On le dit malade et affaibli, voire incapable d’exercer pleinement ses fonctions. Qu’en est-il réellement ? Enquête exclusive dans les coulisses du pouvoir.
Le grand patron algérien accuse certains cercles du pouvoir de travailler à sa perte et se dit visé par un mandat d’arrêt pour une obscure affaire de surfacturations. Les autorités démentent.
Alger compte augmenter sa production de gaz de 13 % d’ici à quatre ans, en dépit de la conjecture défavorable dans laquelle se trouve l’industrie des hydrocarbures.
Brutalement démis de ses fonctions, le ministre du Commerce était pourtant un soutien d’Abdelaziz Bouteflika. Une décision surprenante prise alors qu’il dénonçait les pratiques financières du secteur automobile.
Dans la loi de finances complémentaire qu’il soumettra aux députés à la fin des vacances parlementaires prévue début août, le gouvernement algérien prévoit une série de mesures censées réduire l’attrait du secteur de l’informel.
Au nombre de sept dans le gouvernement sortant, elles ne sont plus que quatre pour… trente hommes. Les engagements du président en matière de représentation féminine ont-ils fait long feu ?
À la faveur du remaniement ministériel annoncé jeudi par le président Bouteflika jeudi, trois portefeuilles majeurs changent de mains : ceux de l’Intérieur, de l’Énergie et des Finances.
Pourquoi et comment, malgré un AVC qui l’a cloué dans un fauteuil roulant, le président de la République algérienne a décidé de rempiler en 2014. Enquête sur une candidature qui aura fait couler beaucoup d’encre.
Le séjour dans un grand hôtel parisien de la délégation qui accompagnait le Premier ministre Abdelmalek Sellal lors de sa dernière visite à Paris (4-5 décembre 2014) a coûté pas moins de 70 000 euros.
Consensuel, loyal et drôle, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a la confiance du président Bouteflika depuis plus de deux ans. On le dit malgré tout partant prochainement, à l’occasion d’un remaniement gouvernemental. Portrait d’un grand commis de l’État qui semble n’avoir d’autre ambition que de mener à bien sa mission.
Lors d’une conférence de presse jeudi à Paris, le Premier ministre algérien, Abdelmalek Sellal, a confirmé que le président Bouteflika avait été hospitalisé récemment en France. Pour une « visite de contrôle ».
Affaibli mais toujours lucide, Abdelaziz Bouteflika vit, se soigne et dirige le pays depuis son lieu de convalescence, transformé en siège de la présidence bis. Enquête sur un mode de gouvernance ad hoc.
Après un bras-de-fer de plusieurs heures mercredi, le premier ministre Abdelmalek Sellal a finalement reçu une délégation de policiers protestataires. Il a annoncé la tenue d’une réunion interministérielle concernant les revendications des manifestants.
Leader de la troisième force politique du pays, le ministre du Commerce revient sur le processus de révision du texte fondamental. Et détaille les amendements proposés par son mouvement.
Le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, milite pour que son compatriote Christian Gourcuff soit nommé sélectionneur de l’équipe de football d’Algérie.
Le président algérien Abdelaziz Bouteflika a procédé, lundi, à un remaniement partiel du gouvernement que dirige Abdelamalek Sellal. Si les titulaires des portefeuilles régaliens sont reconduits dans leurs fonctions, 14 nouveaux ministres font leur entrée dans l’équipe gouvernementale.
Un communiqué de la présidence publié lundi informe les Algériens que Abdelmalek Sellal a été renommé Premier ministre, un poste qu’il avait quitté le mois dernier pour diriger la campagne d’Abdelaziz Bouteflika. C’est la première décision du président nouvellement réélu.
Mon premier a fait long feu, mon second a claqué la porte, mon troisième s’est rebellé, les trois autres lui sont restés fidèles. Mon tout ? Six Premiers ministres, que Bouteflika a fascinés, agacés, usés.
Incapable de faire campagne en raison de sa santé fragile, Abdelaziz Bouteflika a chargé ses proches de sillonner le pays pour convaincre les Algériens de lui confier un quatrième mandat présidentiel. Retour sur un périple loin d’être de tout repos.
Le président Abdelaziz Bouteflika a fait savoir ce week-end qu’il briguerait un quatrième mandat présidentiel le 17 avril prochain. Si vous êtes Algérienne ou Algérien, comptez-vous voter « Boutef' » ? Participez à notre sondage.
Fidèle parmi les fidèles d’Abdelaziz Bouteflika, le Premier ministre algérien, Abdelmalek Sellal, a coupé court aux spéculations : non, il ne briguera pas la succession du chef de l’État.
Dans une interview au site « Tout sur l’Algérie », Amar Saadani, le secrétaire général du FLN, se livre à une diatribe inédite contre le général Mohamed Médiène, chef du puissant DRS. Et appelle publiquement à sa démission.
En retrait depuis sa défaite, en 2004, Ali Benflis assure aujourd’hui ne nourrir aucune rancoeur. Et être confiant quant à ses chances de conquérir la présidence.
Répondant à une journaliste qui l’interrogeait sur la santé d’Abdelaziz Bouteflika, le Premier ministre algérien, Abdelmalek Sellal, a assuré lundi à Alger que le président allait « très bien ».