Le changement de gouvernement auquel a procédé le président Abdelaziz Bouteflika le 24 mai a surpris tout le monde, à commencer par les services de l’ambassade de France à Alger.
Jean-Pierre Raffarin joue-t‑il les messieurs bons offices en Tunisie ? En théorie non : l’ancien Premier ministre français est retraité de la politique et n’est plus sénateur depuis le 27 juin.
À peine en fonction, le président français, Emmanuel Macron, a fortement irrité le pouvoir algérien en déclarant le 19 mai à Gao, au Mali, qu’il ferait preuve d’« une exigence renforcée » à l’égard des États du Sahel et de l’Algérie.
Le ministre algérien du Tourisme et de l’Artisanat a été limogé dimanche, trois jours seulement après sa nomination, a annoncé la présidence sans expliquer la raison de ce renvoi.
Ils sont quatre à ne pas avoir été retenus par le président algérien dans la composition du nouveau gouvernement annoncée ce jeudi. Ont-ils fait défaut dans la gestion de leurs dossiers ? Éléments d’explication.
Alors que les analystes politiques algériens s’attendaient à la reconduction d’Abdelmalek Sellal dans ses fonctions de Premier ministre après les législatives, Abdelaziz Bouteflika a finalement nommé Abdelmadjid Tebboune le 24 mai.
Abdelmadjid Tebboune a été nommé Premier ministre en Algérie, en remplacement d’Abdelmalek Sellal, a annoncé la présidence de la République ce mercredi.
Abdelmalek Sellal, l’actuel Premier ministre, devrait diriger le prochain gouvernement algérien, contrairement à ce qui avait été conclu avec le président Bouteflika quatre ans auparavant.
Le scrutin du jeudi 4 mai a débouché sans grande surprise sur la victoire du vieux parti FLN (Front de libération nationale) qui obtient une majorité relative au sein de l’Assemblée nationale populaire. Ce scrutin aura été marqué par un net recul du taux de participation comparativement aux législatives de mai 2012.
En marge de la campagne électorale pour les législatives du 4 mai, le Premier ministre algérien intensifie sa tournée à travers le pays. Entre visites d’inspection et inaugurations, il tente de convaincre les abstentionnistes d’aller voter.
Le Premier ministre algérien Abdelmalek Sellal a déploré ce jeudi « l’inquiétante tendance baissière » des investissements français en Algérie, devant son homologue Bernard Cazeneuve en visite à Alger, alors que de grands projets industriels sont en suspens dans le pays.
Sourde ou mise en veilleuse pendant qu’ils gouvernaient ensemble, la rivalité entre les partis jumeaux refait surface à la faveur des élections législatives de mai prochain. Qui l’emportera ?
Le niveau des réserves de change passera sous la barre symbolique de 100 milliards de dollars, a déclaré ce lundi le chef du gouvernement algérien Abdelmalek Sellal. Il avait pourtant promis le contraire fin août.
Sept membres du gouvernement d’Abdelmalek Sellal seront en lice lors des législatives de mai sous la bannière du FLN, selon une source autorisée au sein du parti au pouvoir.
La hausse des prix sur les produits alimentaires de consommation courante, à l’origine de tensions sociales dans plusieurs villes, se poursuit. Jeune Afrique a mené l’enquête entre les étalages des marchés.
Le Premier ministre algérien a annoncé ce mercredi la mise en place à partir de 2017 d’un nouveau modèle de croissance. Objectif : diversifier l’économie sans toucher aux aides sociales versées par l’État.
Amar Bendjama, ambassadeur d’Algérie en France, quitte ses fonctions à la fin de la semaine, a-t-on appris ce mardi. Le nom de son successeur n’a pas encore été divulgué.
Le 4 octobre en conseil des ministres, le gouvernement algérien a présenté un projet de loi de finances, une nouvelle fois axé sur la maîtrise des dépenses publiques. Au programme : réduction des dépenses d’équipement et hausse du prix des produits de base. Ce texte promet d’ores et déjà un débat houleux à l’Assemblée.
De passage dans la capitale algérienne, le chef du gouvernement tunisien Youssef Chahed a fait part de sa volonté de renforcer davantage les relations bilatérales avec l’Algérie, en particulier dans les domaines économique et sécuritaire.
En dix-sept ans de présidence, Abdelaziz Bouteflika a travaillé avec six chefs de gouvernement. Enquête et révélations sur une relation complice, complexe et parfois orageuse.
Abdelkader Messahel, ministre algérien des affaires maghrébines et africaines et de la ligue arabe, a réagi mercredi à la demande du royaume du Maroc de réintégrer l’UA, soutenue par 28 États africains qui demandent par là même le retrait de la RASD. Évoquant les statuts de l’organisation, il a indiqué que cette adhésion ne peut pas être soumise à condition.
Les réserves de change de l’Algérie devraient chuter à 116 milliards de dollars fin 2016, a estimé le Premier ministre Abdelamalek Sellal. La loi de finances prévoyait un niveau de 121 milliards de dollars à la fin de cette année.
Quatre individus soupçonnés d’être responsables des fuites des sujets du baccalauréat 2016 ont été arrêtés et renvoyés devant la justice algérienne ce jeudi, a annoncé Khaled El Bey, procureur de la République lors d’une conférence de presse.
Sahara, terrorisme, « lobby marocain », tweet ravageur… Si l’élection de François Hollande avait conduit à une nette embellie entre les deux pays, les nuages s’amoncellent à nouveau. Enquête sur une relation passionnelle.
Début avril, Paul Biya prescrivait à son gouvernement une présence accrue sur les réseaux sociaux. Il est vrai que les ministres camerounais semblent bien frileux sur Internet. Mais qu’en est-il des autres pays francophones ? Jeune Afrique a passé au crible la présence numérique de 675 ministres dans 22 pays. Et ce n’est pas forcément glorieux.
Les 50 personnalités les plus influentes ont toutes, sans exception et chacune à son niveau, un rôle à jouer pour conduire l’Algérie sur la première voie.