La finance africaine a connu une année 2015 assez prospère, à rebours des difficultés rencontrées sur les marchés financiers de plusieurs grands pays émergents.
11 hommes et 3 femmes, la parité n’est pas au rendez-vous, mais qu’ils soient financiers, industriels, responsables publics, roi ou médecin… ces personnalités ont marqué à leur manière l’actualité économique africaine en 2015. Portraits.
L’Afrique est trop défavorisée par la répartition des milliards de dollars d’aide annuelle promis pour lutter contre le changement climatique, et il faut rectifier le tir, a déclaré à l’AFP le président de la Banque africaine de développement (BAD), Akinwumi Adesina.
Accès à l’électricité, modernisation de l’agriculture, soutien aux PME… Face à Jeune Afrique, le patron de l’institution panafricaine fixe clairement ses objectifs. Quelques jours après avoir pris ses fonctions, il se montre confiant et déterminé.
Quelques jours après sa prise de fonction, le Nigérian Adesina Akinwumi, le nouveau président de la Banque africaine de développement a expliqué ses priorités à Jeune Afrique.
Le Nigérian a officiellement pris ses fonctions de patron de la BAD. Les mots d’ordre de son discours inaugural ? La lutte contre les inégalités, la promotion du secteur privé et l’intégration régionale.
Akinwumi Adesina et Ade Ayeyemi sont investis aujourd’hui à la tête de la première institution de développement du continent et à celle de la principale banque panafricaine.
Absence de grands contributeurs comme l’Algérie ou l’Afrique du Sud, erreurs de communication, vision hésitante de la nature des participations futures… Le lancement du fonds Africa50, initié par la Banque africaine de développement et domicilié à Casablanca, a connu un démarrage poussif. Explications.
Industrialisation, rôle de la BAD, boom démographique… Le Secrétaire exécutif de la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique évoque les défis que doit relever le continent. Sans langue de bois et en bousculant certaines idées reçues.
Lâchage du candidat tunisien par Alger et Tripoli ou du Tchadien par Paris, soutien majoritaire des internationaux à la Cap-Verdienne Cristina Duarte et des Africains au Zimbabwéen Thomas Sakala. « Jeune Afrique » décrypte les résultats de l’élection du nouveau président de la Banque africaine de développement.
Le 28 mai, le Nigérian Akinwumi Adesina a été élu à la tête de l’institution panafricaine. Les dossiers qui l’attendent : l’assainissement du climat de travail, la maîtrise des coûts de fonctionnement et un meilleur ciblage de l’aide.
Les 80 gouverneurs de la Banque africaine de développement, réunis ce jeudi 28 mai à Abidjan, ont choisi Akinwumi Adesina pour succéder au Rwandais Donald Kaberuka à la présidence de l’institution panafricaine. Huit personnalités africaines s’étaient portées candidates à ce poste.
Le Nigérian Akinwumi Adesina a pris les rênes de la présidence de la Banque africaine de développement le 1er septembre. En avril dernier, encore candidat à ce poste, il était venu présenter son programme et son parcours à Jeune Afrique. Redécouvrez le portrait qui lui avait été consacré.
Qui sera le prochain président de la Banque africaine de développement ? Si le Nigeria se démène pour décrocher le titre, l’Histoire a montré que les « petits pays » tirent souvent leur épingle du jeu… À deux mois du verdict, tour d’horizon des candidats, aussi expérimentés que déterminés.
Cette fidèle de Goodluck Jonathan doit faire face à un défi sans précédent : préserver son pays de la chute du cours du pétrole. Courtoise mais offensive, Ngozi Okonjo-Iweala, la ministre des Finances du Nigeria, a répondu aux questions de « Jeune Afrique ».
L’économiste Makhtar Diop devait être le candidat de Dakar à la présidence de la Banque africaine de développement. Mais alors qu’il avait de grandes chances de l’emporter, il a décidé jeter l’éponge. Pourquoi ?
Pour tenter d’enrayer la pauvreté persistante de sa population rurale, le Nigeria fait le pari de la technologie. Dix millions de portables vont être distribués aux agriculteurs du pays.