Le roi a nommé, le 17 novembre, Driss Guerraoui en tant que nouveau président du Conseil de la concurrence. Une mesure très attendue pour réactiver une institution en sommeil depuis cinq ans, alors que les sujets de manquent pas.
Plus d’un mois après son lancement, une campagne de boycott inédite et mystérieuse contre le lait, l’eau et le carburant vendus par trois marques célèbres a relancé un vieux débat au Maroc sur la collusion entre les affaires et la politique.
Épargné par l’extrémisme religieux et l’explosion sociale qui ont touché d’autres pays du Printemps arabe, le royaume est néanmoins confronté à de nombreux défis : redressement des finances publiques, diversification de l’économie, réduction des inégalités… L’heure est aux réformes !