L’ancien président par intérim est décédé ce 22 septembre à l’âge de 80 ans. Abdelkader Bensalah craignait par-dessus tout d’avoir à assumer la fonction suprême, fût-ce par intérim. Dans cet article de juin 2019, JA revient sur cette période particulièrement difficile pour lui.
Dans un climat d’affaires crispé et suspicieux marqué par une série de méga-procès pour corruption, le monde de l’entreprise algérien attend beaucoup de la nouvelle équipe gouvernementale.
Sur fond de crise politique, le Parlement balaie les tabous en matière de financements et d’investissements étrangers. Mais la portée et l’efficacité de ces réformes interrogent.
Le Premier ministre tunisien Youssef Chahed a été reçu jeudi à Alger par le président par intérim Abdelkader Bensalah, à qui il a remis une lettre du chef de l’État tunisien Kaïs Saïed en vue d’une prochaine visite de celui-ci en Algérie.
Présenter un candidat, ne pas le faire mais soutenir quand même le processus électoral, ou bien boycotter le scrutin ? Le choix taraude responsables et partis politiques algériens, à quelques jours de la date limite pour le dépôt des candidatures à l’élection présidentielle du 12 décembre.
Abdallah Djaballah, le président du Front de la justice et du développement (FJD-Adala), a annoncé que son parti ne présentera pas de candidat à l’élection présidentielle du 12 décembre. Si l’islamiste plaide pour la poursuite du mouvement de contestation, il s’oppose à la violence et à la désobéissance civile. Entretien.
Pour le patron de l’armée, Ahmed Gaïd Salah, la tenue d’une présidentielle – fixée au 12 décembre – est la seule solution pour sortir de l’impasse politique. Et gare à celui qui tenterait d’en entraver le déroulement.
La date du scrutin présidentiel a été officiellement fixée au 12 décembre par le chef de l’État par intérim Abdelkader Bensalah. Si la rue et l’opposition estiment que les conditions ne sont pas réunies, certains responsables et courants politiques semblent se résoudre à ce nouveau calendrier.
L’élection présidentielle en Algérie aura lieu le 12 décembre, a annoncé dimanche soir le chef de l’État par intérim, Abdelkader Bensalah, dans un discours à la nation retransmis par la télévision publique.
Le ministre de la Justice Belkacem Zeghmati a présenté mercredi au Parlement un projet de loi visant à la création d’une autorité indépendante. Cette entité prendrait en charge les élections et organiserait le prochain scrutin présidentiel à la place du gouvernement.
La date de la présidentielle devant permettre d’élire en Algérie un successeur à Abdelaziz Bouteflika doit être annoncée le 15 septembre, a réclamé lundi le chef d’état-major de l’armée, le général Ahmed Gaïd Salah, actuel homme fort du pays.
Le président par intérim Abdelkader Bensalah, guidé par le chef de l’état-major, mène une vague de limogeages au sein de l’administration, notamment dans le secteur de la justice. Un moyen de se libérer des cercles de l’ex-président Bouteflika, mais aussi de s’entourer de cadres fidèles, selon le chercheur Moussaab Hammoudi.
Jeudi 8 août, l’accès à Youtube et à plusieurs services de Google est resté bloqué pendant plusieurs heures en Algérie, coïncidant avec la diffusion d’un message vidéo de Khaled Nezzar, ancien ministre de la Défense et ex-chef d’état-major de l’armée, adressé aux militaires algériens.
Plusieurs chefs d’État ont assisté aux obsèques du président Béji Caïd Essebsi, samedi 27 juillet 2019 à Tunis. Une cérémonie solennelle qui a donné lieu à quelques apartés inédits.
Abdelkader Bensalah, le président algérien par intérim, a limogé mercredi le ministre de la Justice Slimane Brahmi. Il a été remplacé par Belkacem Zeghmati, actuel procureur d’Alger, selon un communiqué de la présidence.
L’armée algérienne, par la voix de son chef d’état-major Ahmed Gaïd Salah, a rejeté mardi les conditions posées au pouvoir par la nouvelle « Instance nationale de dialogue » chargée de mener des consultations sur les modalités de la future élection présidentielle devant sortir l’Algérie de la crise.
Ce mardi 9 juillet marque la fin de l’intérim de 90 jours confié à Abdelkader Bensalah, suite à la démission début avril du président Abdelaziz Bouteflika. Si une révision constitutionnelle ou la proclamation de l’état d’urgence pourrait donner une légitimité juridique à la prolongation de son mandat, les autorités semblent privilégier une rallonge de fait.
Une nouvelle conférence nationale est programmée samedi 6 juillet en Algérie. Si le président par intérim Abdelkader Bensalah s’est prononcé mercredi en faveur d’un dialogue indépendant de l’État et de l’armée, des voix s’élèvent pour dénoncer le peu de marge de négociation et un contexte de répression inapproprié.
Le président par intérim en Algérie, Abdelkader Bensalah, a proposé le 3 juillet un dialogue pour préparer la présidentielle, dans lequel ni les autorités politiques ni l’armée ne seront selon lui impliquées.
Abdelkader Bensalah, le président algérien par intérim depuis la démission d’Abdelaziz Bouteflika, doit suivre des soins importants pour traiter les séquelles d’une tumeur cancéreuse, ce qui l’empêche d’honorer certaines charges protocolaires.
Le chef de l’État par intérim Abdelkader Bensalah s’est exprimé jeudi soir dans un discours à la nation. Il a appelé l’ensemble de la classe politique au dialogue dans le but d’organiser au plus vite un scrutin présidentiel, à la veille de nouvelles manifestations contre le régime.
Le chef de l’État intérimaire, Abdelkader Bensalah, ne cesse de répéter que le scrutin présidentiel se tiendra comme prévu le 4 juillet, mais la rue et la plupart des partis politiques y sont défavorables. Alors que l’issue de ce bras de fer apparaît très incertaine, quelle forme pourrait prendre une éventuelle période de transition ?
Alors que les Algériens ont déjà commencé à manifester pour un neuvième vendredi consécutif, les initiatives se multiplient au niveau de la classe politique et de la société civile pour trouver une issue à la crise. Des consultations d’Abdelkader Bensalah au durcissement policier, retour sur les développements de ces derniers jours.
Quelques heures après la démission de Tayeb Belaïz de la présidence du Conseil constitutionnel, Abdelkader Bensalah a nommé le Sage Kamel Feniche pour le remplacer. Le chef de l’État par intérim avait-il constitutionnellement le pouvoir de le faire ? Éléments de réponse.
Le président algérien par intérim Abdelkader Bensalah a signé un décret fixant au 4 juillet l’élection présidentielle. Plus tôt dans la journée, le chef de la puissante armée a mis en garde mercredi les manifestants contre la poursuite de leur mouvement de contestation du régime.
Le président par intérim algérien Abdelkader Bensalah s’est engagé, mardi dans un discours à la Nation retransmis à la télévision nationale, à organiser dans un délai de 90 jours « un scrutin présidentiel transparent et régulier ».
Le Parlement algérien se réunira mardi matin pour nommer le président par intérim, a annoncé samedi soir le Conseil de la nation. La Constitution prévoit que cette responsabilité incombe au président de cette chambre haute, Abdelkader Bensalah, mais ce dernier est contesté par les manifestants ainsi que plusieurs partis politiques.
Le Parlement algérien a officiellement confié mardi la présidence de la République au président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, pour un intérim de quatre-vingt-dix jours maximum. Portrait d’un fidèle de l’ex-président Bouteflika, pur produit du « système » dénoncé par la rue, à la tête du sénat depuis près de dix-sept ans.