La nouvelle méthodologie inédite que nous avons élaborée pour cette édition redistribue les cartes de notre classement annuel. L’« indice JA » nous permet de mieux évaluer la solidité et la performance des institutions bancaires.
Pour le groupe panafricain, l’avenir passe par les paiements numériques. Une stratégie qui bouscule l’activité bancaire commerciale classique, mais qui consolide la croissance.
Trois mois après son arrivée, le nouveau patron du groupe bancaire panafricain était très attendu lors des assemblées générales, le 17 mai à Lomé. Car si la banque est sur la bonne trajectoire, de nombreux chantiers persistent.
Malgré d’importantes dépréciations d’actifs, le groupe a amélioré sa profitabilité en 2022. Et son nouveau DG, Jeremy Awori, affiche déjà ses priorités.
La deuxième édition de l’Africa Financial Industry Summit réunit plus de 600 dirigeants de la finance continentale, dans un contexte de bouleversements sectoriels majeurs. Objectif : élaborer des solutions et s’armer collectivement face aux crises.
En sept ans, Ade Ayeyemi a assaini les finances du groupe panafricain, digitalisé ses activités et in fine déployé un véritable arsenal numérique. Son successeur, Jeremy Awori, transfuge de la kényane Absa Bank, est attendu au tournant.
Lors de sa 34e Assemblée générale, à Abidjan, le groupe panafricain a approuvé le versement de 40 millions de dollars de dividendes, une première depuis 2016. Un point d’orgue pour Ade Ayeyemi, dont le mandat s’achève cette année. La course à sa succession est désormais engagée.
À la veille de laisser les rênes du groupe bancaire présent dans 33 pays d’Afrique, le Nigérian revient sur quatre décennies du secteur bancaire sur le continent, et formule ses prédictions pour l’avenir.
Malgré les difficultés au Nigeria, « marché stratégique et de long terme », Ade Ayeyemi, directeur général du groupe panafricain, entrevoit un avenir radieux à Lagos comme partout ailleurs sur le continent.
Marché de la dette, injection de fonds d’Arise B.V…. La banque panafricaine renforce son bilan pour rebooster ses dividendes. JA passe au crible la stratégie du groupe d’Ade Ayeyemi.
Aux commandes de la banque panafricaine depuis cinq ans, le Nigérian appréhende la crise liée au Covid-19 comme le meilleur moyen d’accélérer l’innovation technologique.
Persuadé qu’il faut encore assainir les ratios financiers de son groupe pour en poursuivre le développement, le patron d’Ecobank a demandé à ses actionnaires de patienter. Non sans arguments.
L’Afrique de l’Ouest francophone a engrangé un peu moins de 30% du chiffre d’affaires du groupe panafricain en 2018, dépassant ainsi le Nigeria comme premier pôle de revenus d’Ecobank.