Déjà déclaré mort à cinq reprises entre 2009 et 2016, Abubakar Shekau aurait été tué le 19 mai dans son fief de la forêt de Sambisa, dans le nord-est du Nigeria. Cette fois, l’information semble cependant crédible.
Depuis cinq ans, le chef de Boko Haram défie le président Idriss Déby Itno. Attaquée fin mars à Bohoma, l’armée tchadienne entend bien laver l’affront et a lancé une vaste offensive sur le nord du lac Tchad.
Des jihadistes du groupe Boko Haram ont tué 44 soldats dans des attaques de bases militaires et neuf agriculteurs dans le nord-est du Nigeria depuis ce week-end, dans une nouvelle démonstration de force à trois mois de l’élection présidentielle.
Visage historique du groupe terroriste nigérian Boko Haram, qui sévit dans la région du Lac Tchad, Abubakar Shekau s’est exprimé dans une vidéo envoyée lundi à l’AFP.
Comment Boko Haram communique-t-il ? De Muhammad Yussuf à Abu Musab al-Barnawi, en passant par Abul Qaqa et Abubacar Shekau, la réponse fluctue dans le temps. Le groupe s’est adapté et a subi l’influence d’un maître de la propagande, l’État islamique. Plongée dans la communication des jihadistes nigérians.
Dans une nouvelle vidéo, Abubakar Shekau dénonce les « mensonges » du Cameroun après l’annonce de la mort de 60 islamistes et la libération de 5 000 otages civils.
Le groupe islamiste Boko Haram a publié lundi soir sur internet une vidéo mettant en scène une exécution dans le nord-est du Nigeria sur le modèle de la propagande de l’organisation État islamique (EI). Une première depuis que son chef Abubakar Shekau a prêté allégeance à l’EI en mars 2015.
Le leader historique de Boko Haram, Abubakar Shekau, a fait circuler jeudi une nouvelle vidéo dans laquelle il conteste les affirmations du gouvernement nigérian selon lesquelles son groupe a été chassé de la forêt de Sambisa.
Il a beau être contesté au sein de l’organisation terroriste, le chef de Boko Haram Abubakar Shekau continue de s’exprimer. Dimanche soir, il a assuré dans un message audio que l’élection de Donald Trump à la présidence américaine ne changeait rien à l’attitude de Boko Haram, qui poursuivrait sa guerre de la même façon.
Alors que les 21 lycéennes de Chibok libérées jeudi 13 octobre ont retrouvé leur famille dimanche à Abuja, après plus de deux ans entre les mains de la secte islamiste nigériane Boko Haram, les négociations se poursuivent pour en libérer d’autres.
Annoncé mort ou grièvement blessé, le chef de Boko Haram Abubakar Shekau a fait une réapparition dans une vidéo dimanche. Dans la foulée, l’armée nigériane l’a qualifié de « fou » et de « malade mental », répliquant à ses provocations en annonçant la mort de 22 jihadistes de Boko Haram dans un raid lancé dimanche.
Dans la dernière vidéo du groupe armé Boko Haram, diffusée dans la nuit de mardi à mercredi, son ex-commandant officiel Abubakar Shekau n’apparaît à aucun moment. Suffisant pour donner raison à l’armée nigériane, qui avait affirmé l’avoir grièvement blessé dans un bombardement ?
L’armée nigériane a annoncé mardi avoir sérieusement blessé le leader contesté de Boko Haram Abubakar Shekau lors d’un raid aérien sur le fief du groupe islamiste au nord-est du Nigéria, où plusieurs de ses commandants ont également été tués.
Le leader de Boko Haram, Abubakar Shekau, a promis d’intensifier son combat jihadiste dans une vidéo diffusée dans la soirée de dimanche, balayant les divisions internes du groupe islamiste nigérian révélées la semaine dernière.
Dans un message audio diffusé mardi, Abubakar Shekau a réagi la nomination d’Abou Mosab Al Barnaoui à la tête de la section de l’État islamique en Afrique de l’Ouest et affirme être toujours « présent ».
Dans la dernière parution de son hebdomadaire en langue arabe, l’État islamique propose une interview de Abou Mosab Al Barnaoui, présenté comme le nouveau responsable de sa « province en Afrique de l’Ouest ». Il remplacerait donc Abubakar Shekau, dont la dernière apparition remonte à mars 2016.
Le groupe islamiste Boko Haram a affirmé vendredi à travers une vidéo son intention de poursuivre ses activités sous les ordres d’Abubakar Shekau, une semaine après la diffusion d’une vidéo dans laquelle ce dernier apparaissait affaibli.
Le chef de l’insurrection islamiste Boko Haram, Abubakar Shekau, est apparu affaibli jeudi dans une nouvelle vidéo… qui reste cependant sujette à caution.
Quarante-cinq membres présumés de Boko Haram ont été arrêtés par les services secrets nigérians, qui les soupçonnaient de préparer un attentat à Lagos.
Dans message audio non daté et dont d’authenticité reste à vérifier, le chef de Boko Haram Abubakar Shekau dit être en vie et s’en prend à l’armée nigériane.
Dans un enregistrement audio diffusé dimanche, le leader de Boko Haram Abubakar Shekau a répondu aux insinuations d’Idriss Déby Itno sur sa possible mort ou son remplacement à la tête du groupe terroriste.
Lors d’un point de presse mardi soir à N’Djamena, Idriss Déby Itno a déclaré que Boko Haram était décapité, promettant de terminer la guerre contre le groupe terroriste nigérian avant la fin de l’année. Le président tchadien a également manifesté sa volonté de rempiler en 2016.
Des centaines de femmes ont été enlevées, abusées et souvent mariées de force… Beaucoup sont enceintes aussi. Comme d’autres auparavant, Boko Haram utilise le viol comme arme de guerre.
Des membres présumés du groupe islamiste Boko Haram ont chassé l’armée et repris le contrôle d’une localité des rives du lac Tchad, dans le nord-est du Nigeria, ont raconté vendredi un responsable local et des témoins.
Le chef du groupe islamiste nigérian Boko Haram, Abubakar Shekau, a annoncé samedi avoir fait « allégeance » au mouvement jihadiste État islamique (EI), le jour où trois nouveaux attentats ont ensanglanté le nord-est du Nigeria, faisant au moins 58 morts.
Le président tchadien, Idriss Déby Itno, a profité d’une visite de travail de son homologue du Niger, Mahamadou Issoufou, mercredi à N’Djamena, pour lancer un message à Abubakar Shekau. Le leader de Boko Haram doit se rendre ou bien il sera éliminé.