Le prix Éthiophile, qui couronne des œuvres littéraires francophones d’Afrique, de la Caraïbe et de l’océan Indien dans un genre différent chaque année, vient de distinguer le roman de la Franco-Libanaise née en Côte d’Ivoire Salma Kojok.
Entrepreneur établi, auteur accompli, le poète haïtien parcourt le monde à la recherche de diversité et d’altérité. Rencontre avec celui qui vient de fêter les 20 ans de sa maison d’édition, Mémoire d’encrier.
Dans le centre de Paris, cet ancien bougnat proposant une cuisine afro-cubaine accueille des rencontres littéraires et publie même un magazine, le « Jip’s Bazar », parrainé par l’auteur congolais.
L’écrivain franco-congolais Alain Mabanckou affirme être « interdit de séjour depuis cinq ans » dans son pays d’origine et que ses livres seraient, eux aussi, « indésirables » au Congo. Le ministère congolais de la Justice dément.
Le médiatique écrivain entend donner à son œuvre une dimension d’engagement. Dans son dernier roman, Les cigognes sont immortelles, il revient sur l’assassinat de Marien Ngouabi, en 1977.
Belle marquise, si d’aventure vous deviez vous faire rançonner par un écrivain au coin de la rue, et que de ces deux auteurs il vous soit donné le loisir de choisir votre bourreau, souhaiteriez-vous mieux être la victime d’Alain Mabanckou, ou alors d’Eric Mendi ?
Extraits de « Lettres noires : des ténèbres à la Lumière », d’Alain Mabanckou, leçon inaugurale prononcée au Collège de France le 17 mars, à paraître le 24 avril aux éditions Fayard.
Depuis vingt ans, l’écrivain congolais ne cesse de bousculer la langue française et les idées sur l’Afrique. Rencontre avec cet enfant de Pointe-Noire qui, s’il attire les lumières du monde entier, reste plus que jamais inspiré par celles de sa ville d’origine.
L’écrivain franco-congolais Alain Mabanckou doit prononcer jeudi sa leçon inaugurale au Collège de France. Il a d’ores et déjà déploré mercredi l’absence de représentant officiel du Congo.
Dresser la liste des personnalités qui marqueront l’Afrique en cette année qui débute est un exercice périlleux, même si les élections, les crises dont l’épilogue se fait attendre ou les événements sportifs et culturels mettront certainement en avant des protagonistes bien connus. Jeune Afrique vous propose une liste non-exhaustive. Parmi eux, Alain Mabanckou, écrivain.
En pleine campagne de promotion pour son dernier roman, « Petit Piment » (éd. du Seuil), en lice à la fois pour le Goncourt et le Goncourt des lycéens, notre collaborateur Alain Mabanckou trouve encore le temps d’écrire.
Dans La sieste, Judith Gueyfier et Alain Serres nous font découvrir la magie de ce moment de repos. Avec des images colorées, on entre dans un monde de rêves et de voyages. Un album poétique et apaisant.
En savoir un peu plus sur l’enfant, l’adolescent et le jeune adulte qui ont donné naissance à l’écrivain ? C’est possible en lisant Lumières de Pointe-Noire, dernier opus intimiste du romancier franco-congolais.
Dans son dernier roman, « Tais-toi et meurs », Alain Mabanckou décrit les tribulations d’un jeune Congolais de Brazzaville dans la « jungle parisienne ». Et fricote avec le polar.
L’écrivain franco-congolais Alain Mabanckou a reçu le 21 juin le grand prix de la littérature Henri Gal de l’Institut de France. Une distinction récompensant l’ensemble de son oeuvre, déjà bien fournie.
Avec Black Bazar, son dernier roman, l’écrivain franco-congolais connaît de nouveau le succès. Aidé par les médias, certes. Mais grâce à son talent, surtout, et au regard libre de tout tabou qu’il porte sur le monde d’aujourd’hui. Entretien avec la nouvelle figure emblématique de la littérature subsaharienne.
Après avoir raté de peu le Renaudot en 2005 avec Verre Cassé, l’écrivain congolais a pris sa revanche cette année grâce à Mémoires de porc-épic. Une récompense qui confirme le talent de ce conteur né tout en symbolisant la vitalité de la création littérai
Originaire du Congo-Brazzaville, Alain Mabanckou est l’auteur de six recueils de poésie et de quatre romans. Le dernier, Verre cassé (éd. du Seuil), est encensé par la critique (voir J.A.I. n° 2312). Cet écrivain exigeant et qui ne cesse de se renouveler