Un procès contre l’homme d’affaires Vincent Bolloré a été requis par le Parquet national financier français pour corruption dans l’attribution frauduleuse de la gestion des ports de Lomé au Togo et de Conakry en Guinée, entre 2009 et 2011.
L’ancien Premier ministre devenu opposant est décédé dans la nuit du 3 au 4 mars. Jusqu’au bout, il a contesté à Faure Essozimna Gnassingbé sa victoire à l’élection présidentielle de 2020.
L’opposante togolaise Brigitte Kafui Adjamagbo-Johnson, secrétaire générale de la Convention démocratique des peuples africains (CDPA), affirme être confiante quant à l’issue des élections législatives et régionales, qui doivent se tenir le 20 avril prochain.
Remis de sa défaite à la présidentielle de 2020, Jean-Pierre Fabre espère mobiliser lors du double scrutin législatif et régional du 13 avril prochain, et ainsi damer le pion à un autre leader de l’opposition, Agbéyomé Kodjo, en exil.
Les autorités ivoiriennes ont réussi à démasquer et à arrêter, le 23 juin 2023, l’administrateur du compte X (ex-Twitter) « Gauthier Pasquet », de son vrai nom Aboubacar Sidikh Sylla. Jeune Afrique a pu consulter ses PV d’audition, qui dévoilent les contours d’une vaste entreprise de désinformation.
L’opposant à Faure Essozimna Gnassingbé, qui continue à se proclamer vainqueur de la présidentielle de 2020, espère revenir à Lomé malgré les lourdes charges judiciaires qui pèsent contre lui.
Situation sécuritaire, relations avec les régimes de transition malien, guinéen, burkinabè et avec les autres membres de la Cedeao, nouveaux investissements… Le chef de la diplomatie togolaise explique pourquoi et comment le pays compte renforcer ses partenariats.
La coalition d’opposition Dynamique Mgr Kpodzro créée par l’ancien archevêque de Lomé s’est disloquée le 10 avril dernier, après son refus de participer aux prochaines élections régionales et législatives prévues cette année.
Sept membres de l’Alliance nationale pour le changement réclament la démission de leur président et celle du bureau national en raison, selon eux, de leur « collaboration coupable » avec le régime de Faure Essozimna Gnassingbé.
Alors que les élections régionales et législatives sont prévues en 2023, les principaux adversaires de Faure Essozimna Gnassingbé peinent à investir le devant de la scène.
Préparation des prochaines élections, relations avec le pouvoir et les autres partis de l’opposition, lutte contre le terrorisme… La coordinatrice de la Dynamique Mgr Kpodzro, qui était la porte-parole du candidat Agbéyomé Kodjo lors de la dernière présidentielle, répond aux questions de JA.
La Cour de justice de la Cedeao a tranché, en partie, en faveur de l’opposant togolais dans le bras de fer qu’il a engagé avec l’État togolais. Voici les détails de cette décision essentiellement symbolique.
Faure Gnassingbé, Agbéyomé Kodjo, Jean-Pierre Fabre… Plusieurs fois candidat à la présidentielle et bien décidé à ne pas en rester là, Gerry Tamaa ne ménage ni le chef de l’État ni ses rivaux. Entretien autour d’un café serré avec un opposant sans langue de bois.
Ce regroupement de l’opposition, qui continue de réclamer la victoire de son candidat à la présidentielle, a sollicité par courrier l’intervention des chancelleries étrangères pour espérer sortir de la crise politique.
L’opposant et ex-Premier ministre a officiellement cédé sa place à l’Assemblée nationale le 16 mars à Agbagli Koffi, suscitant ainsi un imbroglio politique au sein de son propre parti. Explications.
Depuis quatre mois, les modalités de l’organisation des élections régionales sont au cœur des discussions. La date du scrutin n’a pas encore été fixée, mais il devrait se tenir au plus tard en septembre prochain.
Tous deux en exil, Agbéyomé Kodjo et Tikpi Atchadam tentent malgré tout de rester présents sur l’échiquier politique togolais. Si le second est adepte de la « rupture radicale », le premier adopte une stratégie d’équilibriste.
Les autorités togolaises ont émis un mandat d’arrêt international contre l’opposant, qui vit caché depuis juillet dernier. Mais Interpol ne l’a toujours pas relayé.
Ancienne porte-parole du candidat Agbéyomé Kodjo à la présidentielle, Brigitte Kafui Adjamagbo-Johnson a été arrêtée à son domicile le 28 novembre dans le cadre d’une enquête sur un présumé « plan de déstabilisation du pays ».
Alors que l’opposant togolais, qui se proclame « président élu », vit caché depuis le mois de juillet, ses avocats ont déposé un recours devant le Comité des droits de l’homme de l’ONU.
La justice togolaise a émis un mandat d’arrêt international contre Agbéyomé Kodjo, arrivé deuxième à la présidentielle de février remportée par le chef de l’État sortant, Faure Essozimna Gnassingbé. L’opposant vit désormais dans la « clandestinité au Togo ».
« Présidents » en salle d’attente (2/4). Qui aurait cru qu’Agbéyomé Kodjo engagerait un jour un bras de fer avec le système qui l’a façonné ? L’ancien Premier ministre en est pourtant convaincu : c’est lui, et non Faure Essozimna Gnassingbé, qui a remporté la présidentielle du 22 février dernier.
Jean Ping, Maurice Kamto, Martin Fayulu, Agbéyomé Kodjo… Les institutions de leur pays leur ont donné tort, douchant leur rêve présidentiel, mais ils continuent de revendiquer la magistrature suprême au Gabon, au Cameroun, en RDC et au Togo. Plongée dans le quotidien de ces « présidents élus » qui n’abandonnent pas, mais ne gouvernent pas.
L’opposant togolais Agbéyomé Kodjo, arrivé deuxième à la présidentielle de février derrière le sortant Faure Gnassingbé, et arrêté mardi à son domicile, a été libéré vendredi soir et placé sous contrôle judiciaire.
Après s’être proclamé « président élu » du Togo, Agbeyomè Kodjo a été arrêté ce mardi pour n’avoir pas répondu à sa troisième convocation successive devant le Service central de recherches et d’investigations criminelles de la gendarmerie.
Agbéyomè Kodjo est convoqué ce mercredi par le service central des recherches et d’investigations criminelles de la gendarmerie togolaise. L’opposant est accusé par le procureur d’atteinte à la sûreté de l’État.
Le candidat de l’opposition à la présidentielle Agbéyomè Kodjo est soupçonné « d’atteinte à la sûreté de l’État » par le procureur du tribunal de Lomé, qui réclame la levée de son immunité parlementaire.
La Cour constitutionnelle togolaise a déclaré mardi le président sortant Faure Gnassingbé officiellement réélu pour un quatrième mandat de cinq ans, avec un peu plus de 70 % des voix, rejetant le recours de l’opposant Agbéyomé Kodjo.
Selon des résultats provisoires, le président togolais, Faure Essozimna Gnassingbé, a été réélu avec plus de 70 % des suffrages. Mais que fera-t-il de ce quatrième mandat ?