Jusqu’à récemment, ses bons mots faisaient mouche. Seulement voilà : à force de tirer sur la ficelle, Abdelilah Benkirane finit par déraper. Et par lasser son auditoire.
Six mois après sa nomination à la tête du gouvernement, le leader islamiste, Abdelilah Benkirane, a dépoussiéré les usages. Il raconte ce que lui dit le souverain, avec lequel il partage l’exécutif. Il parle la langue du citoyen lambda, qu’il réconcilie avec la politique. Inattendu… et stratégique.
L’actuel chef du gouvernement marocain, Abdelilah Benkirane, a été facilement réélu (85%) à la tête du Parti de la justice et du développement (PJD). Un résultat logique pour l’homme qui a mené son parti de l’opposition aux ministères.
Il jure n’avoir rien changé, mais le chef du gouvernement marocain, Abdelilah Benkirane, a pris ses marques, épaulé par des collaborateurs dévoués et une administration bienveillante.
Plus de trois mois après la nomination de son cabinet, le chef du gouvernement islamiste, Abdelilah Benkirane, est à l’épreuve du pouvoir, qu’il partage en bonne intelligence avec le roi Mohammed VI, en évitant soigneusement d’engager le moindre bras de fer.
Les prévisions de croissance de l’économie marocaine ont une nouvelle fois été revues à la baisse, selon le dernier rapport de la Banque du Maroc. Des difficultés en perspective auxquelles doit faire face le gouvernement de Abdelilah Benkirane.
Dans une interview accordée mardi 13 mars à un site internet algérien, le chef du gouvernement marocain, Abdelilah Benkirane, s’est exprimé sur sa vision de l’avenir politique commun de l’Algérie et du Maroc.
Dans le cadre de la signature d’un mémorandum d’entente avec la confédération patronale CGEM, le Premier ministre marocain Abdelilah Benkirane s’est livré à un discours résolument favorable à la libre entreprise.
Présentant son programme d’action devant le Parlement, le 19 janvier, le Premier ministre marocain, Abdelilah Benkirane, a déjà rompu avec son style de tribun. Converti au pragmatisme, il essuie ses premières critiques…
Devant le Parlement, le nouveau Premier ministre marocain Abdelilah Benkirane a présenté le programme de son équipe, jeudi 19 janvier. Le gouvernement prévoit un taux de croissance de 5,5% pour les quatre années à venir et entend faire de la réduction des inégalités et de la lutte contre la corruption et sociales ses priorités.
Nommé le 3 janvier par le roi du Maroc Mohammed VI, le gouvernement de Abdelilah Benkirane (PJD) n’est pas encore réellement entré en fonctions. Il ne sera investi qu’après avoir présenté sa déclaration de politique générale devant le Parlement et obtenu de ce dernier un vote de confiance. Une séance programmée le jeudi 19 janvier.
Trente-cinq jours de tractations en coulisses avec plusieurs formations politiques avant l’assentiment de Mohammed VI… Voici comment l’islamiste Abdelilah Benkirane a formé le gouvernement marocain.
Le roi Mohammed VI a nommé le chef du PJD Abdelilah Benkirane chef du gouvernement ce mardi 29 novembre. Le nouveau chef de gouvernement a prêté serment devant son souverain lors d’une audience à Midelt.
Abdelilah Benkirane, le leader du parti islamiste, rencontre le roi Mohammed VI ce mardi 29 novembre à Midelt. Le roi du Maroc pourrait le nommer Premier ministre.
En remportant plus du quart des sièges de députés lors des législatives anticipées du 25 novembre, les islamistes marocains du PJD accèdent pour la première fois au pouvoir. Mais pour gouverner, leur secrétaire général Abdelilah Benkirane doit obligatoirement trouver un compromis avec d’autres partis, notamment l’Istiqlal et l’USFP. Est-il l’homme de la situation ?
À la mi-septembre, le secrétaire général du Parti de la justice et du développement (PJD), Abdelilah Benkirane, s’est exprimé devant un parterre du Women’s Tribune, une association féministe marocaine. Et ses propos n’ont pas laissé les convives indifférentes. Récit.