L’importateur Kamel Chikhi et quatre autres personnes de son entourage ont été placés sous mandat de dépôt. Ils doivent répondre à un juge d’instruction pour des chefs d’inculpation passibles de la peine de mort.
L’agression d’une jeune joggueuse, début juin, suscite l’émoi en Algérie. Des centaines de femmes ont organisé une course, samedi 9 juin, pour dénoncer le harcèlement de rue.
Depuis sa prise de fonction en août 2017, le Premier ministre Ahmed Ouyahia a fait face à de nombreux recadrages de la part du président Abdelaziz Bouteflika, notamment au sujet de sa politique économique. Retour sur les points de discorde qui ont opposé les deux hommes.
Plus de 700 kilos de poudre blanche ont été saisies la semaine dernière dans un cargo transportant de la viande surgelée. La marchandise appartient à un homme d’affaires au parcours controversé. Récit des événements.
Une vidéo qui aurait été tournée dans les locaux du Parlement européen, à Bruxelles, montre une journaliste algérienne appelant Abdelaziz Bouteflika à s’écarter du pouvoir en raison de son état de santé. L’ambassadeur de l’UE à Alger a été convoqué pour s’en expliquer.
Le bras de fer entre Cevital et les autorités portuaires de Béjaïa, entamé il y a plus d’un an, n’a toujours pas trouvé d’issue. Mourad Bouzidi, porte-parole du comité de soutien aux travailleurs de Cevital, qui doit comparaître dimanche pour répondre d’accusations de « diffamation » envers le directeur du port, le gouvernement doit prendre ses responsabilités. Interview.
Considérées comme « hérétiques », 26 personnes appartenant au courant musulman ahmadi risquent six mois de prison ferme. Leur défense dénonce un « procès politique ». Le verdict sera prononcé le 12 juin.
Les tarifs des documents biométriques sont au cœur d’une polémique en Algérie. Certains prix dépassent le salaire minimum. Mais le gouvernement affirme qu’ils restent moins chers que chez les pays voisins. Jeune Afrique a voulu vérifier : c’est faux.
En attendant l’examen de la loi de finances complémentaire 2018 devant le Conseil des ministres, le Premier ministre a d’ores et déjà défendu ses mesures. L’économiste Alexandre Kateb, directeur du cabinet Compétence Finance, y voit un retour à la normale, en accord avec la politique de croissance du pays.
Merzoug Touati a été arrêté en janvier 2017 pour « intelligence » avec l’État d’Israël et « incitation à la rébellion ». Amnesty International déplore une atteinte à la liberté d’expression et demande sa libération.
Le texte, présenté le 21 mai en plénière, est critiqué par les partis de l’opposition algérienne. Ces derniers dénoncent une tentative de vouloir « verrouiller la parole du Parlement » contre un éventuel cinquième mandat de Abdelaziz Bouteflika.
Incontournable dans le gouvernement d’Ahmed Ouyahia et chouchou des médias algériens, le ministre de l’Intérieur a été nommé lundi 11 mars Premier ministre.
Dans un court rapport, l’institution de Bretton Woods déplore le recours à la planche à billets, qui entretient une illusion autour des indicateurs sur la croissance à venir pour 2018. Mais le rapport ne propose que peu d’alternatives à Alger, en dehors de l’endettement extérieur. Une option que le Premier ministre a écarté dans plusieurs discours.
Le Premier ministre algérien Ahmed Ouyahia a émis le souhait que le président Abdelaziz Bouteflika brigue un 5e mandat l’an prochain, une semaine après un appel en ce sens du chef du parti au pouvoir.
Quatre ministres ont été remplacés ce mercredi, voyant notamment l’arrivée de Mahdjoub Bedda au ministère des Relations avec le Parlement. Ceux de l’Éducation et de la Santé ont été maintenus malgré la détérioration du climat social.
Arrivé ce mardi en Algérie, le président du gouvernement espagnol Mariano Rajoy examine avec son homologue, Ahmed Ouyahia, la question du gaz, dont presque la moitié de la consommation espagnole vient d’Algérie, et également l’épineux dossier sur la migration clandestine.
Barrières commerciales, planche à billets… Les remèdes à la crise proposés l’été dernier par le gouvernement algérien ne sont pas du goût de l’institution internationale, qui préfère ses méthodes traditionnelles de libre concurrence et d’emprunts internationaux. La visite d’une mission d’inspection cette dernière quinzaine s’est soldée par un sévère rappel à l’ordre à l’égard d’Alger.
Les avocats du général à la retraite poursuivi pour « outrage à corps constitués », après des critiques envers la famille du président Bouteflika et l’armée, dénoncent un dossier vide et entaché de vices de procédures. Pour eux, les juges ne peuvent que le relaxer.
Face à la politique d’austérité et la crise économique que traverse le pays, les Algériens vivent des fins de mois de plus en plus difficiles, entre changement des habitudes, privations ou dettes. Reportage à Alger au sein d’une famille de la classe moyenne.
Six mois après son retour, Ahmed Ouyahia, le détenteur du record de longévité au poste de Premier ministre d’Algérie semble déjà sur le fil du rasoir. Enquête dans les coulisses du pouvoir.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a commencé sa tournée africaine ce lundi par l’Algérie, son premier partenaire commercial sur le continent. Au menu, une rencontre avec son homologue algérien et la signature d’accords de coopération. En revanche, l’inauguration de la mosquée Ketchaoua, présentée comme un point culminant de la visite, a été annulée.
Selon un magistrat d’Alger, qui a exercé au sein d’un organisme anticorruption, l’ex-ministre algérien de l’Énergie Chakib Khelil, accusé de trafic d’influence, ne serait pas à l’abri d’éventuelles poursuites de la justice algérienne.
Ahmed Ouyahia, Premier ministre algérien, et Djamel Ould Abbès, secrétaire du FLN et réputé proche du président Abelaziz Boutaflika, se livrent à une véritable guerre de positions sur la ligne de front des privatisations.
Le Premier ministre algérien Ahmed Ouyahia a pointé du doigt samedi le Maroc pour les flux de haschisch qui arrivent en Algérie où des quintaux de résine de cannabis sont saisis chaque semaine.
Le projet de privatisation du secteur économique public a valu à son initiateur une sévère mise en garde présidentielle. Il ne contient cependant pas de mesures spectaculaires.
Le chef de l’État a fait savoir à son Premier ministre Ahmed Ouyahia, que tout projet de privatisation devrait désormais d’abord recevoir son aval. Cafouillage au sommet.
L’économie algérienne est en plein crise. Les réserves du pays fondent et la stratégie du gouvernement algérien est risquée. Il doit absolument diversifier son économie afin de retrouver l’équilibre.
Pour freiner la baisse des réserves de change, le gouvernement algérien a serré les boulons du secteur automobile, restreignant à dix le nombre d’opérateurs autorisés à exercer l’activité de montage. Mais la viabilité de son modèle pose problème, selon le directeur du cabinet Compétences Finances.
Faut-il recourir aux hydrocarbures non conventionnels pour faire face à la crise financière née de l’effondrement des cours de l’or noir ? La question divise autant les hommes politiques que les experts.
Le projet de loi de finances 2018, voté dimanche 26 novembre au Parlement, prévoit une augmentation des dépenses de l’État algérien. Une première depuis trois ans.