupe Etat islamique (EI) a fait 305 morts il y a une semaine.