Rachetées par Moulay Hafid Elalamy et la famille Bensalah, les banques Société générale Maroc et Crédit du Maroc ont désormais les coudées franches pour grignoter davantage de parts de marché aux majors Attijariwafa Bank, BCP et Bank of Africa.
Après avoir cédé Somepi à son concurrent Afriquia en 2005, puis ses marques Wash et Ice Cola à Adil Douiri et à Said Alj, l’homme d’affaires Mustapha Amhal affirme « vouloir passer à autre chose ». Pour « tourner la page » définitivement, le fils de Haj Mohamed Amhal donne pour la première fois sa version sur l’une des opérations économiques les plus emblématiques de ces vingt dernières années.
Succès de l’IPO à la Bourse de Casablanca, objectifs de croissance à moyen terme… La directrice générale de la première banque d’affaires au Maroc revient pour Jeune Afrique sur la stratégie de CFG.
Malgré un contexte économique globalement difficile, certains groupes marocains ont réalisé des opérations d’envergure au Maroc, en Europe et en Afrique subsaharienne. Tour d’horizon.
Gérant un portefeuille de 22 hôtels, la nouvelle start-up royale ambitionne de s’étendre au Maroc et en Afrique subsaharienne, où elle entend concurrencer des géants comme Accor.
Huit ans après sa transformation en banque universelle, l’établissement prépare son introduction sur les marchés de Casablanca pour booster sa croissance.
Partenaire du géant néerlandais de la bière depuis vingt ans, la Société des boissons du Maroc ne produira plus ni ne distribuera les produits de la marque Heineken à compter de fin décembre. Que cache cette rupture inattendue ?
Ex-membre du très sélect G14 et ancien ministre, le patron de Mutandis, 59 ans, a réussi au cours de sa carrière à se constituer un solide réseau, aussi bien dans la politique que dans le business.
En rachetant la participation de Risma dans Accor Gestion Maroc, le géant hôtelier français en devient l’unique actionnaire. Une « démarche de simplification » qui permet au groupe d’accélérer le développement de ses marques dans le royaume.
Cession de l’activité d’embouteillage, pertes financières dans l’affaire Marie Brizard, succession… La patronne du premier producteur de vin au Maroc assure que recentrage des activités et partenariats sont la clé de l’avenir de son groupe.
L’opérateur hôtelier français se désengage du groupe, propriétaire du Sofitel de Marrakech, au profit de la mystérieuse société d’investissements créée par Adil Douiri.
De l’ONA à Saham en passant par la commission royale sur le modèle de développement et le conseil d’affaires Maroc-Israël, retour sur le parcours d’une centralienne qui « n’aime pas le feu des projecteurs ».
Artisan de la modernisation du secteur marocain des télécoms, puis de l’expansion de l’opérateur historique dans le royaume et en Afrique, l’ex-ministre, devenu l’un des dirigeants d’entreprise les plus influents du pays, traverse une zone de turbulences sans précédent.
Alors que l’énigmatique Elite Capital & Co a renoncé à la reprise de l’unique raffinerie marocaine, la banque chargée d’accompagner l’épineuse liquidation poursuit sa recherche d’un acheteur potentiel.
Après une tentative ratée en 2015, le groupe marocain d’Adil Douiri est parvenu à lever près de 37 millions d’euros en s’introduisant à la Bourse de Casablanca en décembre 2018. Ses résultats sont un bon signal pour l’entreprise comme pour la place marocaine.
Casablanca, Abidjan, Lagos… En ce début de 2019, Jeune Afrique dresse le bilan de l’année écoulée dans les principales places financières du continent. Aujourd’hui, direction le Maroc, où le Masi, l’indice principal, a terminé dans le rouge.