L’opposant, arrivé à la seconde place de l’élection présidentielle du 22 février a annoncé mercredi avoir déposé un recours devant la Cour constitutionnelle. Il conteste la victoire du président sortant Faure Gnassingbé et dénonce de « faux résultats » et une « mascarade électorale ».
Le président togolais Faure Gnassingbé a été réélu dimanche soir pour un quatrième mandat avec 72,36% des voix, très loin devant le candidat de l’opposition Agbéyomé Kodjo, qui dénonce des fraudes et revendique lui aussi la victoire, selon les résultats proclamés par la Commission électorale nationale indépendante (Céni).
Le candidat de l’opposition Agbéyomé Kodjo a dénoncé des « irrégularités dans le scrutin » et envisage un second tour face au président sortant Faure Gnassingbé, en lice pour un quatrième mandat.
L’opposant et candidat à l’élection présidentielle du 22 février Agbéyomé Kodjo a déclaré avoir vu son domicile encerclé par les forces de sécurité togolaises pendant quelques heures, après la fermeture des bureaux de vote.
Le patron de l’ANC et l’ancien Premier ministre de Gnassingbé Eyadéma se disent convaincus de pouvoir constituer une alternative crédible au président sortant Faure Essozimna Gnassingbé lors de l’élection présidentielle du 22 février.
La Cour constitutionnelle a publié sa décision vendredi et retenu sept candidats sur les dix enregistrés par la commission électorale, parmi lesquels le président Faure Gnassingbé, en lice pour un quatrième mandat.
Dix candidats se présenteront à l’élection présidentielle prévue le 22 février au Togo, a annoncé jeudi la Commission électorale nationale indépendante (Ceni).
Faure Gnassingbé est officiellement candidat à la présidentielle du 22 février prochain. L’Union pour la République, son parti, l’a officiellement investi ce mardi. Le président sortant, élu pour la première fois en avril 2005, sera en lice pour un quatrième mandat.
Les Forces démocratiques ont investi Agbéyomé Kodjo comme candidat à la présidentielle du 22 février. Cet ancien Premier ministre de Gnassingbé Eyadéma, qui se présente aujourd’hui comme « une alternative crédible », est la cible de nombreuses critiques dans les rangs de l’opposition.
Les « forces démocratiques », une coalition rassemblant une dizaine de partis d’opposition, demandent « la suspension immédiate » du processus électoral engagé pour la présidentielle de 2020. À la tête de cette initiative, à laquelle ni l’ANC, ni le PNP ne participent : Mgr Philippe Fanoko Kossi Kpodzro, l’archevêque émérite de Lomé qui plaide par ailleurs pour une candidature unique de l’opposition.
L’Union pour la République (UNIR) est arrivée largement en tête des élections législatives du 20 décembre. Selon des résultats officiels mais encore provisoires, le parti au pouvoir a obtenu 59 des 91 sièges à l’Assemblée nationale.
Mis en cause puis innocenté dans l’affaire des incendies des marchés de Lomé et de Kara, l’ancien Premier ministre Agbéyomé Kodjo a pris ses distances avec l’opposition « radicale » depuis 2014. Pour adopter une posture beaucoup plus conciliante avec le pouvoir de Faure Gnassingbé. Interview.
Depuis 2013, Jean-Pierre Fabre apparaît comme le principal adversaire de Faure Gnassingbé. Mais saura-t-il fédérer autour de lui l’ensemble de l’opposition ?
Choisi samedi pour représenter sa formation à l’élection présidentielle qui devrait se tenir en avril prochain, l’ancien Premier ministre togolais Agbéyomé Kodjo a décliné l’offre, préférant s’investir pour la recherche d’un consensus pour la désignation d’un candidat unique de l’opposition.
Ancien Premier ministre du Togo et opposant irréductible au président Faure Gnassingbé, Agbéyomé Kodjo a été arrêté le 16 janvier, incarcéré puis remis en liberté le 25 février.
Après les incendies à la mi-janvier de deux marchés du pays, les autorités togolaises ont mis aux arrêts plusieurs membres de l’opposition, soupçonnés d’être derrière ces « actes criminels ». Parmi ces derniers, l’ancien Premier ministre Agbéyomé Kodjo, a finalement été remis en liberté, le 25 février.
L’ancien Premier ministre Agbeyome Kodjo a été interpellé à son domicile mardi matin puis rapidement relâché. Il a été entendu dans le cadre d’une enquête sur des violences intervenues dans les manifestations à Lomé, la semaine dernière.